Traumatisée par le racisme blanc et le droit de se défendre, cette YouTubeuse française larguée par son mec veut désespérément revenir en France – mais pas vraiment

Captain Harlock
Démocratie Participative
25 novembre 2021

 

Si vous avez encore assez de self control pour écouter une Française parler (de n’importe quoi), et plus particulièrement de parler de sa sociopathie fondamentale, cette vidéo est faite pour vous.

D’une manière générale, il faut prendre le temps de parler des femmes françaises compte tenu du fait que ce sont les pires femmes d’Europe au plan comportemental – et de très loin – avec des conséquences catastrophiques pour les hommes et la société.

La femme de cette vidéo est une de ces créatures qu’on appelle les Françaises expatriées. Les Françaises expatriées sont toutes, sans exception, des femmes atroces et non-comestibles. Par atroces et non-comestibles, j’entends qu’elles sont d’une toxicité hors norme en terme d’apport à la société et que si vous les touchez, votre santé physique et mentale en sera grandement affectée.

Le seul mot qui convient pour décrire une Française expatriée est radioactivité.

Je ne souhaite à aucun peuple, de couleur ou non, de subir l’arrivée d’une seule femme blanche originaire de France. En moins de dix minutes, c’est le mal de tête assuré. Rien ne va, l’allure, le comportement,  les tatouages, encore moins la voix avec ses intonations de pétasse tabagique : rien.

C’est la catastrophe.

Une femme française expatriée typique est une prof manquée qui va dans un autre pays pour le ruiner à coups de prêches entrecoupés de longues divagations où la princesse s’apitoie sur son sort (imaginaire) de victime. D’après elle, si elle n’arrive à rien ou presque, c’est systématiquement parce que quelque chose ne va pas dans la société où elle vit – sauf, et c’est très important à noter, quand il s’agit d’un trou à rats marron. Alors là, celle qui préfèrerait se faire arracher les ongles plutôt que d’avoir la patience de laver une seule paire de chaussettes en France se métamorphose en une créature toute de prévenance et d’humilité.

Dans cette vidéo, vous allez donc découvrir une trentenaire, mère isolée ayant heurté le mur, qui rage de se retrouver aux Etats-Unis sans véritable alternative masculine sérieuse sous la main et – roulements de tambour – SANS SECURITE SOCIALE.

Elle trouve même le moyen de pleurer sur les « musulmanes » qui sont discriminées aux USA.

Note : il n’y a pour ainsi dire pas de musulmans aux USA, ce qui rend ce couplet encore plus insupportable de chialerie fielleuse.

Donc

Je résume le long propos tortueux de 30 minutes : la gonzesse veut plus de trucs gratuits.

Tout le reste est anecdotique.

Il y a des indices d’enculerie assez remarquables. D’emblée, il faut dire que cette nana a un sérieux budget coiffure et cosmétique.  D’ailleurs, nous sommes franchement dans la magie noire à ce niveau d’effets spéciaux.

Ensuite, elle dit en début de vidéo que la société américaine est composée de 1% de gens qui vivent « le rêve américain » et de 99% de gens qui meurent plus ou moins de faim avant de dire qu’elle se sent « chanceuse » même si elle ne fait pas partie des 1% de « milliardaires », sans développer parce qu’elle n’a visiblement pas envie de cracher son vrai salaire (facilement 5K/mois).

Elle fait donc partie des « 99% » qui vivent le « cauchemar américaine » (dixit) mais qui s’estime chanceuse tout en se plaignant d’être pauvre et de lorgner sur la France et sa « sécurité sociale ».

Les salaires aux USA n’ont rien à voir avec ce qui existe en France bolchevisée, principalement parce que le travail y est encore reconnu.

Le salaire moyen d’un Américain est supérieur de 30%.

Par ailleurs, la pression fiscale est sans commune mesure avec le paradis des travailleurs fronssés.

Gagnant 30% de moins qu’en Amérique et redistribuant au bas mot 15% de plus, le serf français moyen se retrouve avec un PIB par habitant de 40% inférieur à celui d’une Amérique qui doit pourtant nourrir gratuitement 40 millions de noirs.

Un foyer blanc moyen gagne en moyenne 4,750 euros par mois aux USA.

Un foyer français lambda gagne 3,000 euros, c’est-à-dire le revenu moyen d’un foyer noir américain.

Oui, les Français ont bel et bien le niveau de vie des nègres d’Amérique tout en travaillant comme des damnés.

Avec une telle pression fiscale, la France devrait n’avoir aucun problème de financement.

Et bien non, ce pays n’a pas le premier sou pour payer son fabuleux système socialisé. Pour simplement le maintenir à flots 5 ans de plus, Macron a emprunté 700 milliards d’euros que personne n’a évidemment l’intention de rembourser.

Pour ce prix-là, vous avez en effet l’Aide Médicale d’Etat pour l’Afrique en France, des tests PCR payants pour les gwers à l’entrée des hostos, des urgences saturées de moukères et de Fatoumata agressives et des maternités qui ferment dans les campagnes blanches pendant que la CAF subventionne à grande échelle le Grand Remplacement.

C’est la « chance » dont nous ne nous rendons pas compte dont nous parle Sandrea, la mère isolée qui doit ramasser en un an aux USA ce qu’un couple gagne en trois ou quatre ans en FRONSSE.

Le système de santé américain est payant pour une seule raison : personne ne veut soigner des nègres gratuitement. Et encore, le système a été largement trafiqué par la gauche américaine pour soigner tous ces nègres qui passent leurs journées à se défoncer au crack et à s’entretuer. Surtout sous Obama. Une « sécurité sociale » à la française aux USA signifierait la même chose qu’en France : dépenser des sommes colossales dans le bien-être des nègres et des cassos, en pure perte.

Les américains ne le disent pas, mais ce filtre financier est en réalité un filtre racial.

Je comprends que quand on est une Blanche qui a merdé dans la vie avec un gosse sur les bras, le modèle bolchevique français exerce une irrépressible fascination. Mais pour un homme blanc qui bosse dur, c’est ce qui se fait du pire sur cette terre après le communisme stricto sensu. Et encore, les pays communistes sont monoraciaux, si bien que le peu que vous avez ne vous est pas pris pour le donner à des nègres ou des pétasses blanches fortes et indépendantes.

Dans une société multiraciale, un système socialisé est une catastrophe universelle pour l’homme blanc.

Il y a trois options.

Soit vous avez l’imposition du Danemark avec l’homogénéité raciale du Danemark.

Soit vous avez l’imposition de l’Amérique avec l’hétérogénéité raciale américaine.

Mais l’imposition de la France avec l’hétérogénéité de la France, c’est game over pour les Blancs qui bossent.

En allant aux USA, cette femme française pensait sérieusement devenir milliardaire, ou pratiquement, tout en ayant des trucs gratuits pour toujours.

Notre princesse française qui « relativise » et qui veut désormais rentrer au pays se rend compte qu’à 30 balais, elle a déjà raté sa vie. Elle n’a rien à offrir à un bon parti masculin américain et son job peut sauter dans un an, deux ans ou quatre ans. Auquel cas, il n’y aura pas de beta pourvoyeur pour entretenir Miss Monde.

Derrière le bullshit sur « je ne peux pas repartir avec ma fille, c’est son pays », se cache la misère d’admettre son échec en retournant en France. Imaginez un peu ça : partir aux USA en étant convaincu de crouler sous l’or et revenir en mendiant en France pour gratter la CAF.

Le rêve français.

C’est un vrai film, vraiment fait en France

Mais en France, il y a l’état communiste magique pour nourrir toutes les négresses et les pétasses blanches de ce genre et ça, c’est un truc de nature à faire frire le câblage de toute Française qui se respecte.

Ensuite, à la moitié de la vidéo il y a ce grand moment d’hypocrisie : ma fille est dans le privé.

Alors, à Nashville, comme dans toute grande ville américaine, le concept est facile à appréhender :

Privé : Blancs

Public : nègres et machins marron

Ce qui donne dans la bouche d’une Française :

Ma fille est hyperactive !

C’est la même gonzesse qui pleurait en début de vidéo sur les noirs et musulmanes qui étaient « discriminées ».

C’est le genre de putes qui expliquent le vote des expatriés fronssés à toutes les élections.

Sur ce, le moment psy cul de la connasse de gauche fuyant hypocritement les nègres qui explique que les mecs blancs armés ont un complexe d’hommes à petite bite.

Il y a encore quelques dizaines d’années, une femme n’aurait pas discuté face caméra de la taille des bites. Avec la libération totale de l’hypergamie féminine, c’est devenu un topic totalement banal parmi les pétasses émancipées.

Essayer d’humilier un homme en se référant à la taille de son pénis (associée explicitement à sa virilité) est la ficelle la plus courante des femmes pour faire croire aux hommes que pour être « un vrai mec », il faut qu’ils appliquent X-Y-Z ! Pour être un « vrai mec » à ce que dit cette Française perfide, il faut qu’un Blanc soit un beta désarmé au milieu des nègres pendant que la princesse évite soigneusement la diversité raciale en foutant sa fille dans des écoles 100% blanches.

Le reste est un festival anti-Trump, pro narration officielle avec la cerise sur le gâteau :

en FRONSSE, on a un système bolchevique ultra centralisé qui peut imposer le port du masque !

Ce matériel biologique hexagonal est totalement foutu.

Même immergée au milieu des whites du Tennessee avec des émeutes raciales fomentées par les juifs du Parti Démocrate, une Française veut encore désarmer les hommes blancs, généraliser l’assistanat social tous azimuts pour donner des trucs gratuits à la lie raciale tout en resquillant pour éviter de subir au quotidien la diversité ethnique.

Franchement, la différence entre une Française lambda et des arabes est vraiment infinitésimale. Je ne suis pas sûr qu’on puisse parler de différence à proprement parler, c’est ouvert à débat.

Et donc, en France, 50% de l’électorat est composé de ce matériel et quand vous dites que ce matériel doit être reformaté d’urgence, les autres 50% surgissent en hurlant que les femmes françaises doivent pouvoir détruire l’ordre social parce qu’elles ont une chatte.

*Merci à Mario Cigale

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