Une mulâtresse au faciès défiguré par son négrisme se proclame outrageusement « Blanche » avant de vomir sa haine des Blancs (vidéo)

Captain Harlock
Démocratie Participative
27 février 2019

La grimace de l’aryanité négrifiée que prépare le juif pour la France

La France sémitisée produit des croisements raciaux particulièrement odieux mais, d’entre tous, le panel arménoïdo-nègre demeure, de très loin, le plus archétypal du projet juif pour la France aryenne.

Ces mésalliances dysgéniques engendrent d’inévitables court-circuits bio-culturels, à commencer par les phénomènes de dissociation identitaire, terreau fertile de la guerre raciale.

Voici un exemple de mulâtresse exhibitionniste qui prétend être une Blanche – alors qu’elle affiche un faciès de cafre à l’oeil hébété caractéristique, une peau couleur flaque boueuse et du crin en guise de cheveux – pour mieux projeter d’elle-même une image bancale construite sur la haine des Blancs.

Les mulâtres sont toujours rongés par la haine car ils sont pris en étau entre une humanité blanche objectivement supérieure et une race médiocre : le primate qu’est le nègre.

Le mulâtre se sait supérieur au nègre stupide et il en connaît la raison : la part de sang blanc qu’il possède. Mais son infériorité et la marginalisation qu’elle entraîne dans une société blanche le pousse à caporaliser la négraille pour en faire sa soldatesque contre les Blancs.

On retrouve toujours le mulâtre à appeler à la haine et à l’insurrection contre la race blanche tandis qu’il tente, par tous les moyens, de s’infiltrer dans les sphères supérieures d’une société aryenne.

Et cela devient sa carte de visite : le pourvoyeur en haine antiblanche au sein des élites aryennes rendues masochistes par le bacille sémite.

C’est pourquoi on retrouve très fréquemment le mulâtre marcher dans l’ombre du juif, particulièrement dans le milieu du cinéma ou de la musique.

Un cas parmi d’autres est celui de Francis Eboué, semi-nègre repoussant en cheville avec l’audiovisuel sémitique.

Le juif prend un plaisir particulièrement sadique à encourager son complice mulâtre, rongé par son complexe d’infériorité, à souiller les femmes blanches.

Plus ces débris raciaux que sont les mulâtres ont leur sang négroïde dilué, plus ils doivent être tenus à l’oeil car leur capacité mimétique s’accroît suffisamment pour s’insérer dans les milieux sociaux aryens, notamment sémitisés.

Le mulâtre, aidé du juif, ouvre toujours la porte à ses frères inférieurs que sont les nègres.

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