Venezuela : les pépitos s’entretuent pour le contrôle de ce trou à rats

Captain Harlock
Démocratie Participative
24 janvier 2019

 

Apparemment, il y a une sorte de coup d’état au Venezuela depuis hier.

Assez rapidement, une sorte de parlementaire, un certain Juan Guaido, s’est proclamé président du pays contre l’actuel communiste sépharade Maduro.

Dans la foulée, les USA et le Brésil ont décidé de soutenir le putsch en reconnaissant ce Guaido comme président légitime du pays.

Les Russes, les Chinois et les Iraniens soutiennent quant à eux Maduro.

Quant à la fiotte de l’Elysée, elle soutient apparemment le coup d’état.

Franchement, ce gouvernement de pépitos rouges s’est mis lui-même dans cette situation. C’est ce qui arrive toujours avec ces marxistes marron.

On parle d’un pays qui n’a même plus de papier cul à fournir à sa population.

Les juifs n’ont donc aucun mérite.

Le Venezuela est pour ainsi dire la dernière tentative de la part des communistes de prouver que leurs hallucinations économiques fonctionnent.

Ceci étant dit, que ces pépitos du Venezuela aient à manger ou non est le cadet de mes soucis.

Ce qui m’intéresse, c’est l’attitude de régime face au globalisme juif. Le Venezuela rouge a au moins pour lui d’avoir défendu Assad.

D’ailleurs Assad s’est empressé de défendre Maduro.

Ma seule ligne d’analyse se résume à ça dans cette affaire : faire chuter le régime chaviste va-t-il aider ou affaiblir la juiverie internationale ?

Il ne fait pas l’ombre d’un doute que les youpins salivent déjà l’idée de remettre la main sur le pays.

L’armée, le seul truc qui compte en fait, continue de soutenir Maduro. Ce qui signifie que le putsch n’a aucune chance.

Bref, ça sent le putsch manqué à la turque avec un retour de bâton particulièrement brutal.

La seule option qui reste pour les putschistes, c’est de recevoir un soutien militaire américain et brésilien, ouvert ou non. Des armes, des munitions, des cadres militaires.

Je n’ai pas vraiment envie de choisir entre les pépitos communistes merdiques et les juifs.

Mais bon.

Je suppose que dans les prochains jours, à force de voir les juifs hurler à la mort, je vais finir par apprécier le Venezuela rouge.