Une enquête d’opinion israélienne confirme que 44% des Gilets Jaunes ont correctement identifié le complot juif international

Captain Harlock
Démocratie Participative
11 février 2019

Les juifs de (((l’Observatoire du Conspirationnisme))) ont analysé de près ce méchant mouvement goy qu’est le mouvement des Gilets Jaunes.

Je dis « les juifs » parce que ce truc est effectivement une organisation juive dirigée par le youtre particulièrement huileux (((Rudy Reichstadt))).

Il fait même des conférences pour les activistes israéliens du CRIF.

La conclusion de ces fonctionnaires israéliens est sans appel : les Gilets Jaunes croient à l’existence délirante d’une conspiration sioniste mondiale.

Une conspiration telle que des sionistes diffuseraient partout des enquêtes d’opinion pour démontrer que les gens croient à une conspiration sioniste mondiale.

Le Point :

Réalisée par l’Ifop, la grande enquête de la Fondation Jean-Jaurès et Conspiracy illustrait déjà l’importance du complotisme en France. Mais le deuxième volet de cette étude révèle que, parmi les Gilets jaunes, le conspirationnisme est nettement plus fort que dans le reste de la population. Les Français en moyenne ne sont ainsi « que » 10 % à croire à une manipulation du gouvernement concernant l’attentat de Strasbourg, et 13 % à avoir des doutes, contre 65 % qui pensent que les faits se sont bien passés comme l’ont présenté les médias et les autorités.

Je crois que je l’ai déjà dit mais « conspirationnisme » veut dire « vérité » en yiddish.

Près d’un Gilet jaune sur deux (46 %) adhère à la théorie du grand remplacement, approuvant l’énoncé expliquant que « l’immigration est organisée délibérément par nos élites politiques, intellectuelles et médiatiques pour aboutir à terme au remplacement de la population européenne par une population immigrée » (21 points de plus que la moyenne des Français). Voilà qui semble contredire l’analyse, privilégiée à gauche, selon laquelle ce mouvement n’aurait que des motivations sociales et économiques, et non pas identitaires. L’enquête montre d’ailleurs que plus on est engagé dans les Gilets jaunes, plus on croit au grand remplacement : chez les personnes ayant directement participé aux actions, ils sont 59 % à adhérer à cette théorie introduite par Renaud Camus, contre 40 % chez les sympathisants qui ont seulement mis en évidence un gilet jaune dans leur voiture.

Le Grand Remplacement est une « théorie » selon ces juifs.

Circule, y’a rien à voir, goy.

Quarante-quatre pour cent (44%) des personnes se définissant comme Gilets jaunes valident aussi l’idée d’un « complot sioniste à l’échelle mondiale », soit le double de l’ensemble des Français. Un chiffre glaçant qui confirme statistiquement que, au sein du mouvement, les clichés antisémites ne concernent pas qu’une petite minorité issue de l’extrême droite ou de la sphère Dieudonné. Samedi, après qu’une devanture d’un magasin Bagelstein à Paris a été taguée d’un « juden », rappelant l’Allemagne des années 1930, le dessinateur Joann Sfar s’est indigné sur Facebook de l’explosion de banderoles, cris ou graffitis antijuifs au sein du mouvement : « La culpabilité sociale est telle sur nos chaînes de télé et chez les commentateurs que n’importe quelle réaction sensée face à ces dérives passe pour un soutien au gouvernement Macron. On a le droit d’être en opposition totale avec de nombreuses décisions du gouvernement actuel tout en ne trouvant aucune excuse à ceux et celles qui utilisent le désespoir des gens pour attiser, une fois encore, la haine raciale, le fantasme sur le juif, sur le franc-maçon, prétendument tous riches et puissants bien entendu, ou la haine de l’immigré. »

Ha !

Juif, ton coup de violon sur le juif innocent et le pauvre immigré persécuté a vécu.

D’autant que ces mêmes immigrés, la plupart musulmans, ne débordent pas d’amour pour Israël.

Ni pour les youpins en fait.

Désolé Schlomo, ton système de triangulation a implosé et il se retourne inexorablement contre toi.

Peu importe tes « enquêtes d’opinion » pour essayer de faire des métèques, des pédés et des maçons tes boucliers humains : tout le monde te voit.

Tout le monde sait que tu es le principal empoisonneur du peuple.

Au total, la proportion des personnes adhérant fortement à une vision complotiste du monde (groupe qui rassemble les individus approuvant cinq ou plus parmi les dix énoncés complotistes de cette enquête) s’élève à 40 % chez les Gilets jaunes, contre 21 % dans l’ensemble de la population française, et seulement 11 % parmi ceux qui sont réfractaires au mouvement des Gilets jaunes. L’écart s’avère ainsi immense selon que l’on se positionne pour ou contre le mouvement.

L’enquête de la Fondation Jean-Jaurès et Conspiracy Watch s’est également penchée sur les moyens de s’informer. Elle confirme que chez les Gilets jaunes, les réseaux sociaux représentent de loin la première source en ligne. Alors que dans l’ensemble des Français, 37 % vont en priorité sur Facebook, Twitter ou YouTube (et 36 % sur les médias traditionnels), ils sont 59 % chez les personnes se définissant comme Gilets jaunes à privilégier ces réseaux (et seulement 20 % à d’abord aller sur le site d’un média traditionnel). Cette profonde défiance à l’égard des grands médias s’est traduite par des actions ciblant les locaux de télévisions ou les dépôts de journaux, et même par des agressions de journalistes sur le terrain.

Ces sales goyim refusent de s’informer auprès des (((médias))) sérieux.

Il va donc falloir réguler les réseaux sociaux.

« Jusque dans les années 1980, la société s’organisait autour d’un affrontement entre la droite et la gauche. Dans ces deux silos se côtoyaient différentes classes sociales. À gauche, on trouvait des ouvriers communistes, mais aussi des enseignants, des intellectuels. De la même façon, à droite se retrouvaient des commerçants, des bourgeois, mais aussi des paysans et des employés… Malgré leurs différences sociologiques, ces deux blocs se réunissaient autour de valeurs communes partagées par les différentes strates et par des modes d’information communs et homogènes. Ce schéma n’existe plus. Il n’y a plus désormais qu’une juxtaposition des couches sociales sans interconnexions entre elles. »

Pour l’analyste politique de l’Ifop, « ce phénomène a été amplifié par le déclin des médias traditionnels et par la montée en puissance des réseaux sociaux comme mode d’information alternative. Ces canaux sont massivement consultés par les jeunes générations et les milieux populaires (auxquels appartiennent une bonne partie des sympathisants des Gilets jaunes). Au fil du temps, dans ces milieux, une véritable contre-culture et une vision du monde alternative se sont constituées en marge de la grille de lecture mainstream. Si cette dernière demeure dominante dans les grands médias et parmi la population la plus diplômée, insérée et âgée, des pans entiers de la société n’y adhèrent plus et ont basculé dans une forme de dissidence culturelle et idéologique ».

Absolument.

C’est une rupture complète et l’oligarchie judéo-macroniste au pouvoir ne peut plus rien faire de réellement efficace pour rependre le contrôle des masses.

Ce sera toujours trop peu et surtout trop tard.

Je pense que nous approchons du moment où nous allons pouvoir mettre en forme nos diverses exigences.

Je pense d’abord à un vaste procès des dirigeants du régime depuis ces 50 dernières années où les juifs figureraient en bonne place.

Un Nuremberg de la juiverie, en quelque sorte.

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