Suède : une fillette de 9 ans violée et lynchée par un migrant éthiopien récemment régularisé

La rédaction
Démocratie Participative
15 juillet 2022

 

Je viens de tomber là-dessus.

Samnytt :

Nyberg déclare à TV4 que la qualification pénale dans cette affaire, en plus de la tentative de meurtre, est désormais le viol aggravé d’un enfant. La jeune fille grièvement blessée est toujours à l’hôpital et n’a pas encore été entendue.

Le procureur déclare à plusieurs médias que l’âge du garçon suspecté, âgé de 13 ans, est incertain, et qu’il est possible qu’il soit en fait majeur.

Les enquêteurs s’efforcent maintenant de rassembler des documents afin de préciser l’âge réel du garçon. En outre, il fera l’objet d’une évaluation médicale de son âge.

Le garçon suspecté et sa famille sont arrivés en Suède depuis l’Éthiopie à l’été 2017. Le garçon est accusé d’avoir abusé d’autres filles et jeunes femmes à Skellefteå.

L’été dernier, il était soupçonné d’avoir agressé une femme adulte dans la ville. Le garçon est connu dans la municipalité et a été déplacé dans différentes écoles.

À la fin du mois de juin de cette année, il a obtenu un permis de séjour permanent en Suède.

Le suspect étant âgé de 13 ans, il n’a été ni arrêté ni détenu. On s’interroge à Skellefteå sur le fait que le garçon ait réellement 13 ans. Beaucoup soupçonnent qu’il est en fait en âge de commettre un crime et qu’il aurait donc dû être détenu pour la tentative de meurtre de la petite fille.

Cet Éthiopien devait vouloir célébrer son nouveau visa, accordé par les autorités féministes de Suède après ses multiples tentatives de viol.

Dans la culture éthiopienne, les réjouissances passent par le viol et le meurtre d’une petite Blanche.

Pour être parfaitement franc, il serait préférable que cette gamine ne se réveille jamais. Son psychisme est irrémédiablement détruit, ce qui se traduira par des tentatives de suicide à répétition, des dépressions terrifiantes, de violentes crises d’angoisse, une incapacité à nouer une quelconque relation amoureuse, etc.. Elle sera emmurée dans son corps, perpétuellement tourmentée par des flashs horribles.

Le pire étant que chaque fois qu’elle croisera une créature allogène dans la rue, tout rejaillira. Et comme les démocraties juives font tout leur possible pour repeupler massivement l’Europe avec ces sous-hommes, en croiser est la norme.

Sauf une technique capable de la rendre quasiment amnésique, c’est sans solution.

Tout ceci m’amène au point que je voulais aborder

Les gens dénoncent le « laxisme » de la justice et exigent des « peines exemplaires ». C’est absurde. Pour commencer, le problème fondamental, ce n’est pas le comportement de ces bêtes d’Afrique ou d’Orient, c’est leur présence. La première question à poser est celle de l’espace vital des peuples blancs et la seule réponse à y apporter est l’élimination des parasites qui envahissent cet espace.

Ensuite, la justice libérale est totalement obsolète avec des peuplades grégaires non-blanches.

C’est comme tenter de domestiquer des criquets avec des lois.

Vous essayez, vous, de domestiquer des criquets en écrivant quelque chose sur un papier ?

Il n’y a pas d’individualité chez ces bêtes. Autrement dit, il n’y a aucune espèce de distanciation critique vis-à-vis de soi, de ses actes ou des actes du groupe d’appartenance. Leur faible QI et ce qui leur tient lieu de « culture » les en privent.

Bref, ce ne sont pas des Blancs et ils n’auront jamais nos scrupules, ni de notion du bien et du mal.

Ce ne sont que des troupeaux aux comportements stéréotypés.

Plutôt que de perdre son temps en lamentations à propos d’une justice démocratique périmée, il faut en venir à la seule option rationnelle : la justice raciale.

Cela consiste à traiter ces créatures comme elles se comprennent elles-mêmes, c’est-à-dire comme une meute.

Si l’un de ces sauvages touche un seul cheveu d’un Blanc en Europe, la réponse doit être la suivante : arrêter 100 allogènes au hasard et les exécuter en public dans les 24 heures.

Deux semaines de ce traitement et vous n’entendrez plus une mouche péter en France, en Suède, ni dans aucun état d’Europe. Vous constateriez, médusé, comment cette vermine devient soudainement obséquieuse, à la limite de la servilité.

Le caractère indiscriminé des représailles raciales est essentiel. Ces bêtes stupides comprendraient d’instinct qu’elles doivent surveiller le moindre des membres de leur tribu si elles ne veulent pas se balancer au bout d’une corde.

La justice aryenne doit utiliser des catégories morales aryennes pour des Aryens. La solution est donc sous nos yeux.

Le seul obstacle, ce sont les Blancs qui projettent sur les races non-blanches leurs catégories mentales. Ce que ces Blancs appellent « l’égalité » et qui leur fait croire, souvent avec fanatisme, que ces sous-races sont des Blancs dans des corps de basanés. Les femmes blanches sont particulièrement virulentes sur ce point.

Les juifs utilisent ces Blancs-là, dans le cadre démocratique, pour instrumentaliser leurs perceptions déficientes et les retourner contre les autochtones aryens, afin de les circonvenir et les dominer. C’est ce que les juifs appellent l’antiracisme.

Les juifs savent manipuler le sens moral des Blancs pour le retourner contre eux et leurs intérêts raciaux.

C’est la fonction de l’organisation suprémaciste juive LICRA : culpabiliser les Blancs, exciter la haine de l’envahisseur, se placer en position d’arbitre.

Sans détruire 1789, la démocratie et sans adopter une politique de guerre raciale conséquente, nous continuerons d’errer de crime antiblanc en crime antiblanc, l’humanité blanche prisonnière de la démocratie devant courber chaque jour un peu plus l’échine face à la barbarie.

Tant que l’on évite cette discussion de fond, on ne fera pas un seul pas dans la bonne direction.

Ceci dit, un père de famille qui ferait face à cette situation n’est pas tenu de se prosterner devant les femmes juges qui exigent l’impunité pour les allogènes au nom de leur amour des métèques.

Un père de famille dont la fille est violée et assassinée à pour devoir d’infliger un maximum de dommages à l’ennemi racial.

Peu importe la « prison » ou que sais-je.

La vengeance est un devoir sacré.

C’est aussi la plus grande source de paix. Pour chaque coup reçu, vous en rendez deux. Le type d’en face arrête très vite. C’est ce qu’a correctement théorisé Clausewitz dans un livre très épais, « De la guerre ».

Clausewitz est infiniment supérieur à Jésus, qui aurait fait un général désastreux.

Jésus proposait l’exact inverse en se laissant tellement tabasser qu’à la fin le type d’en face finisse par en avoir marre.

C’est à condition que vous ne soyez pas mort entretemps.

Quand l’homme blanc redeviendra enfin un loup au lieu d’être un paillasson, là les choses bougeront et elles bougeront très vite.

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