Tibo InShape appelle ses followers à laisser les femmes tuer leurs enfants quand elles ont envie

La rédaction
Démocratie Participative
20 août 2022

 

Tibo InShape est une future victime d’un viol par divorce qui risque d’être épique.

Le type est l’archétype du drone qui prend la pilule bleue, à chaque fois.

Le problème, Tibo, c’est qu’une femme n’est jamais et ne sera jamais « dans de bonnes conditions » pour « accueillir » un enfant. Ce n’est pas une série de cases à cocher avant d’obtenir un permis. Une femme réévalue en permanence ses « conditions » et celles-ci dépendent exclusivement du niveau de confort matériel, donc psychologique, qu’un partenaire peut offrir. C’est d’ailleurs le sens du mot conditions : tout est conditionnel.

Aujourd’hui, par l’embrigadement féministe des sociétés occidentales, ce processus a atteint sa fin optimale d’un point de vue hypergame féminin grâce à l’avortement et à la pension alimentaire. L’homme est devenu totalement périphérique et légalement subordonné à la femme alpha.

La moitié des hommes sont aujourd’hui des esclaves d’une femme qu’ils ne voient pas.

Le fait révélateur, à chaque fois que le truc surgit dans une discussion, c’est le cas choisi pour justifier l’avortement.

D’ordinaire c’est le viol, ici, c’est un problème de malformation. Ce dernier cas est plus crédible, et c’est effectivement celui mis en avant par les mâles volontairement subordonnés aux femmes. Pour convaincre les hommes de rester des esclaves de la vaginocratie, il fait appel à leur instinct animal qui les conditionne à vouloir une descendance viable et performante dans la lutte pour la survie.

Les femmes préfèrent l’excuse du viol qui correspond à la peur atavique d’être prisonnières socialement d’un mauvais pari reproductif.

Mais c’est tout autant de l’enfumage. Ces cas sont par définition minoritaires et ne représentent pas du tout le paradigme sous-jacent du divorce : l’hypergamie féminine et la prise de contrôle totale des femmes sur le processus reproductif.

Une fois que les femmes prennent le contrôle de ce processus pour cesser d’être des mères et devenir des mecs synthétiques, la natalité s’effondre. Vous avez des femmes à qui on donne des diplômes pour faire semblant de travailler et qui claquent en conneries le fric ponctionné sur la masse salariale masculine véritablement productive.

Toute cette discussion autour de l’avortement tourne autour du confort petit-bourgeois de pétasses de moins de 30 ans, au détriment de la survie même de l’espèce, donc du peuple.

Tout ce que cela démontre, c’est que soulever de la fonte ne transforme pas un mâle beta en homme. Il reste un serviteur de femmes alpha.

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