Turquie : mobilisation républicaine pour sauver un juif tenancier de bordel homosexuel à New York condamné pour trafic de drogue

Captain Harlock
Démocratie Participative
13 avril 2021

Le judaïsme déborde dans vos salons

Très forte mobilisation de la République pour sauver l’un de ses plus éminents représentants en Turquie : un juif sodomite, tenancier de bordel homosexuel à New York, pris en flagrant délit de consommation de drogue interdite pour se dilater l’anus.

Des précisions sur cette version française de Midnight Express.

L’Express :

D’un simple séjour à Istanbul aux enfers des geôles turques. C’est l’histoire de Fabien Azoulay, un Français de 43 ans détenu depuis 2017 en Turquie, condamné en appel à plus de 16 ans de prison pour possession de produits illégaux. Alors que ses avocats et sa famille peinent à obtenir son transfèrement en France, ils en ont appelé à Emmanuel Macron dans une lettre rendue publique jeudi dernier. Mais l’Elysée a refusé tout commentaire, précise franceinfo.

Propriétaire d’un Spa à New York, Fabien Azoulay s’est rendu en 2017 en Turquie pour se faire poser des implants capillaires. Son séjour ne devait durer que quelques jours. Arrivé dans sa chambre d’hôtel à Istanbul, il commande par internet du GBL, un produit excitant souvent détourné en stimulant sexuel, notamment dans la communauté gay. Seulement, ce produit est interdit dans le pays. Et si Fabien Azoulay soutient qu’il n’était pas au courant de cette interdiction, sa bonne foi ne suffira pas.

Il est interpellé dès la réception de ses produits par la police turque. « Lorsque ce produit a été livré il a été accueilli par la police turque qui l’a arrêté », raconte son avocat, François Zimeray, à BFMTV. Jugé en première instance en 2018 pour consommation et trafic de drogue, il écope d’une première peine de 20 ans de prison, ramenée à 16 ans et 18 mois de prison en appel.

« Il a été victime de sévices, de tortures, de harcèlement moral. Il a exprimé à plusieurs reprises qu’on a essayé de le convertir, qu’on le forçait à prier cinq fois par jour. Il ne sait pas comment réagir, en plus il ne parlait pas la langue. Il a subi des violences parce qu’il est juif, parce qu’il est gay« , estime David Benaym, ami de Fabien Azoulay et auteur d’une pétition réclamant son transfèrement en France. Sa famille et ses proches peuvent difficilement aller le voir. Et son quotidien est un calvaire selon ses défenseurs, notamment en raison de son orientation sexuelle et de sa confession juive.

« Il a été violé, battu, brûlé. Il est l’objet de vexations du fait de son orientation sexuelle, notamment de la part de détenus radicalisés. Il subit des scènes de conversion forcée à l’islam car il est de confession juive. Il en a perdu le sommeil », abonde l’avocat auprès de franceinfo, précisant qu’un « de ses codétenus a même été condamné pour torture à son égard. »

Ces musulmans sont tout de même facétieux.

Il faut dire qu’Erdogan sait manier ses coupeurs de tête à la baguette. S’il les exporte avec gourmandise, il ne tolère pas la moindre incartade de leur part sur le sol turc. Le moindre barbu qui croit pouvoir semer l’anarchie dans les rues du pays est sauvagement réprimé par la police. Du coup, les prisons turques hébergent des tas d’islamistes endurcis.

Il en va de même pour les marxistes et les féministes.

D’une manière générale, la Turquie est un pays beaucoup plus sûr que la France. Ce pays est doté d’une justice dont nous ne pouvons que rêver chez nous. Le moindre violeur subit toute la force répressive de l’Etat Turc.

C’est pour cette raison que dès que des bougnoules venus d’Occident sont arrêtés en Turquie pour viol, vol ou trafic de drogue, ils supplient les démocraties de les reprendre. Ce que se passe dans 100% des cas, les ambassades occidentales consacrant énormément d’énergie à la protection et au rapatriement de leurs petits protégés avant de les faire relâcher en Europe où ils récidivent en riant.

Dans les démocraties, la justice n’est vraiment répressive que lorsqu’il s’agit d’hommes blancs identifiés comme des nationalistes.

Aujourd’hui, son avocat et ses proches tirent la sonnette d’alarme pour qu’il puisse purger sa peine en France. Son état psychologique se dégrade rapidement, et il penserait même au suicide, d’après Me François Zimeray : « Il est totalement désespéré, il a pensé plusieurs fois à se suicider et que sa vie est tout simplement en danger en prison ».

« Pendant quatre ans les avocats en charge qui se sont battus magnifiquement ont espéré en la justice turque [..] personne ne croyait que ce cauchemar qui aurait pu arriver à tout le monde puisse durer aussi longtemps », explique encore son conseil à BFMTV. Un communiqué a été publié jeudi 8 avril, pour rendre public l’affaire et obtenir une réaction des autorités françaises.

La pétition qui a été publiée ce week-end, et avait été signée lundi-après-midi par plus de 23 000 personnes, a reçu le soutien de personnalités politiques comme le député de la 8e circonscription des Français établis hors de France, Meyer Habib ou Audrey Pulvar.

Le quai d’Orsay assure à Franceinfo que ses services sont « pleinement mobilisés sur le sort de ce Français » et s’enquièrent régulièrement « de sa situation et de sa demande de transfèrement ».

La pétition qui a été publiée ce week-end, et avait été signée lundi-après-midi par plus de 23 000 personnes, a reçu le soutien de personnalités politiques comme le député de la 8e circonscription des Français établis hors de France, Meyer Habib ou Audrey Pulvar.

Nous connaissons très bien ce qu’implique un « transfèrement » dans le langage judiciaire français : la libération immédiate de ce membre du peuple élu.

Lorsqu’en 2007 des émissaires de François Sarkozy, frère de Nicolas Sarkozy, avaient été surpris en flagrant délit de kidnapping d’enfants africains au Tchad pour les écouler sur le marché français, la juive Émilie Lelouch, condamnée aux travaux forcés au Tchad, avait été « transférée » en France pour passer un séjour de quelques semaines à l’hôpital de Fresnes avant d’être relâchée.

Toutefois les autorités turques ne vont pas relâcher cet inverti gratuitement, d’autant que le gouvernement français s’en prend en ce moment à un projet d’école turque à Albertville.

L’ambassadeur turc en France a présenté le deal aux juifs qui contrôlent l’Etat Français : la fin des attaques contre l’association islamiste turque qui supervise la construction de la grande mosquée de Strasbourg ainsi que celle d’une école à Albertville.

Pour la République, un sodomite juif vaut au moins 6 millions de Français de souche. Les autorités françaises sont donc prêtes à faire de larges concessions à la partie turque pour permettre au tenancier de bordel homosexuel de regagner New York au plus vite.

Mais l’émergence médiatique de cette histoire d’otage juif tombe mal. Macron vient tout juste de concocter une loi ad hoc pour ennuyer les sbires d’Erdogan.

Il va donc falloir choisir.

Pour les juifs, c’est déjà entendu : il faut un accord avec les islamistes turcs. Un sodomite juif vaut bien quelques gorges de Français offertes aux couteaux de l’islam conquérant.

Le rabbi des « hôpitaux français » menace Macron.

Le gouvernement israélien s’en est aussi mêlé.

L’avocate d’Azoulay, une très belle femme juive, était chez le juif Hanouna pour expliquer à la plèbe française pourquoi le sauvetage de l’anus hébraïque primait toute autre considération.

Les médias juifs débordent de menaces voilées contre Macron s’il ose temporiser pour des raisons d’ordre géopolitique face à la Turquie.

Naturellement, les médias de droite catholique se portent au secours du sodomite avec d’autant plus de zèle que c’est un membre du peuple élu.

Si le leadership turc est rusé, il pressera la France comme un citron en utilisant la juiverie hurlante comme un levier contre Macron.

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