(((YouTube))) censure Russia Today en Allemagne, les médias juifs assurent que les Russes n’ont pas le droit de censurer (((YouTube))) en Russie

Captain Harlock
Démocratie Participative
30 septembre 2021

Les juifs ont censuré Russia Today en Allemagne au motif que les Slaves n’ont pas le droit de dire ce qu’ils veulent.

Si la presse juive salue cette décision, elle est en revanche scandalisée par l’annonce du gouvernement russe de son intention de faire de même à leur encontre.

Le Monde :

C’est une erreur « 404 Not Found » : depuis mardi après-midi, les chaînes YouTube de RT Deutsch et Der Fehlende Part sont inaccessibles à ses quelque 600 000 abonnés. Ce qui a poussé, le Kremlin à réagir, mercredi 29 septembre et à dénoncer une « censure ».

YouTube, le site de vidéos de Google, a bloqué les chaînes de RT Deutsch et Der Fehlende Part parce qu’elles sont accusées d’avoir diffusé de « fausses informations » sur le coronavirus. Et parce que RT DE a voulu, par l’intermédiaire de sa chaîne Der Fehlende Part, contourner l’interdiction de diffuser de nouvelles vidéos pendant une semaine après la mesure restrictive visant RT. De son côté, RT estime que la suspension initiale, qui devait être levée mercredi, visait à handicaper son fonctionnement à l’approche des législatives en Allemagne le 26 septembre.

« YouTube a toujours eu des directives claires pour la communauté, qui décrivent ce qui est autorisé sur la plate-forme », a expliqué YouTube dans un communiqué, cité par Süddeutsche Zeitung, rappelant les entorses commises par RT DE.

Disons plutôt que la (((communauté))) a toujours eu des directives claires pour YouTube.

De son côté, Margarita Simonian, la rédactrice en chef des médias d’Etat russes Rossia Segodnia, RT et Sputnik, a évoqué la « guerre médiatique déclarée par l’Etat allemand à l’Etat russe », rapporte le journal Novaïa Gazeta. Sur Twitter, elle a appelé les autorités de la Fédération de Russie à « fermer les bureaux d’ARD et de ZDF » et à « interdire Deutsche Welle et d’autres médias allemands en Russie ».

En fait, ces médias « allemands » contrôlés par la CIA auraient dû être interdits depuis longtemps et pas seulement en Russie.

Personnellement, étant habitué à lire les médias trotskistes ou antifas, je suis parvenu à la conclusion qu’il est impossible de distinguer Deutsche Welle d’un compte Twitter tenu par un transsexuel ashkénaze du NPA sous traitement hormonal.

C’est du sémitisme ultra concentré.

« Il ne s’agit pas d’une mesure étatique prise par le gouvernement fédéral », a déclaré le porte-parole du gouvernement allemand, Steffen Seibert, assurant avoir appris cette suspension « en lisant la presse ». « Il s’agit d’une décision de YouTube », a-t-il insisté, réfutant toute implication de Berlin. Il n’a pas voulu commenter la décision de la plate-forme de vidéos, soulignant seulement : « La liberté de la presse est une valeur importante. »

Si le gouvernement allemand essaie de faire croire qu’il n’a aucune idée de ce que font les juifs de YouTube sur son territoire et que cela ne les concerne pas vraiment, ce sera difficile à faire avaler aux Russes.

Ou à n’importe qui.

En revanche, si c’est pour signifier aux Russes que les Allemands n’ont pas leur mot à dire dès lors qu’il s’agit des médias juifs américains opérant en Allemagne, c’est déjà plus crédible.

L’Allemagne n’est pas occupée par l’armée américaine pour rien.

Mercredi, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a émis des menaces à peine voilées : « Il y a des signes témoignant que les lois russes ont été violées et qu’elles ont été violées de manière grossière, c’est lié à la censure et à des entraves à la diffusion d’informations », a-t-il déclaré, prônant une « tolérance zéro face à de telles violations ».

C’est « un acte d’agression d’information sans précédent de la part de YouTube », avait réagi le ministère des affaires étrangères de la Fédération de Russie dans un communiqué diffusé dans la nuit de mardi à mercredi, accusant les autorités allemandes d’avoir « évidemment encouragé [cette décision], voire insisté [pour qu’elle soit prise] ».

« L’objectif de cette agression envers les projets de la holding russe est évident : faire taire les sources d’information ne s’inscrivant pas dans un cadre médiatique confortable » pour les autorités en Allemagne, a assuré la diplomatie russe, qui y voit « la poursuite d’une guerre d’information contre la Russie ». Dans ce contexte, « la prise des mesures de représailles symétriques à l’encontre des médias allemands en Russie (…) semble non seulement appropriée, mais aussi nécessaire ».

L’autorité des télécommunications Roskomnadzor a annoncé avoir demandé à Google, maison mère de YouTube, « de lever dans les plus brefs délais les limites imposées aux chaînes YouTube RT DE et Der Fehlende Part ». « La législation prévoit une suspension totale ou partielle d’accès si le propriétaire d’une plate-forme n’exécute pas un avertissement de Roskomnadzor », fait-elle savoir.

Franchement, tout le personnel de YouTube aurait dû être arrêté depuis longtemps.

Tout comme Faceberg et Twitter, cette organisation agit comme un service de renseignement hostile – ce qu’elle est effectivement.

Nos lecteurs sont désormais assez bien informés de la façon dont agissent les juifs quand les goyim se défendent contre leurs attaques : ils accusent leurs victimes et hurlent à l’agression.

Depuis plusieurs mois, la Russie multiplie les offensives contre les grands réseaux sociaux et plates-formes digitales, les accusant d’être à la solde d’intérêts occidentaux. Elle a forcé Google et Apple à bloquer juste avant les législatives russes du 19 septembre des contenus liés à l’opposant incarcéré et bête noire du Kremlin, Alexeï Navalny, un acte que l’intéressé avait qualifié de « complicité » avec la censure de Vladimir Poutine. Des sources au sein des entreprises ont confirmé avoir cédé, car leurs employés en Russie risquaient d’être arrêtés. Accusé de ne pas avoir retiré des contenus illégaux, Twitter est ralenti en Russie depuis mars, rendant le téléchargement des photos, vidéos et autres GIF très lent.

A la fin de janvier, le président Poutine avait jugé que les entreprises majeures du secteur de l’Internet étaient « en concurrence » avec les Etats. Il dénonçait leurs « tentatives de contrôler brutalement la société ». Depuis 2019, la Russie s’est dotée d’une loi pour le développement d’un Internet souverain. Les autorités démentent vouloir bâtir un réseau national sous contrôle, comme c’est le cas en Chine, mais c’est exactement ce que craignent organisations non gouvernementales et opposants. Les réseaux sociaux sont, en outre, déjà obligés de stocker sur le territoire de la Russie les données de leurs utilisateurs russes. Enfin, les géants du numérique devront sous peu ouvrir des représentations officielles qui seront responsables de « toute infraction au droit russe ».

Plus le temps passe et plus vous devez vous frotter les yeux lorsque vous lisez les médias juifs en France. Nous en sommes à un point où j’ai l’impression de lire deux éditions parallèles d’un même média.

Ils vous décrivent une même situation comme diabolique si elle a lieu dans un pays placé par les juifs sur leur liste noire ou démocratiquement exemplaire quand elle a lieu dans un pays occupé par les juifs.

Mais surtout, ils le font avec leur culot caractéristique.

Je n’ai vu nulle part ces médias se lamenter du fait que le gouvernement français instaurait les mêmes mesures sur ordre explicite des juifs pour persécuter les gens qui s’expriment librement sur internet.

Au contraire, les médias assurent systématiquement la promotion de ces mesures terroristes.

Comme ils savent que nous savons et qu’ils savent que nous savons qu’ils savent que nous savons, leur but est clairement de nous humilier.

Les Occidentaux estiment, quant à eux, que la Russie pilote sur les réseaux sociaux des campagnes de désinformation ou d’influence dans l’objectif de semer la discorde dans leurs sociétés ou à des fins d’ingérence électorale, comme lors de la présidentielle de 2016 aux Etats-Unis.

Il n’y a jamais eu d’ingérence russe lors de l’élection de Trump, mais cette presse juive continue de mentir à ce sujet.

Cette même presse qui s’est décrétée seule en mesure de dire le vrai du faux avec ses « fact checkers » payés par les rabbins pour répéter ce que bon leur semble. Là encore, pour nous humilier.

Toute cette histoire de « fake news » est une bar mitzvah géante lors de laquelle les juifs se paient la tête des goyim avec d’énormes mensonges. C’est un dîner de cons à l’échelle de l’Occident entier.

Hélas, les juifs trouvent tous les convives dont ils ont besoin pour animer cette fête juive.

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