USA : 1 zoomer sur 5 aime Adolf Hitler

La Rédaction
Démocratie Participative
13 octobre 2024

Rien ne peut empêcher les nouvelles générations d’aimer Adolf Hitler.

The Daily Mail :

Plus d’un Américain sur dix (11 %) pense que le tyran barbare allemand avait quelques « bonnes idées ».

Un sondage DailyMail.com/J.L. Partners a révélé que plus d’un électeur sur cinq (21 %) de la génération Z ainsi que des électeurs noirs et 19 % des électeurs hispaniques étaient d’accord avec cette déclaration.

Adolf Hitler était d’abord et avant tout un artiste

L’enquête a demandé à 1 000 électeurs probables s’ils pensaient qu’Hitler avait de « bonnes idées » ou s’il était « diabolique et n’avait aucune caractéristique de nature à le racheter ».

77 % ont répondu qu’il était « mauvais », 12 ont dit qu’ils étaient « incertains » et 11 %, ce qui est surprenant, pensent qu’il avait des qualités rédemptrices.

Par tranche d’âge, 21 % des moins de 29 ans ont déclaré qu’Hitler avait de bonnes idées, contre 16 % des 30-49 ans, 7 % des 50-64 ans et seulement 5 % des plus de 65 ans.

Cette tendance ne fait que commencer.

À mesure que ces horribles boomers disparaissent, le bon sens reprend ses droits et les nouvelles générations se familiarisent avec les faits et découvrent le génie immense d’Adolf Hitler.

Les vociférations des médias juifs et de leurs laquais n’y feront rien.

D’ici la fin de ce siècle, et même avant, le Führer sera pleinement réhabilité dans la mémoire collective.

Pour le moment, nous sommes encore sous le joug des juifs et une effroyable censure doublée d’une effrayante répression empêche encore d’évoquer librement le leader allemand, sa pensée, son action, et bien sûr l’idéologie qu’il a mis en mouvement.

D’ailleurs, très peu de gens ont lu ou écouté des discours d’Adolf Hitler. Ces derniers temps, grâce à l’IA, des traductions peuvent être faites et diffusées sans que les juifs puissent les filtrer. Le public découvre ce dont parlait Hitler et sont souvent surpris d’être d’accord avec lui.

Nous sortons progressivement de l’ère des ténèbres démocratique où la pensée juive monopolistique dictait la perception de la réalité aux masses. Ce système s’effondre avec l’émergence de l’Asie comme premier pôle économique mondial. L’Asie est immune au sémitisme et ce nouvel équilibre réduit drastiquement la capacité des juifs à contrôler les capitaux et les flux d’informations internationaux.

Il n’y a plus guère que dans ses derniers bastions de Paris, Berlin ou Londres que le juif peut aboyer.

Ici, chers lecteurs, nous avons depuis le début entrepris de participer à cette grande tâche historique qu’est la réhabilitation d’Adolf Hitler, tout comme celle du national-socialisme, prélude indispensable à la libération du monde blanc encore aujourd’hui écrasé par les idées juives.

Et puis c’est rigolo.

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