Poignardé, la tête éclatée et incinéré, un idiot de Blanc meurt après avoir tenté de sauver la pute blanche d’Abdelkader

La Rédaction
Démocratie Participative
11 octobre 2024

Les lois de l’évolution sont claires : sauver les putes à bougnoules n’est pas une bonne stratégie de survie.

Le JDD :

C’est une histoire d’une barbarie sans nom. Le 16 juin 2021, Abdelkader Belarbia et son ami d’origine russe, David Malioukof, garent leur voiture dans un sous-bois près de la petite commune de Nexon, en Haute-Vienne. Les deux hommes n’ont qu’une idée en tête : venger Abdelkader, récemment quitté par son ex-compagne, Cécilia Peroux, 33 ans. Ils se rendent à son domicile, parviennent à entrer de force et commencent à la brutaliser. Pierrick, un voisin de Cécilia, est alerté par les bruits. Faisant preuve d’un immense courage, il intervient pour tenter de défendre la jeune femme, risquant sa propre vie.

Abdelkader et David, pris d’une rage meurtrière, s’acharnent sur Pierrick pendant de longues minutes, lui infligeant 26 coups de couteau. Cécilia Peroux, elle aussi, est froidement assassinée. Les deux meurtriers décident ensuite d’incendier la maison pour effacer les preuves, malgré la présence des trois jeunes enfants de Cécilia à l’étage. Ces derniers échapperont de justesse à la mort.

Abdelkader n’a pas aimé être largué par la mère de ses trois crépus.

Cette société matriarcale protégeant odieusement les garces délurées, il a décidé de se venger légitimement en réaffirmant son droit de propriété, lequel comprend le droit de vie ou de mort sur sa femme (comme à Rome).

Tout se serait passé sans aucun problème avec la mort des quatre bouches inutiles si cet idiot de Blanc matrixé par l’éducation féministe n’avait pas décidé d’intervenir. Mais quand on se frotte à un homme possédé par une juste colère, il faut s’attendre à des surprises.

Résultat, le contribuable gagne trois demi-bicots à nourrir.

« Ils ont explosé la tête de mon enfant avec des pieds de table ! Qu’est-ce qui peut justifier une telle barbarie ? » Hélène Berthier, la mère de Pierrick, sort à peine de l’audience. Sa voix est encore tremblante au téléphone. « Aujourd’hui, on a parlé de l’autopsie. Même le médecin légiste n’en revenait pas, il a dit qu’il n’avait jamais vu une telle violence… » Assister au procès des assassins de son fils est une épreuve insoutenable pour Hélène, d’autant plus que les accusés refusent de reconnaître leur culpabilité. « Ils sont soudainement frappés d’amnésie ! L’un dit avoir tout oublié, l’autre affirme n’avoir porté ‘que’ quelques coups… », raconte-t-elle, désabusée.

Pourtant, Abdelkader Belarbia et David Malioukof n’en sont pas à leur premier méfait. Les deux hommes se sont rencontrés en prison. Le premier avait été condamné en 2019 pour avoir menacé de mort son ancienne compagne. Le second, « au corps recouvert de tatouages en cyrillique », selon les mots d’Hélène Berthier, est lui aussi connu de la justice française, notamment pour des faits de vol. À la barre, les deux complices se renvoient la responsabilité, hésitent, et nient en bloc les faits qui leur sont reprochés. « Quand les photographies du cadavre de mon fils ont été montrées à l’audience, Abdelkader a baissé les yeux, il n’a pas eu le courage de regarder une seule fois mon enfant. A-t-il honte ? », s’interroge la mère de Pierrick, mêlant tristesse et colère.

La honte n’est pas un sentiment connu en Afrique du Nord.

Le procès, qui a débuté lundi, devrait s’achever jeudi prochain. C’est l’aboutissement de trois ans d’enquête et de procédures judiciaires. Mais c’est aussi le moment où la famille de Pierrick pourra enfin lui dire au revoir, le jeune homme n’ayant pas encore de véritable sépulture, sa dépouille étant restée accessible aux médecins légistes dans le cadre de l’enquête. « J’attends de la justice qu’elle reconnaisse la gravité des faits, l’horreur absolue qu’ont subie Pierrick et Cécilia », explique Hélène Berthier, consciente, cependant, « qu’ils feront sûrement appel de la décision des juges ».

Après l’incendie volontaire de la maison de Cécilia, les deux corps ont été carbonisés. « Je n’ai pas pu le serrer dans mes bras, je n’ai pas pu lui dire au revoir. Il a fallu que je donne mon ADN pour qu’ils identifient son corps ! », raconte la mère de Pierrick, encore bouleversée. « Je veux que les gens sachent qui sont ces criminels, qu’ils voient leurs visages. Et j’espère qu’ils passeront leur vie en prison ! »

Pour mieux surmonter cette épreuve, Hélène Berthier a créé une association, « Stop Agression », afin de sensibiliser les jeunes à la violence qui gangrène la France. C’est aussi une manière, pour elle, de se souvenir chaque jour du courage héroïque de son fils, qui a tenté de sauver sa voisine Cécilia d’une mort certaine. « Pierrick était un garçon généreux. Je me souviens que parfois, il rentrait à la maison et nous demandait un peu d’argent pour faire le plein d’essence. Non pas parce qu’il avait gaspillé son salaire, mais parce qu’il avait prêté de l’argent à des amis qui en avaient plus besoin que lui… »

La pente fatale de l’empathie pathologique.

On commence par donner du cash à des cassos, on finit la tête éclatée par le bougne en furie d’une pute blanche.

Il va sans dire que l’éducation féministe qu’il a reçu prédisposait ce jeune Blanc à mourir dans les plus effroyables conditions. Et le bot qui lui sert de mère ne gompran ba.

Ce soir, les familles des victimes pourront s’exprimer devant les jurés. Hélène espère « ne pas craquer », mais elle déplore l’absence d’Abdelkader Belarbia, qui a refusé de se présenter à l’audience, conscient des nombreux témoignages qui l’accablent. Les deux hommes, jugés pour les mêmes faits, risquent la prison à perpétuité. Mais ni Pierrick ni Cécilia ne reviendront auprès de leurs proches. Loin d’être un simple fait divers voué à l’oubli, leur histoire révèle un symptôme plus profond : celui d’une France qui, chaque jour, s’enfonce un peu plus dans une hyperviolence quotidienne.

Le lecteur avisé en retirera une précieuse leçon de vie.

Il méprisera souverainement les traînées blanches qui auront fait un mauvais choix reproductif en se commettant avec un métèque du tiers-monde et veillera à s’en tenir méthodiquement éloigné, en toutes circonstances.

Appliquant avec stoïcisme ce rapport aux déchets biologiques de sa propre race, il passera à travers les épreuves du Fatum avec succès, épargnant son énergie vitale qu’il mettra à profit pour renforcer les éléments de qualité de son peuple.

Charité sans racisme n’est que misanthropie.

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