Wes Watson explique comment les Blancs s’organisent pour survivre dans les pénitenciers multiraciaux les plus violents d’Amérique

Captain Harlock
Démocratie Participative
15 août 2019

Le soldat aryen Wes Watson

Wes Watson est un Blanc de Californie qui a passé dix ans dans les pénitenciers de cet état pour trafic de drogue.

Rapidement, Watson a dû apprendre à survivre dans un milieu déterminé par un seul paradigme : la guerre raciale.

Depuis sa sortie de prison, Watson explique en détails les règles de survie dans ce milieu où la moindre erreur signifie de ressortir de prison les pieds devant.

Pour les anglophones, un de ses entretiens sur le sujet :

Voici la synthèse.

Pour survivre : la dictature raciale militarisée

Watson ne se définit pas comme un « raciste » mais comme un racialiste. Quand on lui pose la question de savoir s’il est possible, en arrivant dans un pénitencier californien, de refuser les lois raciales qui les régissent et les devoirs vis-à-vis de ses frères de race, la réponse est toujours la même : « Tu n’as pas de putain de choix. »

« Si tu es un mec blanc, tu arrives, t’es dans le jeu. Il n’y a pas moyen d’y couper. Tu ne vas la jouer chrétien, faire tes trucs de ton côté. Tu vas devoir répondre, à moi ou à quelqu’un de plus haut placé, et tu vas faire ce qu’on te dit de faire. La principale phrase c’est celle-ci : ce n’est pas une démocratie, c’est une putain de dictature. On va te dire quoi faire et c’est tout. »

Pour survivre dans un environnement où tous les groupes raciaux sont toujours en contact et où la mort est tout le temps présente, la solidarité raciale est régie par un système autoritaire de type militaire. Il n’y a plus d’individualisme : l’individu est subordonné au bien de son groupe et il doit lui sacrifier des années de prison supplémentaires dans le cadre du travail de police raciale.

Un homme qui purge 5 ans sera sollicité pour régler le compte d’un type pour X ou Y raison. Ce qui lui vaudra 5, 10 voire 15 ans supplémentaires.

Selon la règle des « trois coups », trois infractions pénales à caractère violent mènent obligatoirement à la peine à perpétuité réelle en Californie. Un détenu ayant déjà 2 infractions de ce type à son actif devra accepter de purger une peine à perpétuité pour un seul point de suture infligé à un ennemi racial ou à un traître lorsque l’ordre tombe.

S’il refuse, il est condamné à mort.

Ta patrie, c’est ta race

Le nègre qui interroge Watson, « Big Herc », demande : « Si tu as un type qui arrive et te dit, « je suis avec le Seigneur tu sais, je suis avec le Christ… »

Non, ça ne va pas se passer. Ça ne marche pas. Tu vas à l’église le dimanche mais tu vas probablement apporter quelque chose à quelqu’un d’autre parce que c’est le seul moment où ils se rencontrent. C’est le seul endroit où différents terrains et différents bâtiments se rencontrent. « Eh mec, tu vas à l’église ? Va apporter ça à ce type ! »… Tu n’as probablement plus envie d’y aller. Comme j’ai dit, à la minute où tu entres en prison, à chaque fois que je te demande quelque chose, la réponse est « oui ». »

Abandonner son groupe racial signifie signer son arrêt de mort, les Blancs étant en nette minorité dans les prisons de Californie.

Les groupes blancs des pénitenciers de niveau 4 – « Haute Sécurité », meurtre, tentative d’homicide – ont une politique : « Jamais à mains nues ». Si un Blanc veut déclencher un affrontement avec un individu ou un gardien, il a pour obligation de le tuer à l’arme blanche. Une simple rixe est interdite. S’il ne tue pas son adversaire déclaré, il sera assassiné en représailles pour avoir été trop faible.

Sexualité : peine de mort pour les homosexuels

Watson précise à propos de l’homosexualité :

Chez les Blancs, il n’y a aucun truc sexuel, rien. Si tu te retrouves dans un truc comme ça, vous serez tous les deux tués. Personne ne joue à cette merde.

Tous les détenus ont leur passif pénal analysé par les gangs. Si un nouveau détenu est coupable d’avoir touché un gosse (« child molester » ou « chomo »), il a le visage tranché au rasoir.

La confiance est la règle d’or

La confiance est fondamentale au fonctionnement du groupe racial en milieu hostile. C’est pourquoi aucun mensonge n’est toléré.

Watson raconte l’histoire d’un énorme monstre blanc de « Coco county » (Contra Costa, Californie) qui se faisait passer pour un membre de la Fraternité Aryenne. Après vérification, l’intéressé mentait et devait donc être discipliné d’une façon particulièrement violente.

Un commando de 5 Blancs a été désigné pour corriger le fauteur : 5 ans pour quatre d’entre eux, 15 ans pour le responsable.

Le nombre fait tout : aussi solide que soit un homme seul, un groupe l’aura.

Chaque Blanc est recruté d’office pour assurer la défense du groupe racial. Les Blancs sont classés en fonction de leurs capacités et de leur profil. Un Blanc qui utilise de la drogue sera mis en première ligne pour les tâches ingrates.

Les Blancs les plus intelligents et dangereux sont gardés en réserve en cas de problèmes très sérieux.

Comme à la guerre, les troupes de mauvaise qualité peuvent être sacrifiées pour atteindre l’objectif du groupe.

Leçon

Ces prisonniers blancs n’ont appris ce qu’ils ont appris que par l’expérience. En temps de guerre raciale, le retour à l’organisation militaire sur base raciale est indépassable.

La démocratie est une anomalie qui vient avec une autre anomalie : la paix.

Les Blancs, en prison, sont le groupe le plus dangereux car le plus intelligent et le plus létal. La race blanche est la plus redoutable de toutes les races en raison de l’efficacité que lui confèrent sa force physique et son intelligence.

Toute survie passe par ces deux principes : autoritarisme et racisme. Pas l’égalité, l’amour entre les peuples ou les droits de l’homme.

Pour comprendre le 21ème siècle en Europe, il faut étudier les prisons américaines et l’expérience des Blancs en milieu racial hyper hostile.