Vincent Reynouard : « La Shoarnaque : poison politique mortel pour l’Europe (ep. 1) »

Le Libre Panzer
Démocratie Participative
27 janvier 2020

 

A la veille du 75e anniversaire de la libération d’Auschwitz et au lendemain du jour où il a reçu le Prix International Robert Faurisson, Vincent Reynouard lance sa série « Shoarnaque : poison mortel pour l’Europe ». Il y synthétise l’argumentation révisionniste et la complète en y ajoutant ses propres découvertes faites ces trois dernières années.

Une déconstruction en règle du mythe de l’extermination des Juifs sous Hitler.

Plan du premier épisode :

Introduction

1.« Preuves matérielles » de la Shoah ? Non : esbroufe
2. Auschwitz : que sont devenus les Juifs non-immatriculés ?
3. Les tas de cheveux visible à Auschwitz
4. Auschwitz : attention, tromperie facile !

I. Aucune photo d’une « chambre à gaz » homicide allemande

1. La fausse « chambre à gaz » du Struthof présentée jusqu’en 1989
2. Auschwitz : une photo tronquée pour prétendre montrer une « chambre à gaz »
3. Les supercheries de l’historienne Anne Grynberg
4. Birkenau : les photos clandestines de « gazés » prises par la résistance polonaise démentent la thèse officielle

A suivre :

II. Les photos prises par les Alliés à la libération des camps

1. L’état de l’Allemagne depuis la fin 1944 : un pays bombardé, laminé, disloqué
2. Les camps reflètent cette situation : les Alliés en profitent pour organiser leur propagande à base de photos terribles
3. Dès 1946 on pouvait savoir la vérité, sur l’origine réelle des spectacles découvert dans les camps
4. De multiples documents occultés par les vainqueurs et les historiens

III. Les « témoignages » : confirment-ils la réalité de la Shoah ?

IV. Dès 1945, les vainqueurs savaient que les « chambres à gaz », c’était un bobard de guerre

1. Août 1943 : les dirigeants alliés refusent de parler des « chambres à gaz »
2. Avril 1945 : Radio-Berlin dément les récits de « gazages homicides ». La réaction révélatrice des vainqueurs
3. Les éléments matériels démentent la thèse de l’existence des « chambres à gaz » homicides

V. Pour étayer leur propagande qu’ils savent mensongère, les vainqueurs traquent le premier commandant d’Auschwitz, le capturent et lui extorquent des « aveux »

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