Trump qualifie très justement les migrants du tiers-monde « d’animaux »

Captain Harlock
Démocratie Participative
17 mai 2018

Des travailleurs migrants qui veulent réaliser le rêve américain

Trump a correctement décrit les hordes d’Aztèques assoiffés de sang qui envahissent les USA « d’animaux ».

C’est bien évidemment la vérité.

Ces animaux ne sont même pas chrétiens. Ils ont développé une sorte de culte démoniaque qui emprunte aux pires rites africains et amérindiens, lesquels s’appuient souvent sur des sacrifices humains.

Ces bêtes sauvages sont absolument prêtes à tout.

Hélas, nous avons la vérole médiatique pour se mobiliser.

RFI :

« Ce ne sont pas des hommes, ce sont des animaux. » Donald Trump parle en ces termes des clandestins renvoyés de l’autre côté de la frontière mexicaine par les Etats-Unis. « Nous les expulsons à un rythme jamais vu auparavant », se félicite même le président américain.

Ces propos relayés en direct à la télévision ont immédiatement suscité la polémique dans les médias et sur les réseaux sociaux. Donald Trump avait invité à la Maison Blanche une vingtaine de sympathisants, élus locaux californiens farouchement opposés à la loi « sanctuaire ».

Par cette loi, la Californie s’est déclarée en septembre dernier « Etat sanctuaire » pour immigrés illégaux, en limitant au maximum toute collaboration avec la police fédérale anti immigration.

En raison de ces lois laxistes, les clandestins vont et viennent dans le pays, tempête Donald Trump. « Nous avons les lois les plus stupides du monde en matière d’immigration, mais nous allons nous en occuper », promet le président, qui accuse une fois de plus la loi californienne de servir de refuge aux délinquants « les plus vicieux de la Terre comme les membres du gang MS13 ».

Ces journalistes rouges sont les gens les plus dangereux d’entre tous car ils travaillent activement, en Occident, à permettre à ces bêtes sauvages de s’installer sur nos terres pour violer, tuer, vendre de la drogue, voler, en un mot, détruire.