Suppression d’un jour férié : Macron et la banque juive vont rétablir les corvées obligatoires pour que les Boomers qui ont détruit la France vivent confortablement en retraite

Captain Harlock
Démocratie Participative
24 avril 2019

Bonne nouvelle.

Nos seigneurs juifs ont annoncé qu’ils rétablissaient les corvées médiévales pour permettre à l’épargne des boomers socialistes de rester à flots et ainsi sauver les banques.

Bref, nous allons travailler gratos pour les vieux et les youtrons.

BFMTV :

Alors que le gouvernement envisage d’allonger la durée du temps de travail pour financer la dépendance, plusieurs voix issues de la majorité avancent l’idée de supprimer un jour férié pour créer une deuxième journée de solidarité. Une mesure qui permettrait de rapporter à l’État plus de deux milliards d’euros par an.

« C’est un premier pas nécessaire. » Interrogée dans le JDD, la députée LaREM Aurore Bergé s’est dit favorable à la suppression d’un jour férié pour créer une nouvelle journée de solidarité afin de financer la dépendance.

« La dépendance », voilà encore un mot de novlangue juive qui ne veut rien dire.

Il s’agit de financer les retraites des boomers.

C’est-à-dire des électeurs de François Mitterrand.

Je crois que le plus vicelard, c’est encore de nous sortir cette trentenaire autiste d’Aurore Bergé pour nous vendre l’opération en geignant sur « papy et mamie » qui meurent de faim avec leurs 2,500 euros par mois chacun.

« A bas la calotte et vive la sociale ! »

Par le bas, nous sommes déjà dévorés vivants par les millions de parasites du tiers-monde qu’ont importé les boomers pour complaire aux juifs et « payer leurs retraites ».

Nous allons à présent être dévorés vivants par le haut par ces mêmes boomers qui entendent bien devenir centenaires.

Quitte à porter le coup de grâce aux jeunes générations blanches qui seront anéanties d’impôts et de taxes pour rembourser l’utopie socialiste des 68ards.

Curieusement, l’arrivée de ces immigrés n’a pas résolu l’équation de la dette détenue par les banques juives où les boomers ont entassé l’argent qu’ils ont emprunté aux juifs depuis 50 ans pour se gaver généreusement en profitant de l’inflation.

En 2019, la dette publique française devrait atteindre 100% du PIB. Et encore, en bénéficiant de taux bas.

Boomers, banquiers juifs, boucaques de la CAF : l’alliance infernale

Les Boomers ont constitué leur capital en poussant l’État Français à emprunter, moyennant intérêts, le blé de leur épargne déposée dans les banques juives pour leur offrir un système social dont ils auraient l’usage mais dont le coût serait porté par les futures générations au titre du remboursement de la dette publique.

Dans cette opération, les Boomers ne se sont endettés qu’en apparence. En réalité, entre l’inflation et leur investissement dans la dette publique, ils se sont énormément enrichis.

Donc, nous, les jeunes, nous retrouvons à rembourser un système d’assistanat social en ruines – Sécu, retraites, CAF – pour que les vieux et les juifs touchent leurs intérêts annuels sur le remboursement d’un truc que nous n’avons pas acheté et dont nous ne verrons jamais la couleur.

Seuls les vieux profs, les nègres et les crouilles en voient encore la couleur.

Cette alliance impie des Boomers, des parasites raciaux des CAF et de la banque juive a un besoin vital de maintenir coûte que coûte cette dette publique à flots.

Il faut donc transférer le fruit de la production de la classe moyenne blanche vers les caisses de l’Etat qui dépend de l’épargne des vieux pour financer le système auprès de la banque juive.

En résumé :

  • Si les retraites sautent, l’épargne des vieux saute.
  • Si l’épargne des vieux saute, la dette publique saute.
  • Si la dette publique saute, la banque juive saute.
  • Si la banque juive saute, le système social saute.
  • Si le système social saute, les nègres et les arabes saccagent la France dans la semaine.

Ce qui veut dire une seule chose : réduire les travailleurs blancs en esclavage économique.

C’est là que Macron intervient avec son idée de filer du cash gratuitement aux électeurs de Mitterrand qui ont tellement fait pour la France ces 50 dernières années.

Et les équipes juives de Macron ont une imagination débordante.

En ce lundi de Pâques et alors qu’Emmanuel Macron doit annoncer jeudi ses mesures pour répondre aux revendications portées lors du grand débat national, le sujet est particulièrement sensible. D’autant que, selon les premières informations qui ont fuité dans la presse, le gouvernement envisage effectivement d’allonger la durée du travail, sans préciser pour l’heure la voie qu’il entend emprunter pour y parvenir.

Mais la suppression d’un jour férié figure bien parmi les pistes possibles. Le gouvernement pourrait notamment décider de créer une deuxième journée de solidarité, à l’image du lundi de Pentecôte. Depuis 2004, l’instauration de cette journée de solidarité a permis de rapporter plus de 2 milliards d’euros par an à l’État (2,4 milliards en 2018) en faisant venir gratuitement les Français au travail un jour férié. Un gain pour les entreprises qui doivent donc, en contrepartie, verser 0,3% de leur masse salariale à la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie.

Ceci dit, ce n’est qu’un hors d’oeuvre.

Parce que l’océan financier des retraites des boomers est immense et la bête insatiable.

Voilà qui devrait vous remplir de joie.

Problème, la création d’une nouvelle journée de solidarité est loin d’être suffisante pour répondre aux enjeux futurs du financement et du maintien dans l’autonomie des personnes âgées et handicapées. De fait, si elle rapporterait entre 2 et 3 milliards d’euros par an à l’État, le rapport Libault sur la dépendance estime les besoins à 9 milliards d’euros par an en 2030.

Soit 3 jours.

Et en fait, ce n’est qu’une goutte d’eau par rapport à la situation des caisses de retraites.

Et oui, au déficit actuel, il faudra ajouter 80 milliards d’euros par an en 2050.

Sachez qu’un boomer mitterrandiste de 65 ans, retraité de l’Education Nationale dotée d’une solide pension mensuelle de 2,500 euros, a la ferme intention de vivre jusqu’à 95 ans. C’est-à-dire, jusqu’en 2050.

Ils lisent avidement tous les magazines pour vieux que leur proposent les assureurs et autres mutuelles auxquels ils sont abonnés dans lesquels les miracles de la science médicale n’a de cesse d’enflammer leurs cerveaux.

Ils s’imaginent à demi-robotisés en train de se faire frire la graisse sur une île à cocotiers du tiers-monde, 6 mois de l’année, grâce à leur capital placé ici et là, augmentant chaque année un peu plus.

Des sémites mentaux intégraux.

Pendant ce temps-là, leurs petits-enfants trimeront aux abords de villes en ruines repeuplées de nègres sous crack et de djihadistes algériens totalement schizos.

Police municipale d’Aulnay-sous-Bois, 2053

Seule une république juive pouvait proclamer, après 5 mois de troubles sociaux initiés par les Gilets Jaunes, que le peuple demandait à cor et à cri de pouvoir travailler gratuitement pour remplir les coffres de la finance internationale.

Il faut être juif pour tenter un truc pareil. Même un rom aurait des pudeurs.

Je ne veux plus rien entendre au sujet de cette Sécurité Sociale, de ces retraites, de ces vieillards mourant de faim pendant leur thalassothérapie.

Je suis devenu le plus féroce partisan de l’euthanasie des vieux et un adorateur de la déesse de la Canicule.

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