Un vétéran des Waffen SS de 96 ans persécuté par les juifs en raison de ses doutes sur la mort de 6 trillions de juifs dans les chambres à gaz insecticides d’Adolf Hitler

Captain Harlock
Démocratie Participative
25 juillet 2019

Si vous pensiez que l’Allemagne était menacée par l’afflux de millions d’envahisseurs musulmans, je suis au regret de vous dire que vous vous égarez.

Il y a des choses beaucoup plus graves qui menacent l’Allemagne : un centenaire.

Le Parisien :

Il avait déclaré à la télévision allemande que le chiffre de 6 millions de Juifs assassinés par les nazis était exagéré. L’ancien SS Karl Münter, impliqué dans le massacre d’Ascq de 1944, est poursuivi pour ses propos sur l’holocauste , tenus lors d’un entretien à la chaîne allemande ARD en novembre 2018, a annoncé le Parquet de Hildesheim, en Allemagne.

L’homme faisait partie de la 12e division SS « Hitlerjugend » (« Jeunesse hitlérienne ») responsable du massacre de 86 civils à Ascq (Nord), près de Lille, dans la nuit du 1er au 2 avril 1944, en représailles au déraillement d’un train transportant environ 350 SS.

Aujourd’hui âgé de 96 ans, il avait scandalisé par ses propos sur les victimes du nazisme durant la Seconde Guerre mondiale. Interrogé par ARD pour savoir s’il regrettait ces événements, l’intéressé avait répondu : « Non pas du tout ! Pourquoi devrais-je regretter ? ».

L’ennui, dans cette affaire, c’est que Karl Münter n’a pas fait ces déclarations.

Russia Today, qu’on ne peut pas soupçonner de sympathie envers le national-socialisme, a eu l’honnêteté de citer en entier l’extrait filmé dont il est question.

Russia Today :

« Si j’arrête des hommes, ils sont sous ma responsabilité et s’ils s’enfuient, j’ai le droit de tirer, » a déclaré Münster dans une interview filmée controversée bien qu’il nie avoir tiré sur quelqu’un lui-même et insiste sur le fait qu’il a simplement aidé à interpeller les victimes. »

« Pourquoi devrais-je le regretter ? » demande-t-il. « Je n’ai pas tiré un seul coup de feu. »

De ce que déclare Karl Münster sur le fait qu’il n’a rien à regretter puisqu’il n’a abattu personne, la presse juive menteuse fait une sorte d’ogre se vantant d’avoir égorgé des enfants.

Cette affaire est en réalité fomentée par les juifs  en raison du refus de Karl Münster de reprendre à son compte cette histoire absurde de 6 trillions de juifs transformés en abat-jour.

Sa mise en accusation pour incitation à la haine raciale et atteinte à la mémoire des morts fait suite à la plainte de familles de victimes du massacre. Elle permet aux descendants d’espérer un procès, après leur échec à faire juger l’ancien SS pour son rôle dans la tuerie.

En mars 2018, le Parquet allemand avait en effet annoncé l’abandon des poursuites, le suspect ayant déjà été condamné à mort par contumace par un tribunal militaire en France en 1949, il ne pouvait donc pas être jugé une seconde fois pour ces mêmes faits.

Selon le Parquet, l’ancien SS assure qu’il ne se savait pas filmé et enregistré. L’équipe d’ARD qui avait réalisé cette interview a affirmé l’avoir retrouvé alors qu’il participait à une réunion de néo-nazis.

Malgré sa condamnation après la Seconde Guerre mondiale, il n’a jamais été emprisonné. En raison de son grand âge, des expertises médicales devront encore être réalisées, attestant de sa capacité à être jugé, avant qu’un procès pour ses propos sur l’holocauste puisse éventuellement avoir lieu.

En cas de condamnation, Karl Münter risque jusqu’à cinq ans d’emprisonnement.

Tout ça n’a aucun sens.

Pour que cela commence à avoir du sens, il faut intégrer le facteur crucial : la haine fanatique des juifs.

Aucun état civilisé ne met des vieillards de 96 ans en prison pour avoir dit quelque chose. Seul un état sous la coupe des juifs peut persécuter aussi cruellement la population d’un pays européen.

Cette presse hébraïque qui trouve mille excuses aux derniers violeurs de Blanches fait preuve d’une inflexibilité totale dès lors qu’il s’agit de persécuter des centenaires soupçonnés de ne pas croire au mythe du gazage par insecticide de 6 meurtrillions de juifs.

Comme Ursula Haverbeck, 89 ans.

Je dois dire que les journalistes allemands sont encore plus haïssables que les nôtres. Ils persécutent leurs propres grand-parents pour satisfaire la haine frénétique de leurs maîtres juifs.

Ce spectacle consistant à aller traquer des vieillards dans leur maison pour se donner un brevet de résistance antifasciste, 75 ans après la guerre, est particulièrement ignoble.

Ce spectacle en dit plus long sur eux que sur ce vétéran.

Les juifs honorent fièrement leurs aïeux génocidaires, à l’instar d’Abba Kovner.

Ils réalisent même des documentaires à leur gloire.

Et notez bien qu’il ne s’agit pas de fiction, contrairement à cette histoire de chambre à gaz, mais de juifs revendiquant haut et fort leur plan pour assassiner 6 millions de civils allemands.

Le point positif de cette affaire, c’est que nous savons à quel régime nous soumettrons nos criminels politiques. Eux non plus, dans 75 ans, n’auront nulle part où se cacher pour échapper à leur châtiment.

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