Survivre à l’esclavage intégral – un début de réflexion

Captain Harlock
Démocratie Participative
15 Janvier 2021

 

Le gouvernement français mène depuis 8 mois – bien plus en réalité – une entreprise de destruction méthodique de l’économie réelle mais il faut clarifier une chose : ce n’est pas parce que vous ou n’importe quel paysan occidental allez être réduit en esclavage et affamé par l’oligarchie que l’oligarchie est censée partager votre sort.

Bien au contraire, elle doit devenir plus riche et plus puissante que jamais à mesure que nous sombrons dans la misère du collectivisme féodal.

Les véritables oligarques, les grands oligarques, ne sont plus des milliardaires. Ce sont des turbo-milliardaires. Tout ce qui se situe sous les 100 milliards de dollars peut être considéré comme un joueur moyen. La ligue 1 est réservé aux 100 milliards +.

Comme Bill Gates par exemple qui pèse désormais plus de 120 milliards de dollars – au beau milieu de la dépression du siècle.

Les gens ne semblent pas associer cette pandémie imaginaire inventée par les médias et l’OMS – une propriété de Bill Gates – et le transfert massif de richesses qui s’opère actuellement grâce à ces confinements.

Quand je parle de famine, c’est au sens strict. La vaccination de masse et avec elle le contrôle des mouvements de la population n’est qu’un élément d’un plan bien plus vaste dans lequel vous serez un esclave et rien d’autre. L’hyperclasse crée en ce moment des néo-kolkhozes, des fermes collectives qu’elle possède en exclusivité. Le but est assez simple : créer les conditions de la pénurie avec une pandémie imaginaire – et ensuite avec le « réchauffement climatique » –  tout en devenant les seuls et uniques fournisseurs de denrées du monde occidental.

Si vous voulez manger, vous devrez prêter allégeance à votre suzerain, comme les paysans du Moyen-Âge – mais en bien pire.

Forbes :

Bill Gates, la quatrième personne la plus riche du monde, qui se décrit lui-même comme un intello connu pour ses premières compétences en programmation plutôt que pour son amour du plein air, a tranquillement arraché 242 000 acres de terres agricoles aux États-Unis – assez pour en faire le premier propriétaire privé de terres agricoles en Amérique.

242,000 acres représentent environ 600,000 hectares de terres cultivables.

Une ferme d’une taille raisonnable en France possède 300 ou 400 hectares.

Agricost, la plus grande exploitation française, possède 57,000 hectares, moins de 10% de ce que possède Bill Gates en Amérique.

Il y a une ligne directrice ici.

Après des années de rapports selon lesquels il achetait des terres agricoles dans des endroits comme la Floride et Washington, The Land Report a révélé que M. Gates, qui a une valeur nette de près de 121 milliards de dollars selon Forbes, s’est constitué un énorme portefeuille de terres agricoles dans 18 États. Ses plus grandes exploitations se trouvent en Louisiane (69 071 acres), en Arkansas (47 927 acres) et au Nebraska (20 588 acres). En outre, il détient une participation dans 25 750 acres de terres de transition situées à l’ouest de Phoenix, en Arizona, qui sont en train d’être aménagées en nouvelle banlieue.

Selon les recherches du Land Report, les terres sont détenues directement et par l’intermédiaire d’entités tierces par Cascade Investments, le véhicule d’investissement personnel de M. Gates. Parmi les autres investissements de Cascade figurent la société de sécurité alimentaire Ecolab, le détaillant de voitures d’occasion Vroom et les Chemins de fer nationaux canadiens.

Bien qu’il puisse être surprenant qu’un milliardaire de la technologie soit également le plus grand propriétaire de terres agricoles du pays, ce n’est pas la seule incursion de Gates dans l’agriculture. En 2008, la Fondation Bill et Melinda Gates a annoncé l’octroi de 306 millions de dollars de subventions pour promouvoir une agriculture durable à haut rendement parmi les petits exploitants agricoles d’Afrique subsaharienne et d’Asie du Sud. La fondation a en outre investi dans le développement et la prolifération de « super cultures » résistantes au changement climatique et de vaches laitières à haut rendement. L’année dernière, l’organisation a annoncé la création de Gates Ag One, une association à but non lucratif pour faire avancer ces efforts.

On ne sait pas exactement comment les terres agricoles de Gates sont utilisées, ni si certaines d’entre elles sont mises en réserve à des fins de conservation. (Cascade n’a pas répondu à la demande de commentaires de Forbes.) Cependant, certains éléments indiquent que la terre pourrait être utilisée d’une manière qui soit en accord avec les valeurs de la fondation. Cottonwood Ag Management, une filiale de Cascade, est membre de Leading Harvest, une association à but non lucratif qui promeut des normes d’agriculture durable donnant la priorité à la protection des cultures, des sols et des ressources en eau.

La différence avec le Moyen-Âge, c’est que les paysans pouvaient de temps en temps se révolter contre un seigneur en prenant d’assaut le château où il vivait.

Cela ne changeait pas grand chose dans la mesure où les paysans étaient impitoyablement massacrés par les hommes d’armes du suzerain.

Aujourd’hui, vous vous trouvez face à des conseils d’administration internationaux qui ont une boîte aux lettres quelque part au Liechtenstein ou au Luxembourg.

L’hyperclasse a déployé entre les paysans et elle une épaisse couche de politiciens serviles et de flics en guise de fusibles. Ce que l’on appelle la démocratie.

Au mieux, une révolte se termine devant une sous-préfecture.

C’est aussi le but de l’éradication des restaurants : avec eux, c’est tout un système indépendant de production et d’alimentation indépendant qui est rayé de la carte de l’approvisionnement.

Dans le nouveau système, il doit être impossible de s’approvisionner autrement qu’en passant par le cartel techno-oligarchique. Et vous ne pourrez vous approvisionner qu’avec les 800 euros numériques que la Banque Centrale Européenne déposera sur votre seul et unique compte.

Imaginez tous ces gens qui croient que tout ce que nous vivons est lié à un virus monstrueux dont 99,5% des gens guérissent.

Donc, non, il n’y aura pas de « retour à la normale ».

La normale, c’est ce que nous vivons actuellement.

La seule façon de survivre dans un tel système, c’est de basculer dans le troc et le localisme intégral. Autrement dit, une petite ferme locale vous offre tel ou tel produit en échange de tel ou tel service/bien.

Là aussi, Monero peut aider à créer une micro-économie parallèle afin d’échapper aux commissaires bolcheviques du fisc parisien. Quand il n’y aura plus de cash en circulation, d’ici 2025 au plus tard d’après la juive Christine Lagarde (oui, Christine Lagarde est d’origine juive), Monero sera la seule option parce que c’est le seul moyen d’échange totalement anonyme.

Si je n’arrête pas de parler de l’Euro numérique, c’est pour une bonne raison.

Au début, ces juifs diront que c’est « optionnel » ou que c’est lié « à une demande » de la part du public. Mais en réalité personne ne veut d’un Euro numérique dans un système où ces gens impriment ce qu’ils veulent, quand ils veulent, faisant s’évaporer des millions et des millions d’heures de travail pour simplement rester aux commandes en achetant des électeurs par ce moyen.

C’est tout l’objet du Revenu Universel : créer une coalition entre parasites du haut et parasites du bas pour tenir captifs les travailleurs blancs qu’ils pillent.

Le marxisme séduit aussi à droite, goy

Dans un tel système de contrôle du capital et d’impression perpétuelle, l’émergence du troc est inévitable. Les gens vont devoir protéger leur capital afin d’éviter sa destruction.

Tant que le cash circule, toute l’économie parallèle peut rester dans le déni. Notamment dans l’artisanat. Mais après ce sera très différent. D’autant que nous sommes maintenant dans un état de surveillance total dont nous ne sortirons plus et que la police surveille la moindre activité collective qui n’est pas approuvée par le gouvernement. Notamment dans la restauration.

Les gens de 40 ans ou plus n’adopteront probablement pas Monero, la seule véritable monnaie chiffrée, mais en dessous de cet âge, les gens sont de plus en plus familiers de ce genre de cryptos. C’est un facteur générationnel. Vous pouvez solliciter des personnes de 20 ou 30 ans et les intéresser.

Si dans votre domaine vous pouvez vous faire payer au black, faites-vous payer en Moneros à chaque fois que votre client peut le faire.

Toute notre stratégie de survie doit être une stratégie asymétrique. Il est inutile d’affronter le système frontalement, sur son terrain. Les chances de succès, dans 100% des cas, est de zéro. Il faut au contraire se retirer là où le système ne peut pas nous atteindre. Ce qui passe par l’anonymat, la décentralisation digitale, le chiffrage, etc.. C’est une révolution culturelle que nous devons opérer.

Il faut devenir beaucoup plus pratiques au quotidien plutôt que regarder des débats sans intérêt sur CNews. Zemmour ne vous sauvera pas en vous parlant du baptême de Clovis.

Le dernier Gaulois de la Kabylie juive

De la même façon pour l’immigration, je pense que nous sommes tous affranchis sur le sujet.

Si quelqu’un croit encore que l’immigration du tiers-monde est une chose positive dans la France de 2021, c’est qu’il a le cerveau irrémédiablement grillé par les médias juifs. Nous savons que ces animaux sont aussi nuisibles que malfaisants mais le fait de le savoir ou d’en parler n’en renvoie pas un seul dans son bled.

Regarder des types certifiés casher ressasser là-dessus sur CNews pour faire entrer du fric dans les caisses de Bolloré-Goldschmidt est une pure perte de temps pour nous. Tout comme de lire les crises d’épilepsie juive de Valeurs Actuelles sur le dernier bougnoule qui a manqué de respect à un juif. Nous n’apprenons rien de neuf, nous savons tous à quoi nous en tenir.

La solution à court et moyen terme face à l’immigration est de fuir les zones sinistrées racialement. C’est une solution temporaire mais mieux vaut une solution temporaire que pas de solution du tout.

En revanche, sur la façon dont nous devons nous organiser face à cette révolution menée par les élites globalistes pour nous encager éternellement, cette extrême-droite n’a rien à dire. Ni l’extrême-gauche.

Tous croient à l’Apocalypse virale, tout comme ils croient aux apparitions d’Auschwitz.

Laissons les morts enterrer leurs morts.

Le RN n’a aucun intérêt. Ni le Frexit avec ses cabines téléphoniques. Pas plus que Mélenchon ou le reste.

Il reste peut-être deux ans, voire trois au grand maximum, pour se préparer à la bolchevisation complète de la société sous la direction des grands féodaux de Davos.

Bien que je ne sois pas un anarchiste dans l’absolu, la seule approche viable durant la décennie qui vient et celle d’après, est l’anarcho-capitalisme raciste – c’est-à-dire une stratégie asymétrique à la fois économique et biologique. Pas la conquête de l’Etat via des « élections ». Cela veut dire qu’il nous faut utiliser les moyens technologiques nouveaux pour faire face à l’attaque que mène l’hyperclasse avec les moyens technologiques nouveaux qui sont les siens.

Cela veut dire aussi :

  • que vous devez gagner de l’argent sans que jamais le système ne puisse le savoir ni le saisir,
  • que vous devez rester impérativement anonyme,
  • et que vous devez bâtir une famille dans des territoires où le fléau racial ne vous menace pas, ni vos enfants.

Nos gens dans le système

Il y a une seconde approche pour ceux qui sont actuellement dans le système. Nous avons beaucoup de camarades qui sont intégrés dans le système pour des raisons socio-professionnelles ou familiales. Cette approche consiste à monter dans l’appareil en créant une image de soi totalement factice – typiquement celle d’un conformiste qui adhère publiquement à tout ce que propose le système.

Vous pouvez pousser très loin cette approche avec une efficacité redoutable. Vous vous encartez à LREM, vous avez un profil Facebook où les seules pages que vous aimez sont des pages homologuées : Emmanuel Macron, peu importe qui est ministre de l’Intérieur ou de la Justice, Bernard-Henri Lévy, le CRIF, la Commission Européenne. Vous partagez une fois tous les trois mois un message du Mémorial de l’Holocauste, vous trouvez que la Licra fait un excellent travail et vous vous dites ému de la mobilisation de dix vieilles peaux pour l’accueil d’un nègre de Gambie à Dreux. Vous adorez le masque et vous trouvez un médecin de complaisance qui vous fait un faux certificat de vaccination. Vous avez même pour bannière un portrait de Simone Veil.

Si vous construisez efficacement cette image factice, vous allez pouvoir vous mouvoir socialement dans le système en tant que raciste avec une facilité déconcertante et retourner toutes ses armes contre lui sans que jamais il ne le comprenne. Par exemple, en accordant un contrat à des boîtes contrôlées par des Blancs et non pas à des métèques ou – pire – des juifs.

Tout système comme le système qui se met en place est un système à deux niveaux : le niveau de la plèbe et le niveau des patriciens. Les patriciens ont des tas d’exemptions aux obligations imposées à la plèbe. Apparaître comme un PNJ conformiste est un excellent moyen de vous protéger au plan économique.

Vous aurez aussi beaucoup plus facilement accès aux femmes – rappelez-vous qu’une femme n’a pas d’idées politiques, uniquement les idées à la mode dans son entourage.

Il faut jouer contre le système dans les deux sens.

BIG PHARMA veut nous enchaîner en nous vaccinant et faire des milliards au passage ? Soit, évitez de vous faire vacciner et investissez en bourse sur des actions de ces labos pour reprendre une part du profit qu’ils génèrent pour que cet argent retombe du bon côté.

Vous comprenez ?

Un ennemi s’encercle.

En parallèle – et toujours de manière secrète – vous aidez l’opposition de différentes façons. Que ce soit par une information ou un transfert d’argent, ou encore de mille autre façons concrètes. Comme par exemple, si vous êtes un geek pro, en faisant du bénévolat sur des projets qui permettent de contourner la surveillance totale.

Quand le système s’écroulera totalement d’ici dix ou quinze ans, ces gens seront sur nos listes et seront immédiatement recyclés en qualité « d’opposants intérieurs ».

Nous avons besoin de gens des deux côtés de cette ligne de front.

Commentez l’article sur EELB.su