Yves de Kerdrel, chef de proue de la droite dure, appelle à accueillir la négraille de l’Aquarius

Captain Harlock
Démocratie Participative
25 septembre 2018

 

Yves de Kerdrel, directeur de la rédaction de Valeurs Actuelles jusqu’en mai dernier avant de succéder au juif Mickaël Darmon à Sud Radio, a opéré un changement de ton sur l’immigration peu après avoir pris ses nouvelles fonctions.

Il faut savoir s’adapter.

Notez d’ailleurs la perfidie de cette lope : il pose le débat en termes de choix entre la PMA pour les fiottes et l’accueil des nègres, cherchant à semer la confusion dans les esprits. Comme si ces deux propositions étaient incompatibles.

Patriote français pro-israélien, Dijon, 2078

La seule véritable conviction pour laquelle un bourgeois de droite veut bien mourir, c’est sauver les juifs. C’est l’unique chose qui peut transformer, en quelques secondes, un vieux notable de province en lion déchaîné. On peut tout balancer par dessus bord, le bourgeois accepte plus ou moins de bon coeur. Mais que quelqu’un suggère, à demi-mot, de bazarder le juif et voilà cette vieille panse qui devient incandescente, candidat à la fureur révolutionnaire.

Rien ne se dissout mieux dans l’acide hébraïque que le bourgeois. Et le juif, qui connaît la servilité naturelle du bourgeois, aime beaucoup l’humilier pour lui faire sentir quelle est la hiérarchie en démocratie.

Le bourgeois, sans le juif, est comme un enfant perdu dans une grande surface. Soudain, le miracle, la voix de Maurice Youpinostein résonne dans les haut-parleurs :  « Le petit Yves de Kerdrel est attendu à l’accueil ». Il a retrouvé ses maîtres.

De Kerdrel, à l’instar de toute cette bourgeoisie dégénérée subordonnée aux juifs qui contrôle le parti gaulliste (LR), n’a que foutre du sort du prolétariat français qui doit survivre au contact de la pouillerie raciale qui déferle sur la France.

Il ne vivra jamais avec.

Le bourgeois est le kapo des juifs dans ce grand camp de concentration qu’est la démocratie sémitique.

Ces bourgeois inféodés aux juifs ont trouvé dans la dénonciation de l’islam une manière habile de toucher l’électorat populaire sans devoir remettre en cause le programme de repeuplement racial de la finance juive soutenu par le grand patronat.

Le peuple ne distingue pas nettement l’islam de l’immigration afro-maghrébine, les deux étant liés dans son expérience quotidienne. Aussi, quand il entend les partis de la droite bourgeoise parler d’islam, il pense que celle-ci fait part de son hostilité de principe à l’invasion du tiers-monde.

Rien n’est plus faux.

Cette confusion entre race et religion est habilement exploitée par la droite juive pour maintenir son escroquerie électorale. Pour la bourgeoisie enjuivée, parler d’islam permet de faire tourner le débat autour des cours de maintien à prodiguer aux arabes et aux nègres en reprenant, mot pour mot, le discours libéral juif.

Il suffit de penser que cette histoire de voile a commencé en 1989 sous un gouvernement socialiste pour comprendre, 30 ans après, que ce genre de débat n’a jamais empêché un seul arabe de poser le pied en France.

Ce serait comme de vouloir traiter de la question juive en limitant le cadre du débat à la longueur de la barbe des rabbins. C’est absurde.

Bien sûr, près des deux tiers de l’immigration non-blanche en France sont islamiques, mais cela ne rend pas les nègres animistes plus désirables pour autant. Et surtout, cela prétend ignorer les déterminismes biologiques qui sont à l’oeuvre.

Ce débat autour de l’islam est d’autant plus sournoisement alimenté par la presse juive qu’il permet à la juiverie d’empêcher les masses blanches de raisonner en termes raciaux, ce qui amènerait mécaniquement à traiter la question du parasitisme sémitique au sens large.

Ton identité n’est pas menacée par les nègres, goy

Chacun comprend que si nous étions envahis par 15 millions de nègres catholiques, le problème resterait entier, comme il est entier pour les Américains avec leurs 40 millions d’immigrés hispaniques.

La personne qui conserve sa boussole raciste en poche ne peut jamais se faire rouler par un de ces prestidigitateurs juifs.