Une journée en bamboulie : Griezmann se déguise en nègre, l’Elysée annonce une réunion d’urgence

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
18 décembre 2017

 

Un des signes les plus fiables pour évaluer le degré de négrification d’un pays est la sauvagerie grégaire des nègres contre les Blancs qui s’y exprime.

Dernier épisode en date, Griezmann s’est grimé en nègre des Harlem Globetrotters pour aller en soirée.

 

Et c’est très grave de se déguiser en nègre, en France, en 2017.

Parce que « moi ça y en a pas content là ».

Antoine est un grand fan de ce quartier général de la négritude mondiale qu’est la NBA et a donc voulu s’amuser. Seulement voilà, le nègre n’a pas d’individualité et ne distingue pas son environnement de lui-même. Tout, dans le temps et dans l’espace, n’est qu’une excroissance de lui-même. Le nègre est incapable d’avoir le moindre recul critique ou distancié, est inaccessible au doute et à la projection dans le futur.

Le nègre, en somme, vit dans un présent permanent où tout gravite autour de lui.

Antoine, c’est le brave Gaulois qui n’entravera jamais rien à son époque, resté coincé dans les années 90. C’est un quokka, à l’image de sa génération. L’idée même que des prédateurs enragés existent lui échappe.

Antoine est déjà minoritaire dans son milieu, mais il reste sympa et poli. Bref, il reste blanc.

Et il coche toutes les cases du boloss de base, comme soutenir les « causes » humanitaires des crouilles et autres djihadistes. Parce que voilà, « c’est passé sur ma TL Twitter et j’ai été ému(e) ».

On parle de la même clientèle qui tente de brûler vif des pompiers chaque semaine en France.

Sauf que pour les nègres, c’est une incitation au meurtre.

Le complexe d’infériorité abyssal des nègres et des bougnoules les rend particulièrement sensibles à tout ce qui leur rappelle leur médiocrité et pire, la supériorité des Blancs. C’est pourquoi le nègre réagit de manière brutale face à des Blancs qui n’assument pas le rapport de force et leur statut dominant. Ils sentent l’odeur du sang.

Facteur aggravant, la démocratie et l’égalitarisme humanitaire dans lesquels ils baignent leur fait perdre la tête : ils croient pouvoir mettre la main sur toutes les richesses des Blancs au seul motif que l’on le leur a promis au nom de « l’égalité ».

Ce double phénomène – la conscience de l’infériorité raciale et le comportement d’enfant gâté du nègre – en fait une bombe raciale permanente.