Troyes : une cinquantaine de fiers Tchétchènes armés lynchent des migrants nègres dans leur hôtel payé par les contribuables français

Captain Harlock
Démocratie Participative
30 avril 2020

Ca a tout de même plus de gueule que Macron et ses pédés nègres à l’Elysée

J’ai toujours eu une certaine indulgence pour les Tchétchènes en dépit de leurs tendances au pillage mahométan. Déjà en raison de l’existence de Saint Kadyrov, l’aigle du Caucase qui persécute les fiottes au grand dam des pédales démocrates occidentales.

Que le héros de la cause hétérosexuelle invoque Allah pour tourmenter les sodomites m’indiffère totalement tant qu’ils tourmentent les sodomites.

Mais s’il y a surtout une chose que l’on ne peut pas reprocher aux Tchétchènes, c’est leur solidarité raciale. Ces gens agissent en tribu guerrière.

L’Est Eclair :

Dans la nuit de vendredi à samedi, une cinquantaine de Tchétchènes ont fait irruption au foyer de migrants. « Une scène de guerre », témoigne une victime.

« Ils ont couru vers les Africains, ils étaient là pour tuer. » Lorsque Philippe*, l’un des agents de sécurité présent vendredi 24 avril sur le site du Fast Hôtel, emploie le verbe « tuer », ce n’est pas à la légère. L’homme, un ancien militaire, a connu de vraies scènes de guerre, il sait le poids du verbe. « C’était une scène de guerre », raconte-t-il, calme et posé. Le bras en écharpe, le crâne suturé par endroits, il se remémore une scène de quelques minutes, digne d’un film.

Dans la nuit de vendredi à samedi, une cinquantaine d’hommes armés, des Tchétchènes, débarquent en courant sur le site de l’ancien Fast Hôtel, utilisé aujourd’hui pour l’accueil des migrants. Ils viennent en découdre avec leurs rivaux du moment. La minute précédente, tout était calme. « Je venais de dire à une patrouille de gendarmerie que tout allait bien, c’était calme », raconte Philippe.

Quelques secondes plus tard, la cinquantaine d’énervés se rue sur place. « Ils avaient des bâtons, des battes, des crosses, des barres de fer, ils couraient dans tous les sens. » Philippe a alors le réflexe de composer le 17. « J’ai dit “envoie du renfort, c’est la guerre”. » Les Tchétchènes se ruent sur les Africains, des coups sont échangés. Philippe et son collègue parviennent à cacher l’un de ceux que les assaillants cherchaient plus que les autres.

Philippe est un brave Français qui a fait son devoir de Républicain en acceptant de se faire fracturer le crâne pour sauver des nègres, ses futurs compatriotes qui bourriqueront sa fille en remerciement.

Êtes-vous plus français que lui ?

Les Tchétchènes ne sont pas des bougnoules mais des guerriers du Caucase. Ils ont certes le vice oriental propre à la religion du Bédouin dans le sang, mais ils n’ont physiquement et nerveusement rien à voir avec les danseuses du bled ou la négraille.

En repartant, aussi vite qu’ils sont arrivés, l’un des Tchétchènes s’en prend verbalement à l’agent de sécurité. « Il m’a dit que je devais être de leur côté et pas de celui des Africains. » Mais Philippe n’a pas le temps de répondre qu’un coup de barre de fer l’atteint sur le crâne. Puis sur l’épaule. Par chance, il reste debout. Il est sérieusement blessé mais l’adrénaline faisant, il ne ressent pas la douleur.

Les Tchétchènes sont absolument scandalisés par la négrophilie pathologique du beauf français de base.

Je comprends ça. Moi aussi ça me scandalise. En fait, ça scandalise tout être humain digne de ce nom.

Le gros Philippe a donc reçu la correction qu’il méritait pour avoir osé défendre des nègres, la pire chose que l’on peut faire avant d’être un nègre soi-même.

À nouveau, en quelques secondes, tout redevient calme. Jusqu’à l’arrivée de plusieurs équipages, de gendarmerie mais aussi de police.

Quatre hommes sont blessés : les deux agents de sécurité et deux Africains. L’un d’eux présente une plaie d’arme blanche à la poitrine. Trois Tchétchènes seront interpellés et placés en garde à vue. Les autres ont pris la fuite.

Les agents de sécurité avaient été envoyés sur site, à Barberey, le vendredi matin, pour sécuriser les lieux. Depuis la veille, la tension était sévèrement montée après qu’un enfant, qui avait fait irruption pendant un match de foot des Africains, a été prié de quitter les lieux. Son père, d’origine Tchétchène, avait alors appelé à la rescousse plusieurs de ses amis et des bagarres avaient éclaté sur place jeudi et vendredi. Avant l’assaut final nocturne.

Depuis, le Fast Hôtel a été vidé de ses locataires et le site, voisin de la D619, régulièrement visité par des patrouilles de gendarmerie.

L’enquête se poursuit.

Oui, la République a besoin d’enquêter pour sauver ses précieux cafres.

En tout cas, cette sauvage opération de représailles a définitivement vacciné ces sales nègres à propos des Tchétchènes.

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