Valls et Sarközy conspirent activement avec Macron pour former un gouvernement répressif radical

Captain Harlock
Démocratie Participative
20 Avril 2020

Si les gens sont toujours hypnotisés par cette grosse grippe, le Système prépare déjà l’étape suivante. Avec l’inévitable dépression économique qui est en train de se former, le Système sait qu’il va devoir affronter le risque d’une révolution.

La clique au pouvoir nous prépare donc un pseudo gouvernement « d’union nationale » qui sera en réalité une coalition dont le plus petit dénominateur commun sera la défense fanatique de la suprématie juive. Le régime sait que la seule base de Macron ne suffira pas à le sauver.

Quand on parle de suprématie juive, on peut être sûr que Manuel Valls n’est jamais loin. Il semble, d’après les rumeurs, que Macron veut réutiliser ce roquet. En tout cas, ce vagabond ne rate aucune occasion de faire savoir qu’il est prêt à tout pour participer à la répression qui s’annonce.

Honnêtement, je ne crois pas que Macron soit à ce point idiot qu’il veuille prendre ce type. Ce serait jeter une tonne d’hydrocarbure sur un barbecue. Ceci dit, s’il s’agit de se doter d’une créature servile qui accepte d’endosser le pire de la répression, Valls est en effet tout désigné.

Nous avons aussi ce nain puant de Sarközy qui entend s’arroger une satrapie sous cette tyrannie en gestation.

Nous allons voir accourir tous les rats des partis juifs pour proposer un partage du pouvoir à Macron. Ce dernier ne pourra pas refuser. Ceux qui tirent les ficelles en coulisses ont besoin de mobiliser tout l’établissement derrière eux.

Une fois que ce gouvernement terroriste sera formé, la juiverie utilisera les moyens les plus brutaux pour se maintenir. Les flics recevront tôt ou tard des ordres pour tirer sur la population en cas de révolte générale.

L’argument sera le même que celui utilisé jusqu’ici : la dictature sanitaire.

Chez les Républicains, il y a le Ken en plastique Geoffroy Didier qui pousse également dans cette direction.

L’objectif est très nettement anti-insurrectionnel.

Le JDD :

Emmanuel Macron a évoqué sa volonté de bâtir un projet de « concorde » et d’union nationale. Que lui répondez-vous?

Sur l’union nationale, je réponds : « oui, si ». Après le virus, nous, responsables politiques, allons devoir affronter d’autres ennemis communs : l’appauvrissement économique, le risque d’explosion sociale, la tentation populiste. Je ne ferai pas partie de ceux qui se mettront, en mai ou juin, à faire comme avant, en critiquant systématiquement.

Je vois trois urgences : le retour de l’Etat dans ses dimensions vitales avec la relocalisation de nos industries de première nécessité, la construction d’une autonomie stratégique de l’Europe à laquelle je suis très attaché, la cohésion républicaine face aux violences passées et à venir. Pour mener ce projet, les administrations devraient être organisées en task force au service de cinq ou six grands ministères de combat (réindustrialisation, redressement économique, refondation de l’Europe, pouvoir de vivre, cohésion nationale) dirigés par des grandes figures politiques issues de tous les horizons et secondées par des élus concentrés sur une mission.

Ces gens ont à l’évidence un plan en tête et ce plan passe par l’écrasement de toute forme d’opposition à la (((dictature sanitaire globale))).

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