YouTube, Twitter et Facebook censurent tous les Chinois qui s’opposent à la révolution de couleur voulue par la finance juive à Hong Kong

Captain Harlock
Démocratie Participative
24 août 2019

Les juifs n’allaient tout de même pas laisser les Chinois copier leurs méthodes pour défendre leur pays.

CNews :

A l’image de Twitter et Facebook, YouTube a annoncé jeudi avoir enrayé une vaste campagne de propagande menée par Pékin sur les réseaux sociaux pour discréditer le mouvement en faveur de réformes démocratiques à Hong Kong.

La plateforme vidéo appartenant à Google a ainsi désactivé 210 chaînes après avoir découvert qu’elles agissaient «de manière coordonnée en mettant en ligne des vidéos liées aux manifestations en cours à Hong Kong», explique Shane Huntley. L’analyste chargé de la sécurité au sein du groupe dénonce notamment «le recours à des VPN et d’autres méthodes pour masquer l’origine de ces comptes».

YouTube a donc décidé de faire taire ceux qui diffusent une voix alternative au contenu qu’elle propage.

Cette plateforme est dotée d’une éthique si exigeante qu’elle promeut la pédophilie homosexuelle sans aucune forme de retenue,

YouTube veut défendre le bien du peuple chinois, j’en suis convaincu.

C’est ce qui doit motiver la juive Susan Wojcicki, PDG de YouTube.

YouTube a le sens du (((bien commun))).

Twitter et Facebook avaient déjà porté, lundi, des accusations similaires contre les autorités chinoises, précisant avoir suspendu un millier de comptes actifs liés à cette campagne de désinformation (dont certains comparaient les manifestants aux combattants de Daesh). En cause, selon le réseau à l’oiseau bleu ? «Ces comptes cherchaient délibérément et spécifiquement à semer la discorde politique à Hong Kong, et notamment à saper la légitimité et les positions politiques du mouvement de protestation sur le terrain

Sauf qu’en coulisses, il déploie d’importants efforts (robots, trolls, faux comptes…) pour tenter d’influencer l’opinion et montrer le mouvement comme le fruit d’une «ingérence étrangère» , affirment les trois géants du numérique. Comme dénoncé par le centre d’analyse géopolitique Soufan Center, basé à New York, «Pékin mène sur internet une campagne de désinformation visant à démultiplier le soutien manifesté aux autorités de Hong Kong». Et «au fur et à mesure des manifestations, l’attitude de la Chine va devenir plus agressive, à la fois dans le monde réel et virtuel».

Quand ces plateformes juives de la Silicon Vally trafiquent les algorithmes ou excluent les voix dissidentes, la presse salue une mesure de « salut public ».

Quand les Chinois font pareil pour stopper une opération soutenue par la CIA, la même presse est saturée d’accusations de « censure » et de « manipulation ».

Ce double discours est la marque du double jeu permanent de la juiverie pour avancer ses pions : démocrate à Hong Kong et partisan de l’autoritarisme antifa dans le monde blanc.

La race juive ne cesse jamais de mentir perfidement pour avancer ses intérêts. C’est dans sa nature.