Un nègre héroïque réclame vengeance contre la police après que celle-ci ait injustement tué son frère meurtrier

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
21 mars 2017

 

Un nouvel exercice de psychologie raciale avec un spécimen s’étant distingué lors de la manifestation anti-police de ce week-end à Paris. Il s’agit du frère d’un certain Abdoulaye Camara. Ce nègre, visiblement chauffé à blanc, déclare dans un extrait vidéo :

« Il a reçu dix balles dans le corps, vous trouvez ça normal ? Soi disant, il avait un petit couteau, il s’en prenait aux policiers. On l’a allumé de vingt-six balles ».

Évidement, la lie raciale qui s’agglutine autour de ce singe enragé entre en transe tandis que l’intéressé écume de haine :

 

 

Maintenant, la véritable version des faits.

Normandie-Actu :

Mardi 16 décembre 2014, « un peu avant une heure du matin » un homme âgé de 30 ans est mort, au Havre, en Seine-Maritime, dans le quartier Mont-Gaillard, tué par la police. Le procureur de la République du Havre, Francis Nachbar, s’est exprimé dans l’après-midi.

Une scène de film d’horreur

Les témoins entendus par la police décrivent « une scène de film d’horreur. La victime paraissait possédée ». Francis Nachbar, souligne, lui, « la violence de la scène ». L’homme aurait eu une « crise de démence meurtrière », selon les premiers éléments donnés par le procureur.

En caleçon, pieds nus, ensanglanté, couteau à la main, dans la rue

Peu avant minuit, seul, dans son appartement, « il détruit tout ». Il serait sorti de chez lui, en caleçon, pieds nus, ensanglanté, un couteau artisanal à la main et aurait croisé ses voisines de palier. « Il tente de les agresser, elles se réfugient chez elles, paniquées. » Ce sont elles qui ont appelé la police. Il serait ensuite sorti, avenue du Bois au Coq, au Havre et se serait d’abord jeté sur une voiture. Il aurait alors donné un coup de couteau dans une vitre, sans la briser.

La police est là mais les agents attendent du renfort. L’homme se serait alors précipité sur un passant, à qui il aurait donné des coups de couteau. Quand il tente de l’égorger, les deux policiers interviennent. Il les charge. L’un des deux policiers lui tire dessus, puis tombe à terre. L’autre tire à son tour. « Il a fallu du temps avant qu’il ne tombe », précise le procureur. En tout, il a reçu une dizaine de balles dans le corps. L’homme était âgé de 30 ans, il est décédé sur place. Les analyses d’alcoolémie et de stupéfiants se sont révélées négatives. L’homme était connu de la justice et avait déjà fait trois ans de prison ferme pour violence sur agent de la force publique pour un vol à main armée. Une autopsie sera pratiquée mercredi 17 décembre 2014. L’enquête se poursuit.

Le procureur évoque la légitime défense

Le procureur de la République a évoqué la situation de « légitime défense », des policiers. Toute la scène a été filmée par les caméras de vidéoprotection de la ville. « Les deux policiers sont fortement choqués », précise le procureur. Le passant, un homme, âgé de 32 ans, a reçu plus de 20 coups de couteau. Selon Francis Nachbar, son pronostic vital n’est plus engagé ce mardi après-midi.

Inutile de dire que la victime est un Blanc, un certain « Fabien ».

La psychologie des arabes ou des nègres est d’une déconcertante facilité à comprendre dès lors que l’on se débarrasse des vieilles lunes de l’égalitarisme racial. Pour le nègre, les faits importent peu, tout comme la responsabilité individuelle. Ce qui lui importe, c’est qu’il puisse laisser libre cours à ses accès de sauvagerie. Pas plus qu’un prédateur dans la jungle, le nègre ne se sent tenu par quelques lois morales que ce soit.

Pour le nègre, rien n’est plus incompréhensible que d’accorder des droits à ses cibles potentielles et qu’elles puissent se défendre.

Contrairement à tout ce que peut raconter la propagande communiste, c’est parce que le nègre s’estime fondé à tuer, exploiter et détruire tout ce que bon lui semble qu’il manifeste un tel sentiment d’indignation lorsque les coups lui sont rendus. Trait psychologique encore renforcé par sa bêtise dont les caprices enfantins sont, chez lui, une des manifestations les plus courantes.