Une école du Tennessee bannit la BD de science fiction « Maus » en raison des immondices que son auteur juif y déverse sur les goyim

Captain Harlock
Démocratie Participative
27 janvier 2022

 

Les juifs ont passé les cent dernières années à détruire la culture occidentale par l’arme du terrorisme intellectuel.

Toute affirmation positive de cette culture a été méthodiquement dénoncée, caricaturée et ostracisée par les juifs pour la remplacer par une monstrueuse forme sémitique de ce qui préexistait.

Walt Disney est probablement la démonstration la plus spectaculaire de cette entreprise d’anéantissement de l’esprit européen et de la race blanche par les juifs.

La prochaine Blanche Neige sera la créature marron Rachel Zegler.

Ariel est devenue une groïde.

Quant à la propagande sodomite, elle y est diffusée perfidement par les juifs pour détruire l’esprit familial à l’origine des créations de Disney.

Tout ce que les juifs touchent, ils le transforment en pourriture.

Tout simplement parce que l’âme des juifs n’est que du fumier.

Par un torrent de films, de livres et d’articles plus accusateurs les uns que les autres, les juifs ont saccagé l’Occident avec leur bolchevisme atavique en moins d’un siècle pour en faire la décharge à ciel ouvert que nous avons sous le nez dans les rues.

Ils ont frappé d’interdit et percuté des tas d’auteurs et d’artistes honorables pour parvenir à leurs fins.

Mais qu’un seul livre de ces juifs soit retiré d’une seule école d’un village occidental et c’est toute la synagogue médiatique internationale qui crache des flammes en hurlant à la censure.

BFM Drahi :

Ce roman graphique qui raconte la Shoah avec des souris et des chats a été interdit pour cause d' »images et de mots inappropriés ». Son auteur Art Spiegelman dénonce cette décision.

Le conseil d’administration d’une école du Tennessee (Etats-Unis) a interdit Maus d’Art Spiegelman. Considéré comme l’une des meilleures œuvres de l’histoire de la BD, ce roman graphique récompensé d’un prix Pulitzer en 1992 raconte l’histoire du père d’Art Spiegelman, un rescapé des camps de la mort.

Joseph Pullitzer était un juif de Hongrie spécialisé dans la désinformation.

Le nez du mensonge

Son fait d’arme est d’avoir dirigé une violente campagne de diffamation contre l’Espagne en accusant Madrid de se livrer à des exactions contre la population de Cuba, inventant de toutes pièces des noms, des dates et des lieux de crimes pour exciter l’opinion américaine en faveur d’une intervention US sur l’île. Ce qui finit par arriver.

Du Golfe du Tonkin au 11 septembre 2001 en passant par les couveuses de Saddam Hussein et le Lusitania, ce schéma sera systématiquement repris par les juifs pour pousser l’Amérique dans une guerre. Il n’y a pas une guerre menée par l’Amérique juive qui n’ait eu pour prétexte un motif inventé par les propagandistes juifs.

Quand un juif reçoit le Prix Pulitzer, c’est un trait d’humour que les juifs se passent entre eux pour féliciter l’un des illustres représentants de leur race pour son art consommé de sidérer les goyim avec ses mensonges éhontés.

Comme ce juif, Spiegelman, menteur pathologique présenté par le peuple élu comme le plus grand « génie » de toute l’histoire de la bande dessinée – rien que cela – pour son poussif ouvrage mythomaniaque sur l’insecticide d’Adolf Hitler.

Cette BD est très mauvaise. C’est aussi la BD la plus juive que j’ai pu lire en ce sens qu’elle n’est qu’une somme de jérémiades, parfaitement fidèle à l’esprit de cette race geignarde et cruelle, pleine d’elle-même et puante d’arrogance que jamais aucune réalisation ne vient justifier. Page après page, le juif parle du juif, encore et encore.

C’est totalement comme ça que ça s’est passé, goy, ne recommence jamais à t’opposer à la domination des juifs sur le monde

Le seul point que j’accorde à ce truc, c’est qu’effectivement les juifs sont des rats.

Maintenant que les juifs ont leur colonie raciale en Palestine, il n’est curieusement plus question de geindre. Le juif trône avec arrogance, surarmé, et la traque aux arabes ne faiblit pas : vieillards ou enfants, c’est indifférent, les juifs les parquent et les écrasent de bombes sans verser une seule larme.

En Palestine, le juif révèle son véritable visage d’escroc international.

Mais les juifs tiennent cet ouvrage de fiction juive pour intouchable, comme tout ce qui touche à la religion des chambres à gaz.

Ce roman graphique en noir et blanc, qui met en scène la Shoah avec des personnages anthropomorphes (des souris pour les Juifs, des chats pour les Nazis), a été interdit de l’établissement pour cause d' »images et de mots inappropriés ».

Les dix membres du conseil d’administration ont pris unanimement la décision de retirer ce roman graphique, souvent conseillé aux collégiens et aux lycéens, des cours adressés aux élèves de quatrième. En cause, des mots inappropriés comme « putain », et des images de femmes nues.

« Il y a un langage très dur, répréhensible dans ce livre », a déclaré le directeur de l’école Lee Parkison, qui dit avoir « été conseillé par l’avocat de l’établissement ». « Nous avons décidé que la meilleure manière de corriger ou de contrôler le langage du livre était de le retirer. »

« Nous n’avons pas besoin de faire la promotion » de ce genre de contenus « vulgaires et inappropriés », a insisté de son côté un autre membre du conseil d’administration, avant de critiquer directement Art Spiegelman: « Je peux me tromper, mais le type qui a créé cette BD bossait à Playboy dans le temps. »

« Le livre montre des gens pendus, des enfants massacrés. Pour quelles raisons le système éducatif doit-il faire la promotion de ce genre d’évènements? Ce n’est pas une bonne idée », a-t-il ajouté, visiblement imperméable à l’idée d’informer les enfants sur une des pages les plus sombres de notre histoire*.

*Ce sale goy refuse de céder ! le pigiste de Drahi

De nombreux journalistes et intellectuels ont dénoncé l’interdiction de Maus sur les réseaux sociaux. « Il existe un seul type de personnes capables d’interdire Maus », a réagi sur Twitter l’auteur Neil Gaiman.

Neil Gaiman est juif.

Ce qui est bien entendu accidentel.

Pourquoi BFM Drahi cite uniquement des juifs pour défendre des juifs à propos de propagande juive ?

Art Spiegelman a lui-même réagi, confiant à CNBC son « effarement »: « Je n’arrive pas à le croire », a-t-il ajouté en dénonçant le fonctionnement « orwellien » de cette école du Tennessee. Une référence au roman 1984, qui met en scène une société dystopique où les libertés individuelles sont bannies.

« J’ai rencontré tant de jeunes qui ont appris des choses en lisant mon livre », déplore le dessinateur, avant de conclure: « Il se passe quelque chose de vraiment fou au Tennessee. »

Depuis deux ans, les libertés individuelles ont été purement et simplement suspendues sur ordre de la juiverie pour établir leur dictature raciale globale et la voilà qui sort soudainement de son antre pour geindre sur les « libertés individuelles bannies », au motif qu’un bouquin de propagande hébraïque a été retiré d’une école, quelque part dans le monde.

Le moindre auteur révisionniste qui ose publier trois pages sur les élucubrations du peuple élu à propos des chambres à gaz imaginaires d’Auschwitz se retrouve traqué sur ordre des juifs.

Peu importe ce que vous pensez savoir de ces juifs, vous êtes encore très loin de la vérité.

L’effronterie de ce peuple n’a aucune limite. C’est sa marque de fabrique.

Le juif est attentif au moindre signe d’insoumission des goyim. S’il faut une seule preuve que l’intégralité de l’Occident est contrôlé par les juifs, cette tempête de haine hébraïque à propos de ce livre retiré dans une école du Tennessee est cette preuve.

Pour libérer les peuples occidentaux des juifs, c’est très exactement ce qu’il faut faire :  censurer avec fanatisme la moindre idée d’origine juive. Le juif sait que sans ce pouvoir sur les goyim, son règne touche à sa fin.

C’est la seule lutte contre les FAKE NEWS qui ait du sens.

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