Très drôle : une librairie de crasseux d’extrême-gauche pulvérisée par la dynamique jeunesse blanche de Lyon (vidéo)

Captain Harlock
Démocratie Participative
22 mars 2021

 

J’aime le son du cristal qui se brise la nuit.

Les punks à chiens chouinent.

Le plus drôle, c’est que les rouges détestent se voir appliquer leurs propres méthodes.

Libération :

Un groupe d’une cinquantaine de personnes cagoulées a attaqué la librairie anarchiste La Plume noire, samedi en plein après-midi, à Lyon. Les militants de gauche locaux accusent des militants de Génération identitaire.

«Heureusement qu’ils n’ont pas pu rentrer, le bilan serait bien pire», résume Julien, militant de l’Union communiste libertaire, contacté par Libération. Samedi après-midi à Lyon, en plein centre de la ville, un groupe d’une cinquantaine de militants d’extrême droite et autres hooligans nationalistes ont attaqué la librairie anarchiste la Plume noire. Cagoulés et hurlant des slogans identitaires – l’un a même fait à plusieurs reprises un salut nazi –, ils ont défoncé les vitrines du local où se déroulait une collecte et distribution d’aide aux nécessiteux.

Les anarcho-nihilistes faisaient les fonds de poubelles pour nourrir des nègres, apparemment.

Dans la nuit ou tôt dans la matinée, un message en forme de revendication agrémenté d’une croix celtique, symbole néofasciste, a été tagué sur la librairie : «On ne dissous (sic) pas une génération, retenez la leçon.»

Il était aux alentours de 14 heures, samedi, lorsqu’un imposant groupe de jeunes hommes a investi la rue Diderot où la librairie anar est installée depuis des années. Immédiatement, ils en ont défoncé les vitrines à coups de pied et de pavés sous les yeux médusés de la petite dizaine de personnes présentes dans le local, dont un homme venu chercher des dons alimentaires, relate Julien. D’autres groupes plus petits auraient joué les guetteurs à chaque bout de la petite voie à sens unique.

Sur des vidéos de l’attaque filmées par des témoins, et notamment relayées sur Twitter par le porte-parole de l’association antifasciste la Jeune Garde, Raphaël Arnault, on peut voir distinctement un membre du groupe faire plusieurs saluts nazis. Une autre vidéo montre le groupe poser pour une photo, tranquillement, sur un petit pont tout proche avec une banderole arrachée sur le local qu’ils venaient d’attaquer. Ils auraient ainsi déambulé dans le quartier pendant 30 à 40 minutes sans être inquiétés avant de se disperser.

Témoignages et vidéos font état de slogans comme «Lyon, Lyon, hooligan» ou «Lyon, Lyon, le Melhor», cri de ralliement historique des identitaires lyonnais qui était notamment mis en avant sur l’ancien site de l’association Rebeyne, branche locale de Génération identitaire.

Le message tagué cette nuit sur le local est aussi un des mots d’ordre officiels de la manif organisée par Génération identitaire fin février à Paris contre sa dissolution, qui n’a toutefois pas touché les associations locales du groupe. «Cette attaque est le signe que les éléments les plus virulents, les plus violents, ne se sentent désormais plus tenus par l’image du groupe qu’il ne fallait pas écorner», estime Julien, qui a lui-même été passé à tabac par des membres présumés de l’extrême droite locale en décembre, devant la Plume noire, en marge d’une collecte de jouets organisée à l’approche de Noël.

Décidément, couvrir les nègres de cadeaux est une obsession pour ces bâtards de bolches.

Les antifascistes locaux affirment en outre à Libé avoir reconnu des militants de Génération identitaire, dont au moins un cadre, sur les vidéos de l’attaque de samedi.

Le maire EE-LV de Lyon, Grégory Doucet, a dénoncé une «agression révoltante et inacceptable», se disant «déterminé à lutter contre toute forme de haine». Mohamed Chihi, son adjoint en charge de la sécurité, a ajouté : «Ce groupuscule [sans le nommer, ndlr] ne bénéficiera d’aucune impunité de notre part.»

Tiens, Mohamed prétend faire la police dans les rues françaises. Un schéma qui tend à se généraliser.

En tout cas, l’écolo-marxiste Doucet est bien plus mesuré lorsque les dealers afro-maghrébins fomentent des émeutes raciales dans sa ville.

Menus sans viande dans les cantines, bannissement du Tour de France, budget « genré » féministe et protection des islamistes, la ville de Lyon est en train de devenir un des laboratoires de la gauche régressive.

Forcément, des réactions populaires sont à prévoir.

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