USA : les gens marrons lancent le désenjuivement de leurs organisations antiracistes au nom de la lutte contre le suprémacisme juif

Captain Harlock
Démocratie Participative
22 janvier 2019

Les juifs affrontent un sérieux problème aux Etats-Unis.

Les gens marrons ne sont plus demandeurs de leur suzeraineté.

Vraiment plus du tout.

Samedi dernier avait donc lieu à travers tout le pays un machin féministe annuel intitulé « Women’s march ». Ce truc est l’occasion pour toutes les femelles colorées de déverser avec frénésie leur haine de l’homme blanc.

Comme vous pouvez le voir, ce n’est pas du Simone de Beauvoir.

C’est officiellement structuré sur le thème du féminisme mais en réalité, la véritable ligne de force est celle de la guerre raciale contre les Blancs.

Cette année cependant, tous ces gens marrons ont décidé de tourner la page juive aux USA.

La juive Claire Levenson a produit un papier paru sur le média hébraïque Slate qui revient sur les évolutions en cours. Et elle n’est pas rassurée du tout.

Slate :

En janvier 2017, la Women’s March est devenue le symbole de la résistance populaire et féministe à Trump. Aux États-Unis, les manifestations avaient attiré plus de trois millions de personnes, dont beaucoup portaient les fameux «pussy hats» roses. Deux ans plus tard, le mouvement est divisé et affaibli.

Suite à une controverse sur les liens de trois de ses co-fondatrices avec Nation of Islam, une organisation antisémite et homophobe prônant le séparatisme de la communauté afro-américaine, des centaines d’associations ont retiré leur soutien à la Women’s March. Ont notamment mis fin à leurs partenariats avec le mouvement le Parti démocrate, la National Association for the Advancement of Colored People (NAACP), qui lutte contre les discriminations raciales depuis 1909, la Human Rights Campaign (HRC), la principale organisation américaine de défense des droits des personnes LGBT+, ou encore le syndicat American Federation of Labour – Congress of Industrial Organisations (AFL-CIO).

La NAACP a toujours été une organisation juive.

En fait, la plupart des organisations antiracistes aux USA au 20ème siècle ont été créées par des juifs pour instrumentaliser les nègres contre les Blancs.

Le nègre Marcus Garvey en a d’ailleurs fait l’expérience en son temps, découvrant qu’il ne lui avait été donné comme seul choix que de troquer des maîtres blancs pour de nouveaux maîtres juifs.

Martin Luther King quant à lui s’est mis consciemment sous la coupe des juifs.

Donc, la donne de départ édictée par les juifs est simple : « vous les basanés, si vous voulez pouvoir recevoir une part du butin prélevé sur les Blancs, c’est simple, vous nous obéissez, à nous les juifs. »

Jusqu’à présent ce deal fonctionnait globalement bien mais l’appétit vient en mangeant.

Avec l’énorme masse de gens marrons qui vit désormais aux USA, tous ces nègres, musulmans, pépitos communistes et autres colorés veulent réécrire l’accord sur une base nouvelle : « Merci pour tout, juifs, mais à partir de maintenant, on va gérer nos affaires seuls. »

Inutile de dire que cette OPA hostile sur l’antiracisme de la part des métèques au détriment des juifs n’est pas du tout du goût de ces derniers.

Si de nombreuses manifestations sont maintenues pour le samedi 19 janvier, plusieurs branches locales ont préféré annuler les rassemblements, comme à la Nouvelle-Orléans ou à Chicago. D’autres ont publié des communiqués pour prendre leurs distances avec le comité national, tout en conservant le nom de Women’s March. Dans certaines villes, d’autres associations féministes ont décidé d’organiser leurs propres manifestations le même jour, mais séparément.

Les accusations d’antisémitisme circulaient depuis au moins un an. En février 2018, l’une des fondatrices de la Women’s March, Tamika Mallory, avait assisté à un discours de Louis Farrakhan, le leader de Nation of Islam, lors duquel il avait entre autres déclaré: «Les juifs [sont] responsables de toutes ces saloperies et ces comportements dégénérés créés par Hollywood, où les hommes deviennent des femmes et les femmes des hommes.»

Associer la haine des juifs à la transphobie et l’homophobie est l’une des spécialités de Farrakhan, qui compte parmi ses admirateurs Dieudonné et Alain Soral. En 2006, il jugeait ainsi que «ce sont les juifs maléfiques, les juifs menteurs qui font la promotion du lesbianisme et de l’homosexualité.» En 1984, Farrakhan avait également affirmé qu’Hitler était un «grand homme».

Jusqu’ici, le comité national de la Women’s March était parvenu à conserver ses sponsors dans le monde politique et associatif. Mais la situation est désormais devenue intenable, surtout depuis la publication en décembre dernier d’un article du magazine Tablet dans lequel plusieurs organisatrices des débuts de la Women’s March accusent les fondatrices d’avoir tenu des propos antisémites lors d’une réunion.

Selon Tablet et le New York Times, l’une de ces organisatrices, Vanessa Wruble, a raconté durant cette réunion en quoi son judaïsme l’a inspirée à être activiste. Deux des co-fondatrices, Tamika Mallory et Carmen Perez, lui ont alors répondu que la communauté juive devait réfléchir à sa propre responsabilité dans le racisme, arguant qu’elle avait joué un rôle particulièrement important dans la traite des esclavesune accusation infondée, mais diffusée dans les livres de Farrakhan. Wruble a ensuite rapporté avoir été poussée à quitter le mouvement.

« Infondée », ha !

Levenson, pas si vite.

Ces nègres savent parfaitement le rôle que ta race a joué dans le commerce triangulaire.

Et d’une manière plus générale, dans la traite des esclaves à toutes les époques.

D’ailleurs, les juifs ont souvent supervisé la traite d’esclaves blancs pour le compte des mahométans.

Quoi qu’il en soit, les nègres ne tiennent plus unanimement les juifs pour leurs bienfaiteurs.

Mais face aux attaques féroces de la presse juive, les organisations marrons se livrent à de complexes exercices rhétoriques pour dire que s’ils haïssent les juifs c’est en fait pour leur bien.

Mallory a nié avoir tenu ces propos, pourtant entendus par plusieurs sources présentes, mais a envoyé au New York Times une réponse suggérant une culpabilité collective des juifs en tant que personnes blanches: «Depuis cette conversation, nous avons tous beaucoup appris: bien que les juifs blancs, en tant que blancs, contribuent à renforcer le suprémacisme blanc, TOUS les juifs en sont également victimes.»

La presse juive est en guerre contre la grave rupture systémique qui menace le contrôle que les juifs exercent sur les gens marrons en Amérique.

Cette Mallory, peu de jours avant la marche prévue, s’est vue remettre une dernière offre de paix par les juifs.

Les juifs procèdent souvent ainsi.

Ils disent quelque chose du genre, « oh, ce que vous avez dit dernièrement est vraiment choquant, c’est horrible. Mais après tout, nous avons peut-être mal compris vos déclarations. Vous vouliez probablement dire que vous acceptiez totalement, intégralement notre tutelle, c’est bien ça ? Franchement, avec tous ces Blancs à anéantir, nous devrions vite passer à autre chose. Rappelez aux gens marrons que nous sommes vos maîtres légitimes et tout reviendra à la normale. »

Sauf que cette Mallory a fait comprendre il y a quelques jours qu’Israël n’avait aucune espèce de valeur pour les gens marrons de cette terre et que les juifs devraient progressivement accepter de capituler.

Elle a d’ailleurs utilisé le mot « autochtones » pour parler des Palestiniens, ce qui renvoie immédiatement à l’histoire des Indiens d’Amérique.

Aussi stupides que soient les nègres ou les pépitos, le mot « autochtones » déclenche chez eux une réponse unanime. Et cette réponse n’est pas franchement philosémite.

Si les juifs s’ingénient à se présenter tour-à-tour comme des Blancs ou des sémites, en fonction de leur intérêt du moment et de l’identité de leur interlocuteur, pour les nègres ou les arabes, les juifs sont des Blancs au carré.

Des Blancs dotés de super pouvoirs qui contrôlent les autres Blancs.

Contrairement aux Blancs, les basanés n’ont aucun mal à comprendre que les juifs contrôlent les USA.

Autrement dit, pour ces gens colorés, les juifs sont une sorte de Blancs à abattre prioritairement.

Pendant l’interview sur ABC News, la journaliste a également demandé à Mallory d’expliquer pourquoi elle avait posté sur Instagram, en 2017, une photo d’elle avec Farrakhan, accompagnée de la légende: «Dieu merci, cet homme est encore vivant et en bonne santé. C’est le meilleur de tous les temps

Mallory a rétorqué qu’elle n’avait pas dit que Farrakhan était le «meilleur»en raison de sa rhétorique, mais en raison de ce que son organisation avait fait pour la communauté noire. Nation of Islam, qui ne compte plus que 50.000 membres aux États-Unis, forme notamment des groupes d’hommes aidant à assurer la sécurité ou à lutter contre le trafic de drogue dans certains quartiers pauvres.

Comme Mallory, Carmen Perez et Linda Sarsour, deux autres co-fondatrices du mouvement, ont par le passé assisté à des événements de Nation of Islam –Sarsour y a notamment fait un discours en 2015. Dans une interview accordée au site Refinery29 en 2018, Perez avait quant à elle jugé que la polémique autour de Farrakhan était une «distraction» et qu’«il n’y [avait] pas de leaders parfaits».

En novembre dernier, Sarsour s’est excusée auprès des «membres juifs et LGBT» du mouvement. La veille, elle avait néanmoins rédigé un communiqué dans lequel elle laissait entendre que l’affaire Farrakhan était une excuse pour lui nuire en tant qu’activiste américano-palestienne.

« Chers amis juifs et pédés, je suis désolée de vous avoir choqué mais si ces sales youpins ne haïssaient pas autant les palestiniens comme moi, rien de tout ça ne serait arrivé » ne me paraît pas la réponse la plus convaincante aux oreilles des juifs.

Parler avec Farrakhan suffit à faire comprendre ce qu’il faut comprendre.

En tout cas, les juifs ont désormais déclenché l’alerte générale.

La controverse a beaucoup fragilisé les liens entre la Women’s March et le Parti démocrate. Alors qu’en 2017 et 2018, plusieurs personnalités politiques avaient activement participé aux défilés et prononcé des discours, peu seront présentes cette année.

Comme c’est curieux : une négresse et une arabe commencent à parler des juifs et subitement le (((Parti Démocrate))) ne veut plus rien savoir du mouvement de masse qu’elles organisent.

Je peux vous dire que ce n’est que le début.

Les nègres, les musulmans et les aztèques installés aux USA ont parfaitement compris que les juifs leur barraient la route et qu’à leurs yeux, ils n’étaient que de simples larbins.

Ils ont également compris que la meilleure façon d’utiliser l’arme de la culpabilisation morale peut être avantageusement retournée contre les juifs pour les discréditer en dénonçant l’apartheid israélien.

Sur cette thématique, quelques images suffiront à convaincre n’importe quelle créature non-blanche.

Le mouvement de boycott anti-israélien a désormais solidement pris pied au sein des organisations mélanisées aux USA.

Et la Marche des Femmes en question vient d’ailleurs d’afficher la couleur sur le sujet.

L’emprise des juifs sur ces quelques 100 millions de non-Blancs établis aux USA ne pourra plus durer très longtemps. Quand les boomers blancs auront crevé ou seront devenus totalement impotents, les juifs ne pourront plus contrôler la gauche américaine sans être combattus à chaque coin de rue.

Une nouvelle fois, les manoeuvres de ces vipères juives se retournent contre elles.