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La rédaction
Démocratie Participative
25 octobre 2022
Viktor Orban a comparé l’Union Européenne à l’URSS dans son discours donné lors de la commémoration du soulèvement anticommuniste hongrois de 1956.
La presse juive hurle de douleur.
Politico :
Le Premier ministre hongrois Viktor Orbán a fait des comparaisons implicites dimanche entre les institutions de l’UE et les troupes soviétiques qui ont attaqué la Hongrie pendant la révolution de 1956, selon l’Associated Press.
Marquant le 66e anniversaire de ce soulèvement écrasé, M. Orbán a suggéré que l’UE, qui a cherché à freiner le recul démocratique en Hongrie, finirait comme l’Union soviétique, selon le rapport de l’AP.
L’UE, dirigée par le gang non-élu de Von der Leyen, cherche à « freiner le recul démocratique » en Hongrie, dirigée par un homme réélu triomphalement.
La démocratie et les élections sont deux choses distinctes, en effet.
La démocratie est démocratique quand les électeurs votent ce qu’exigent les financiers juifs. La démocratie cesse d’être démocratique quand ils votent pour ce qu’ils veulent.
Comprends-tu, goy ?
« Ne nous occupons pas de ceux qui tirent sur la Hongrie depuis l’ombre ou depuis les hauteurs de Bruxelles. Ils finiront là où leurs prédécesseurs ont fini », a déclaré M. Orbán dans un discours prononcé dans la ville de Zalaegerszeg, dans l’ouest de la Hongrie.
En la matière, je prendrais Orban au sérieux.
Il a déjà enterré l’Union Soviétique.
Il est parfaitement capable d’enterrer l’UE qui est infiniment plus gay que l’URSS.
Budapest est confrontée à la menace d’une réduction des fonds européens en raison de son bilan démocratique. Les pays de l’UE examinent la possibilité de suspendre 7,5 milliards d’euros de fonds européens destinés à la Hongrie en raison de problèmes liés à l’État de droit. Au début du mois, plusieurs gouvernements de l’UE ont exhorté la Commission européenne à réaliser « une analyse des risques approfondie et actualisée » de la situation en Hongrie.
L’État de droit est ce concept qui donne carte blanche aux immigrés du tiers-monde pour tuer des gamines blanches parce que la finance internationale exige l’importation annuelle de livreurs clandestins Uber Eats.
Le concept est assez bien connu.
« Nous étions ici lorsque le premier empire conquérant nous a attaqués, et nous serons ici lorsque le dernier s’effondrera », a déclaré M. Orbán dimanche. « Nous le supporterons quand nous le devrons, et nous repousserons quand nous le pourrons. Nous tirons l’épée quand il y a une chance, et nous résistons quand viennent de longues années d’oppression. »
Le gouvernement de Budapest a proposé des réformes qui, espère-t-il, apaiseront les inquiétudes de l’UE. L’Union européenne a jusqu’à la mi-décembre pour décider de sanctions financières à l’encontre de la Hongrie.
Ce discours est juste, mais Orban devrait abandonner cette histoire de fonds.
C’est de l’or juif empoisonné.
De toute façon, 7 milliards d’euros ne feront aucune différence significative et l’UE est condamnée.
