Vibrations multiraciales à Aubervilliers : un gamin blanc de 2 ans sauvagement attaqué par un babouin en pleine crèche

La rédaction
Démocratie Participative
12 janvier 2023

 

Le niveau d’éveil contextuel de certains Blancs est si faible qu’ils mettent leurs enfants en danger avec le calme d’une vache sacrée.

Il suffit d’écouter les voix de ces deux parents pour comprendre que le problème se situe au niveau de leur QI, au moins tout autant que de cette crèche.

Ce pauvre gamin ne part pas gagnant dans la vie avec de tels demeurés pour s’occuper de lui.

BFMTV :

Ils souhaitent faire la lumière sur les hématomes découverts sur le visage de leur fils. Lundi, vers 13h40, Sonia va chercher son fils Lyam, deux ans et un mois, à la crèche Les Petits Chaperons Rouges-Annicke Kelebe, à Aubervilliers.

Aubervilliers.

Je ne sais pas.

Dès son arrivée, la directrice de l’établissement l’interpelle et la prévient que son fils a subi « une petite griffure ». « Je me suis dit, ce sont des enfants, ça arrive », explique la mère de famille, au micro de BFM Paris Ile-de-France. Mais une autre personne s’excuse auprès d’elle. « Elle me parle d’une morsure. Donc j’ai deux sons de cloche. Ensuite, j’ai demandé à voir mon fils, il était en train de dormir dans le dortoir, tout seul », raconte Sonia.

C’est finalement le visage de son fils bien abîmé qu’elle retrouve. Sur des photos que BFM Paris Île-de-France a pu consulter, on voit le petit garçon le visage traversé par un large hématome.

Ce pauvre petit a été sauvagement attaqué.

Quiconque a un tout petit peu de sagesse raciale sait que c’est le résultat d’une attaque de singes.

Les nègres sont des bêtes sauvages, aussi violentes que stupides.

Détruire est leur seule fonction.

Nous sommes à Aubervilliers et cette crèche accueille évidemment des babouins de ce genre. Bien que ce soit évident, cette évidence est bien sûr soigneusement caviardée par les médias.

Dès deux ans ces bêtes sauvages sont assoiffées de haine envers les Blancs.

« Il avait le visage tout gonflé, marqué », affirme cette dernière qui ne croit pas à la griffure. Pour elle, ces marques sont plutôt le signe de coups au visage. « J’étais sous le choc, je n’ai pas compris », confie Sonia qui décide d’appeler son mari. Ce dernier vient la retrouver afin de réclamer des explications. Les parents font part de leur colère, également sur la prise en charge du petit garçon.

« Normalement on ne fait pas dormir un enfant s’il a reçu des coups au niveau de la tête, on ne peut pas savoir ce qu’il peut se passer », gronde le père de Lyam.

L’explication qui leur est fournie les interpelle. Les faits se seraient produits « pendant la sieste dans le dortoir et ce sont les cris de mon fils qui les a alertés parce que mon fils pleurait », racontent-ils.

Ces derniers évoquent plusieurs hypothèses: la maltraitance d’un employé, l’intervention d’un autre enfant, la chute du jeune garçon, un meuble tombé sur ce dernier… « On veut une explication. On est dans le flou », estime Sébastien. « Je veux savoir en fait », complète Sonia. Après avoir été reçus par la directrice, celle-ci aurait assuré au couple que des sanctions seraient prises.

Le couple a décidé de porter plainte au commissariat d’Aubervilliers après une consultation avec un médecin traitant. Un médecin de la police judiciaire pour faire constater les marques de leur fils qui se situent sur le visage, le coup et l’aisselle. « Maintenant on va attendre d’être reconvoqué pour en savoir plus », indique le couple. Le petit garçon va lui changer de crèche.

Contactée, la direction régionale des crèches Petits Chaperons Rouge confirme à BFM Paris Ile-de-France que les blessures ont été occasionnées sur le temps de la sieste à la crèche.

Elle maintient que les blessures de Lyam sont des morsures et des griffures d’enfants, et non de la maltraitance de la part d’employés. Toutefois, l’entreprise a ouvert une enquête interne pour comprendre ce qu’il s’est exactement passé.

La mairie d’Aubervilliers a également réagi sur l’affaire. « C’est la première fois que nous avons une remontée comme celle-ci qui est prise très au sérieux par nos services. La ville questionne le responsable du marché, Les Petits Chaperons Rouges qui gère la structure », communique la mairie, qui rappelle que ce sont essentiellement des enfants du personnel de la ville qui sont accueillis dans cette crèche.

« Nous travaillons avec l’ensemble des parties pour comprendre cette situation et nous laissons les services compétents agir. Nous sommes dans l’attente de la conclusion de l’enquête qui est en cours. La ville s’associe aux parents dans la traversée de cette épreuve qui n’aurait jamais dû arriver », conclut la mairie, qui a également lancé une enquête interne de son côté.

Les enfants en bas-âge sont fragiles, un seul mauvais coup peut avoir de graves conséquences. Ces deux parents peuvent s’estimer heureux.

Le m’enfoutisme du personnel après l’agression sent la nonchalance maghrébo-antillaise à plein nez, tout autant que l’absence de personnel dans la salle lors de la sieste des gamins. Les pachydermes « en charge » devaient être à côté en train de bâfrer de la pâtisserie orientale dégueulasse autour d’un thé lorsqu’elles ont finalement daigné bouger leurs gros culs en entendant les cris du petit Blanc sauvagement attaqué par un, voire plusieurs négrillons.

En arrivant sur place, elles ont vu plusieurs macaques s’en prendre au gamin, mais il se trouve que ces macaques sont les négrillons d’employés de la commune qu’ils connaissent bien. Depuis, ils essaient de noyer le poisson.

C’est de la solidarité raciale antiblanche à 300%.

Voilà ce qu’il se passe quand on tolère la proximité avec ces animaux.

Qui peut être assez idiot, quand on est blanc, pour s’entêter à rester dans un pareil trou à rats multiracial, encore plus avec un gamin blanc de deux ans ?

Je répète que ces parents sont des demeurés qui ont besoin d’un sérieux coup de bambou sur la tête pour commencer à voir la lumière du jour.

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