Trop occupée à coffrer des Blancs dénonçant l’islam comme secte pédophile, la police anglaise laisse des rats pakistanais violer des gamines blanches pendant 40 ans

Capitaine Harlock
Démocratie participative
14 mars 2018

 

Donc, après viré du pays Lauren Southern et Brittany Pettibone parce qu’elles ne portaient pas encore la burka, après avoir coffré deux Blancs de Britain First qui salissaient la belle religion d’allah en la qualifiant de secte de « pédophile », l’émirat britannique dirigé par le Kebab suprême de Londres, Khan le Sadique, a reconnu avoir laissé des rats pakistanais violer et tuer des petites gamines blanches pendant 40 ans.

Breizh Info :

Silence total dans la presse française sur ce qui pourrait constituer le plus grand scandale de viols collectifs sur mineurs et d’abus en tout genre de l’histoire du Royaume-Uni.

Un gang ethnique a pu en effet violer, en toute impunité, jusqu’à 1 000 jeunes filles (la plupart d’origine européenne) en l’espace de plusieurs décennies, dans la ville de Telford à 48 km à l’ouest de Birmingham. C’est le DailyMail qui rapporte l’histoire.

Ces jeunes filles ont été droguées, battues et violées par des gangs de Pakistanais actifs depuis les années 1980. Certains membres de ces gangs  ont été condamnés par le passé :

  • Ahdel Ali (25 ans) condamné à 26 ans de prison dont 18 ferme ;
  • Mubarek Ali (29 ans), son frère, condamné à 22 ans de prison dont 14 ans ferme. Tous deux ont été inscrits à vie sur la liste des délinquants sexuels ;
  • Mohammed Ali Sultan (26 ans) ;
  • Tanveer Ahmed (40 ans) ;
  • Mohammed Islam Choudhrey (53 ans) ;
  • Mahroof Khan (35 ans) ;
  • Mohammed Younis (60 ans).

Comme dans les autres affaires similaires, les auteurs étaient très majoritairement d’origine  pakistanaise et bangladaise et de religion musulmane.

« Si po di vré mouzoulmons, si cété di vré mouzoulmons, li po viouler li blonches » (Omar, sur Facebook).

Et puis, comme dit le Grand Khan de Londres, l’urgence, c’est de lutter contre le racisme de ces sales infidèles sur internet.

La presse anglaise et certains élus s’interrogent sur le silence des autorités, se posant la question de savoir si, en raison des origines ethniques des accusés, et de celles (européennes) des victimes, elles n’auraient pas fermé les yeux et si d’autres criminels, plusieurs centaines possiblement, n’auraient pas agi en toute impunité.

Par crainte d’être considérées comme « racistes », les autorités ont en effet longtemps refuser d’enquêter.

Un grand nombre de travailleurs sociaux et de victimes impliqués dans l’enquête ont déclaré que la police et le conseil local n’étaient pas disposés à les aider et ont même parfois délibérément entravé leurs efforts pour dénoncer et arrêter les auteurs de ces actes. « La police a refusé d’enquêter cinq fois de suite sur une affaire récente jusqu’à l’intervention d’un député ». Une victime a renoncé à ses démarches pour faire condamner les criminels parce qu’elle « ne se sentait pas soutenue émotionnellement » par la police. Une autre a affirmé que « les agents de police l’avaient découragée à poursuivre sa plainte après qu’elle leur ait dit qu’elle avait parlé au journal The Mirror »

Les travailleurs sociaux étaient au courant des abus depuis les années 1990, mais il a fallu une décennie à la police pour lancer une première enquête.

La députée conservatrice de Telford, Lucy Allan, a déjà demandé une enquête similaire à celle sur un autre scandale de viols collectifs sur des enfants à Rotherham et a qualifié les dernières révélations d’ «extrêmement graves et choquantes».

Nan.

Cela n’a rien à voir avec « la peur d’être traité de racistes ». Ces ordures de flics couvraient le système parce qu’ils touchaient du blé là-dessus et que des huiles trafiquaient avec cette vermine grouillante du Pakistan. 

Pour justifier le tout, la hiérarchie disait simplement aux flics de terrain, « ouai, bon, vous savez, il faut faire avec les coutumes de nos chers concitoyens d’origine pakistanaise. Il faut être flexibles ».

Plus de la moitié de ces excréments musulmans du Pakistan couchent avec leurs soeurs et leurs mères. Comme Carla Bruni si vous voulez.

Regardez-moi ces faciès de sous-hommes.

Tous ces rats putrides sont en liberté parce qu’ils ont déjà infiltré tout l’état britannique.

Et dire que Trump, par générosité, appelle encore ce trou « le meilleur allié des USA ».

Enfin, ces Anglais passent simplement à la caisse pour avoir servi les juifs avec assiduité.