Victorine, amatrice de diversité, retrouvée morte à quelques minutes de l’endroit où fut décapité Hervé Cornara

Captain Harlock
Démocratie Participative
30 septembre 2020

 

La mort de Victorine Dartois à Villefontaine, près de Lyon, s’est transformée en drame existentiel pour les poufs qui adorent évoluer en milieu diversifié.

D’abord, personne n’a pointé du doigt le fait que le secteur est connu pour sa vibrante richesse culturelle. Le lieu où le corps de la jeune femme a été retrouvé est situé à dix minutes en voiture de l’entreprise de Saint-Quentin Fallavier où Hervé Cornara avait été décapité par le moudjahidine Yassin Salhi en 2015.

Désolé, mais une photo vaut mille mots.

Personne ou presque ne se rappelle de ce Français assassiné. En France, personne ne se rappelle jamais des Français assassinés par les noirs et les arabes. Nous sommes trop occupés à soigner les immigrés victimes de racisme comme Danièle Obono. Et puis, comme disait si bien Manuel Valls, il faut s’habituer avec vivre avec le terrorisme, c’est-à-dire avec les arabes.

Comme le démontre l’attentat de 2015, le secteur est largement bougnoulisé. Qu’à cela ne tienne, Victorine aimait beaucoup fréquenter des algériens. Assidûment, dirai-je.

Un tour sur son profil Twitter permet de voir qu’un nombre important de ses 50 abonnements est composé de maghrébins et de noirs.

Je ne peux pas considérer la tenue de femme libérée de 25 ans de cette gamine de 18 ans comme absolument dénuée d’implications quotidiennes dans un tel environnement ethnique, environnement qui avait l’air de lui plaire.

Je ne veux pas préjuger du background familial de cette fille mais le profil de sa mère peut suggérer des choses.

Des choses que des white trash englués dans des zones bougnoulisées pourraient dire, du genre « Hakim a appelé, tu dors chez lui ce soir ma fille ? ».

A cette heure, on ne sait pas si elle a été violée. On ne connaît pas l’origine raciale d’un éventuel tueur. Donc, comme tout le monde, je ne sais pas ce qui s’est passé.

Mais l’appréhension univoque des pétasses sur les réseaux sociaux me permet de dire qu’elles ont une bonne connaissance des taux de probabilités de mort violente en milieu diversifié et que cela fait clairement frire leur système.

Pour une fois, je citerai un juif.

Ces puputes blanches veulent pouvoir s’habiller comme des nanas sexuellement disponibles et pouvoir déambuler n’importe quand, seules, pour aller d’un date à un autre. Elles ont parfaitement intégré le paradigme du féminisme sur la question. Mais le bug survient quand vous insérez dans le jeu des maghrébins et des noirs. Comme les puputes blanches sont très heureuses d’être convoitées par une foultitude de mâles basanés débiles pratiquant le Ramadan, la dissonance cognitive devient paroxystique quand ce qui leur procure du plaisir leur procure aussi la mort.

En pareil cas, les puputes blanches appellent à l’aide les mecs blancs pour qu’ils recadrent un peu les noirs et les arabes en en assassinant quelques uns pour qu’elles puissent continuer de baiser avec la diversité en toute sécurité.

Il va falloir faire un travail de pédagogie et expliquer à ces nanas qu’il est bien trop tard pour sauver le féminisme. Que cela plaise ou non, la diversité afro-musulmane l’a rendu impraticable. La diversité progressant à un rythme foudroyant sous l’effet de l’immigration de masse, nous arrivons logiquement au moment où une femme qui s’habille légèrement en France se met une cible sur la tête.

Peut-être que dans ce cas d’espèce, Victorine est morte assassinée par Jean Dubois, un serial killer de 58 ans. C’est possible. Ou par un Erik Hendrikson, un faux étudiant danois de 25 ans. C’est aussi possible. A moins que ce ne soit Thibaut, un jeune homme secrètement amoureux. Tout ça est possible, je ne l’écarte pas.

Mais il est également possible que Yunis, son ex, rageait après qu’elle l’a plaqué pour sortir avec Abdellatif et a décidé de la noyer après l’avoir stalkée.

Tout ça est très embrouillé. Vivre dans une société multiraciale à forte composante islamique rend tout très embrouillé.

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