Une majorité d’Allemands veut le départ de Merkel, l’idiote utile des juifs

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
28 décembre 2017

 

Ceux qui me lisent ici savent que deux mots n’existent pas dans mon vocabulaire : défaitisme et résignation.

Les évolutions en Allemagne confortent, une nouvelle fois, cette attitude.

Celle qui trônait triomphalement sur l’Europe en 2015 et imposait pour le compte des juifs l’invasion de l’Europe par les hordes de sauvages du tiers-monde, n’est plus qu’à un fil de tomber.

Sputnik :

L’hypothèse de la démission de la chancelière Merkel a divisé les Allemands, qui n’ont pas de gouvernement depuis près de trois mois. Près de la moitié d’entre eux réclament sa démission immédiate, et plus d’un tiers veulent qu’elle reste à son poste jusqu’à la fin de son nouveau mandat de 4 ans.

Selon un sondage réalisé par YouGov, environ 47% des Allemands se prononcent pour la démission de la Chancelière en exercice, Angela Merkel, tandis que 36% voudraient qu’elle reste à son poste jusqu’à la fin de son mandat qui expire en 2021.

D’autre part, selon Die Welt, le nombre de mécontents augmente graduellement depuis octobre, alors que 36% des personnes interrogées s’étaient prononcées pour sa démission.

Cette truie imbécile est finie.

Mais mieux encore, elle a permis l’émergence du premier mouvement nationaliste allemand depuis la Deuxième Guerre Mondiale.

Oui, ce n’est pas assez.

Oui, c’est encore bien trop peu.

Mais c’est une révolution dans la révolution.

La révolution qui doit nous mener, tous, en Europe, vers un système autoritaire et raciste intégral.

Macron, et les juifs qui sont derrière, misait sur Merkel. Sur Merkel et les juifs qui sont derrière.

Mais tout cela est fini.

Les tensions entre les peuples d’Europe ne trouvent pas d’autres explications que dans l’exploitation sauvage des Européens par la finance internationale juive, laquelle a joué systématiquement les nations contre les autres, s’imposant comme arbitre en toutes circonstances.

Sans la finance juive internationale, nous n’en serions pas là.

La paix n’existera pas en Europe tant que ces juifs auront une once d’influence sur notre vie économique.

Je dois dire que l’Allemagne ne m’inquiète pas excessivement. Bien moins que la France en vérité. Pour la simple raison que la juiverie y est infiniment mieux implantée, plus pléthorique et plus culturellement retranchée. Jehovah a établi ses quartiers chez nous.

En Allemagne, c’est un racket institutionnalisé édifié sur un truandage fragile. Chez nous, sur une idée religieuse : l’égalitarisme.

Pour remporter la guerre en Europe, la bataille de France est cruciale.

Si nous parvenons à détruire l’idée égalitaire et antiraciste en France, l’Europe est sauvée.

Cela suppose de concasser, de pulvériser, d’anéantir le pouvoir juif en France. Partout, tout le temps.

Et tout annonce que ces juifs vont bientôt faire une chute vertigineuse.