Une odeur de souffre infernale souffle sur la région parisienne pour le premier jour du « déconfinement » imaginaire

Captain Harlock
Démocratie Participative
11 Mai 2020

C’est officiel, l’Enfer vient de s’ouvrir.

Le Midi Libre :

Une odeur de soufre s’est répandue ce lundi 11 mai, tôt le matin, en région parisienne. Un phénomène qui a étonné les Franciliens et qui pourrait être lié aux conditions météorologiques.

Une odeur d’oeuf pourri a envahi les narines des habitants d’Île-de-France, des Yvelines à la Seine-et-Marne, dans la nuit du dimanche 10 à ce lundi 11 mai, relate Le Parisien. Les Franciliens ont multiplié les témoignages sur les réseaux sociaux. Cette odeur, typique du soufre, a même donné des céphalées à certains habitants.

Les journalistes du Parisien, répartis en Ile-de-France, ont tous ressenti le même phénomène. Contactés, les sapeurs-pompiers ont affirmé qu’aucune intervention ne s’est déroulée dans la nuit pouvant expliquer cette étrange odeur. « Cela semble lié aux intempéries de la nuit dernière car d’autres départements font ce constat », ont-ils expliqué à nos confrères.

Le premier adjoint à la mairie de Paris, Emmanuel Grégoire, interpellé sur Twitter, a confirmé qu’aucun accident industriel ne s’est produit. « L’odeur sulfurée pourrait être liée aux fortes précipitations », a-t-il précisé.

Hypothèse la plus probable : les conditions météorologiques. Un ciel bas a recouvert Paris durant la nuit dû à un changement de masse d’air. Une drôle de façon de démarrer cette journée de « déconfinement. »

Nan, c’est vraiment l’Enfer.

C’est le signe que les légions du Diable vont s’abattre sur la France à la faveur de ce premier jour de « déconfinement » imaginaire.

Ce n’est pas vraiment une surprise, cela fait un moment que des démons à forme humaine déambulent dans les rues pour tourmenter les hommes.

Faites attention.

Ces créatures infernales ont reçu l’ordre de semer la mort et la dévastation partout. Ne sortez pas seul la nuit venue, car des goules, vampires, hommes-rats et autres morts-vivants en putréfaction sillonnent les rues du pays.

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