Voici nos nouveaux trains révolutionnaires : les trains séropositifs

Captain Harlock
Démocratie Participative
07 juin 2019

 

Nous avons officiellement un TGV pour fiottes sidaïques.

C’est très certainement une avancée.

RTL :

A l’occasion du mois des fiertés, la SNCF revêtit les couleurs du drapeau arc-en-ciel de la communauté lesbienne, gay, bisexuelle et transgenre. Une initiative forte pour marquer son engagement dans la lutte contre l’homophobie.

À l’instar d’autres entreprises, la société a décidé de faire un geste visible : un TGV arc-en-ciel, qui selon Têtu circulera jusqu’au 7 juillet sur certaines lignes de France métropolitaine.

Comme l’explique le magazine, il s’agit d’un partenariat exceptionnel entre la SNCF et Gare!, l’association LGBTQ+ du groupe. Le train, sorti des ateliers le 5 juin, est entièrement habillé de couleurs arc-en-ciel. Le véhicule dont l’apparence a été dévoilée par Gare! sur Twitter, présente la mention « Stonewall, 50 ans de fiertés LGBTQ+ », affichée à l’avant du train, en référence aux 50 ans du soulèvement de 1969 après une funeste descente de police au « Stonewall Inn », un bar homosexuel de New-York.

Interrogé par Têtu, Loïc Leuliette, patron du service de presse de la SNCF, a déclaré que cette initiative n’avait « rien de surprenant », compte-tenu de l’ancrage historique de la société ferroviaire « dans la lutte pour le respect des diversités et notamment LGBTQ+ ».

Le train circulera du 5 juin au 7 juillet 2019 sur les lignes Paris-Strasbourg, sur les lignes Paris-Reims, Paris-Allemagne, Paris-Luxembourg et Luxembourg-Montpellier, via Dijon.

Quelque chose s’est passé.

Depuis que les juifs et le lobby homo-sidaïque ont pris le pouvoir en France, la définition du progrès a sensiblement changé.

Naguère, le progrès était mesuré en termes d’avancées techniques et scientifiques qui étaient traduites en nouvelles applications pour le plus grand nombre afin d’améliorer ses conditions de vie matérielle.

En tout cas, depuis la Renaissance, c’est ainsi que le progrès était généralement défini.

Désormais, un progrès ferroviaire en France se définit comme ça :

Et en Chine comme ça :

Typiquement, le développement du train a été un progrès majeur en Europe.

C’était la marque de la réussite du continent après la maîtrise de la production d’acier à grande échelle et la découverte du moteur à vapeur lors de la première révolution industrielle.

C’est ce que font les Chinois avec leur nouvelle infrastructure ferroviaire colossale : démontrer la puissance de leur industrie et de leur infrastructure.

Qu’ils robotisent de plus en plus.

Les Chinois peuvent mobiliser leur immense réserve de main d’oeuvre pour construire vite et à bas coût ce que nous avons abandonné même l’idée de faire.

Si on en croit l’orthodoxie « progressiste occidentale », repeindre n’importe quel objet aux couleurs des travelos pédophiles nous ouvrira tous les marchés de la planète.

Je pense pour ma part que la définition chinoise du progrès – qui était la nôtre avant que les juifs, les femmes et les pédés ne prennent le contrôle du système – aura plus de succès quand il s’agira de conquérir les marchés mondiaux.

Pourquoi ne peint-on pas nos Rafales aux couleurs de la Gay Pride ?

Peut-être parce que ça ferait pédé et que les fiottes ne sont pas connues pour leurs vertus martiales chez les peuples marron.

Le progrès régressif juif

L’embourgeoisement de la classe ouvrière avec ses syndicats de nantis a tué l’idée même de progrès social. Le cégétisme a aboli l’idée que le travail est mis au service du peuple. A tous les niveaux, surtout dans les secteurs étatiques, le travail est vécu comme une contrainte qu’il faut convertir en rente de situation au détriment des autres segments du peuple.

On embauche deux pour faire le travail d’un.

Cet état d’esprit général favorise le m’enfoutisme, le sabotage, le grévisme, les cinécures. Dans ces conditions, il est devenu impossible pour l’Etat de penser quoi que ce soit d’envergure, conçu à l’échelle du pays.

On en vient ensuite à cannibaliser les infrastructures pour financer l’instrument qui a perdu sa fonction première.

C’est la grande différence aujourd’hui entre nous et les Chinois : le travail intégralement placé sous la direction des buts édictés par l’Etat. Ce qui sauve la France, ce sont les quelques 20 millions de personnes qui tirent les 50 millions d’autres dont 15 millions de bouches à nourrir allogènes.

Dans le même ordre d’idée, le principal aéroport d’un pays est de la plus grande importance. C’est la porte d’entrée d’une nation et la première impression que reçoit un étranger du pays qu’il visite.

En France, c’est la ruine de Roissy Charles De Gaulle, intégralement administrée par des maghrébins et des noirs.

L’Etat Français a notamment développé l’idée de peupler les toilettes de ses infrastructures d’une pléthore de négresses repoussantes pour racketter le quidam russe ou américain qui ose s’aventurer dans une des pissotières de cet aéroport ou de ces gares.

En plus, Roissy est garni d’immondes youpins en partance pour Israël.

Cet aéroport est devenu l’image même de la France tiers-mondisée.

En Chine, a Pékin, l’Etat est occupé à bâtir un nouvel aéroport.

Plus nous nous enfonçons dont la régression sociale, plus la finance et les médias juifs troquent les avancées techniques tangibles par du « progrès sociétal » à base d’anus séropositif et de twerk.

Dans les années 80, le 21ème siècle était pensé différemment.

Où est mon overboard ?

Je veux mon overboard.

Sales juifs, reprenez vos nègres djihadistes et vos travelos sidaïques et rendez-moi mon overboard.

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