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Captain Harlock
Démocratie Participative
30 janvier 2022
Après avoir fait des mulâtres un peu partout en chantant le cosmopolitisme, Yannick Noah a finalement décidé de renouer avec l’identitarisme racial le plus strict en retournant dans son pays où il est désormais un roitelet nègre local épanoui.
La terre et les morts, comme dit Barrès.
Après le décès de son père, il a quitté la France pour devenir chef de son village au Cameroun. Yannick Noah raconte pour Brut sa nouvelle vie à Yaoundé. pic.twitter.com/kDIkBIhNzN
— Brut FR (@brutofficiel) January 29, 2022
Les négrillons du Cameroun sont infiniment plus disciplinés que la faune de l’Education Nationale dont Blanquer a la charge.
Franchement, la vie en claquettes sous les cocotiers est bien plus adaptée pour les noirs que de se masser sous la grisaille parisienne.
D’ailleurs, quitte à vivre encerclé de noirs, autant vivre en Afrique directement. Tout y est plus simple, ne serait-ce que parce que les Blancs n’y sèment pas leur maladie égalitariste à tous les coins de rue.
