Trappes : un djihadiste saigne les beurettes à khel qui lui servaient de mère et de soeur

Captain Harlock
Démocratie Participative
23 août 2018

Cet homme devait être lassé des provocations de ces beurettes à khel.

France Info :

Un homme a tué sa mère et sa soeur et a grièvement blessé une passante avec un couteau, jeudi 23 août, à Trappes (Yvelines). L’assaillant a été abattu par la police. Voici ce que l’on sait de cette attaque.

Vers 9h30, jeudi 23 août, Kamel Salhi, né en 1982, a grièvement blessé une passante et tué deux membres de sa famille, sa mère et sa sœur, dans la ville de Trappes (Yvelines). Selon plusieurs témoins, l’homme aurait ensuite crié « Allah Akbar ! » et s’est retranché dans un pavillon, situé rue Camille-Claudel. L’habitation « appartenait à sa mère », a expliqué Gérard Collomb.

« Il est ressorti avec un couteau et malgré les sommations des policiers, (…) il a continué à s’avancer (…) donc les policiers ont tiré et l’auteur du crime est décédé », a poursuivi le ministre de l’Intérieur.

Kamel Salhi, âgé de 36 ans, était fiché S et également fiché au FSPRT, le Fichier de traitement des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste, a expliqué Gérard Collomb. Différent de la fiche S, ce fichier a été créé en mars 2015 pour recenser les individus exclusivement identifiés comme des radicaux islamistes, signalés par les services de renseignement, les préfectures et des particuliers. Il a par ailleurs été condamné en 2016 pour « apologie du terrorisme ».

Je ne crois pas que ce soit du djihadisme.

Il s’agit simplement d’un travail de police islamique parfaitement commun en terre d’islam.

Il est très probable que la soeur de Kamel se faisait bourriquer par un nègre animiste du Congo, ce qui l’a rendu fou. Après avoir exigé de sa trainée de soeur qu’elle cesse de souiller le nom de sa famille, son refus l’a plongé dans un état de colère intense. Kamel s’en est ouvert auprès de sa mère, découvrant du même coup que cette vieille moukère couvrait le crime.

Désespéré, Kamel a lavé dans le sang l’offense avant de se faire plomber par la police française, en manque cruel d’entraînement à balles réelles.