Suède : procès du violeur juif qui avait transformé l’Académie du Prix Nobel en bordel hébraïque

Le Libre Panzer
Démocratie Participative
20 septembre 2018

Nouveau complot antisémite, cette fois-ci en Suède.

RTL :

Echarpe grise nouée autour du cou, lunettes de vue à monture noire, veste sombre, Jean-Claude Arnault n’a fait aucune déclaration à son arrivée au tribunal, mercredi 19 septembre. Il est accusé de viols et agressions sexuelles et sera jugé par la justice suédoise jusqu’au lundi 24 septembre.

Ce Français de 72 ans devenu icône intellectuelle en Suède est le mari de Katarina Frostenson, Nobel de littérature. Son nom est devenu tristement célèbre en novembre 2017, quand, dans un grand quotidien suédois, Dagens Nyheter, 18 femmes l’ont accusé de viols et d’agressions sexuelles entre 1996 et 2017. Une nouvelle vague de scandales en pleine tempête « Me Too » déclenchée par les témoignages de femmes accusant le producteur américain Harvey Weinstein de faits similaires.

Jean-Claude Arnault comparaît pour deux viols présumés sur une même plaignante. Il encourt de deux à six ans de prison. Son procès, c’est le premier notable post-ère « Me Too ». Et depuis près d’un an, il conteste ces accusations. Ce qu’il a réitéré par la voix de son avocat devant les juges. Puis, le tribunal a ordonné le huis clos à la demande de la partie civile.

Selon l’acte de mise en accusation, le 5 octobre 2011 dans un appartement stockholmois, Jean-Claude Arnault a contraint la plaignante à un « rapport oral » puis à une pénétration vaginale alors que la jeune femme se trouvait dans un « état de vulnérabilité » et « de peur intense » l’empêchant de se défendre.

Les faits se seraient répétés dans la nuit du 2 au 3 décembre 2011, dans le même appartement, tandis que la victime dormait. Une partie de l’enquête préliminaire ouverte contre lui pour d’autres viols et agressions sexuelles présumés commis entre 2013 et avril 2015 a été classée sans suite, frappée par la prescription ou faute de preuves.

Jean-Claude Arnault avait transformé l’Académie du Prix Nobel en bordel, allant jusqu’à essayer de souiller une princesse de la famille royale.

Ces sales Français sont incorrigibles.

 

De là à établir un rapport avec Roman Polanski, Harvey Weinstein, Dominique Strauss-Kahn, il n’y a qu’un pas que seuls les antisémites oseront franchir.

Assez !