Tarek, clandestin algérien multirécidiviste, viole une Française forte et indépendante qui s’éclatait à 3h00 du matin dans la rue

La rédaction
Démocratie Participative
23 juin 2022

 

Avant d’aller plus loin sur cette histoire de viol commis par un algérien, il faut rappeler à la victime que le vrai problème, ce n’est pas cet immigré, mais les +3°C.

La Montagne :

Ses amis l’ont retrouvée en pleurs et tremblante dans la nuit du 29 septembre 2018 à Clermont-Ferrand. en quittant quelques minutes la fête à laquelle elle participait, la Clermontoise a croisé le chemin d’un homme. Il l’a agressé sexuellement. Il a été condamné à quatre ans de prison ferme.

Incarcéré à Moulins-Yzeure où il purge une peine de quinze mois de prison pour extorsion, Tarek Adda, 31 ans, était à nouveau devant les juges lundi 20 juin.

Poursuivi pour avoir agressé sexuellement une Clermontoise, le 29 septembre 2018, à Clermont-Ferrand, le trentenaire, n’a pas nié avoir eu une relation sexuelle avec la victime mais il rejette l’y avoir contrainte : « Elle a dit oui », a maintenu le prévenu, depuis le box, frange frisée tombante sur les yeux. La présidente du tribunal lit alors les propos de la Clermontoise, absente de l’audience, qui, le lendemain des faits a déposé plainte. Elle raconte la soirée entre amis dans un appartement dans le secteur de Balainvilliers.

Vers 3 heures du matin, elle s’absente de la fête pour alimenter l’horodateur. Quelques minutes durant lesquelles elle est abordée par deux hommes. L’un lui demande de lui prêter son téléphone. Elle lui rend service puis il s’éloigne. Elle raconte avoir l’impression qu’il jetait son appareil dans sa voiture. Pour le récupérer, elle monte dans le véhicule où elle se retrouve seule avec le deuxième homme, le prévenu. Elle affirme qu’il l’a fait chanter, qu’il lui rendrait son téléphone contre une relation sexuelle : « Elle subit la scène, elle dit qu’elle ne veut pas coucher avec vous et qu’elle a laissé faire pour que ça s’arrête… » explique la présidente.

Une femme forte et indépendante sort seule, à 3h00 du matin, parce qu’elle n’a de comptes à rendre à PERSONNE.

Me Saby, avocate du prévenu, analyse «une situation sans attitude très claire ni d’un côté ni de l’autre ». Son client s’accroche à sa version : « Elle est entrée dans la voiture, on a bu de la vodka et on a eu cette relation. C’est arrivé comme ça ». La procureure parle au contraire d’un « comportement de prédateur », d’un dossier « de l’absence de consentement », des déclarations « circonstanciées et réitérées » de la victime. Et de viol : « Il s’agit bien d’un viol correctionnalisé avec l’accord de toutes les parties ». Dans la nuit des faits, les amis de la jeune femme l’ont retrouvée choquée, en pleurs, accroupie dans la cour de l’immeuble où la fête continuait.

Reconnu coupable par le tribunal correctionnel de Clermont-Ferrand, le trentenaire de nationalité algérienne, a été condamné à la peine requise : quatre ans de prison ferme. A sa sortie de détention, il devra quitter la France. Il lui est en effet interdit de vivre sur le territoire national pendant dix ans.

Ouf, Tarek pourra revenir en France pour ses 40 ans. Enfin, en théorie, car en pratique, Tarek ne quittera jamais la France.

Quant à la victime, elle a une chose à dire :

Sortez de mes mentions les racistes

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