Snoop Dogg appelle les nègres à la guerre contre les juifs de Facebook après la censure de l’Honorable Louis Farrakhan

Captain Harlock
Démocratie Participative
03 mai 2019

L’Honorable Louis Farrakhan

Hier, la purge générale des grandes plateformes de l’internet en Occident s’est étendue à plusieurs figures de la sphère anglo-américaine.

20 Minutes :

Facebook a lancé jeudi une nouvelle offensive contre des promoteurs de discours extrémistes, violents, antisémites, racistes ou complotistes, dont les célèbres figures américaines Louis Farrakhan, leader de l’organisation « Nation of Islam », et Alex Jones, fondateur du site « Infowars ».

Aux USA, l’idée de censurer quiconque revient un peu à violer le sacro-saint principe de « laïcité » en France. Mais les juifs estiment que ce principe a fait son temps en Amérique.

Il a donc fait son temps en Amérique.

La définition de ce que les juifs ne tolèrent plus est particulièrement large, assez large pour y inclure tout ce que les juifs veulent voir disparaître.

Ils ont soigneusement sélectionné ceux qui devaient être purgés afin d’envoyer un message clair à différents segments de la population.

Il y a bien sûr Alex Jones, que l’on ne présente pas. Un terroriste extrêmement dangereux qui vend des compléments vitaminés sur son site.

Louis Farrakhan, un raciste noir totalement lucide sur la question juive, fait partie de cette première liste.

J’ai dit ici, en tant que négrophobe dogmatique, que j’aime beaucoup Louis Farrakhan. C’est peut-être le seul noir qui mérite un peu de respect parce qu’il fait preuve d’honnêteté intellectuelle sur une série de sujets importants.

Déjà, le fait que je mette les mots « noir » et « intellectuelle » dans la même phrase témoigne de l’exceptionnalité du personnage.

Il est particulièrement honnête sur Adolf Hitler.

D’une manière générale, le « test de personnalité Hitler » est fiable à 100%. Si quelqu’un dit du bien d’Adolf Hitler, c’est un être humain doté d’un réel bon sens.

Il semble donc que certains noirs ont une âme et vous pouvez les distinguer si vous les entendez dire du bien d’Adolf Hitler. Ce qui fait, vous en conviendrez, très, très peu de noirs.

Il est aussi un brillant dénonciateur de ces suceurs de sang que sont les juifs auprès de sa communauté raciale.

Comparez cet homme avec la « Ligue de Défense Noire Africaine » ou le CRAN, juste pour le principe, et vous verrez ce qui distingue une organisation noire d’une organisation juive qui recrute des noirs.

Hélas, les juifs, selon l’adage « le meilleur des goyim, tue-le ! », veulent assassiner virtuellement le Vénérable Louis Farrakhan.

« Nous avons toujours interdit les individus ou organisations qui promeuvent ou se livrent à la violence et la haine, quelle que soit l’idéologie », a indiqué l’entreprise, qui a supprimé définitivement comptes et contenus liés à six personnalités et au site « Infowars », estimant qu’ils entraient dans sa catégorie « individus et organismes dangereux ». Ces décisions sont valables aussi pour sa filiale Instagram.

Le site d’Alex Jones est visé non pas en tant qu’organisation mais en tant que média. InfoWars n’est pas une organisation et Jones n’est pas un leader politique.

En fait, il n’est même pas d’extrême-droite. Il n’est pas raciste ni même antisémite. Son ex-femme est juive, c’est dire. Jones est un libertarien, une sorte de libéral radical.

Au départ, dans les années 90, Jones était vraiment un conspirationniste, un type qui évoquait des complots fédéraux, des histoires d’OVNIs, des trucs sur les illuminatis. Notez que je ne dis pas que les complots fédéraux n’existent pas, c’est juste pour situer le personnage.

Vous avez par exemple ce reportage mythique où Jones filme un rituel ésotérique dans une fraternité réservée à l’élite californienne.

A cette époque, ces trucs étaient originaux parce que l’internet était en train de se démocratiser et permettait tout d’un coup à des millions de gens de les découvrir et d’en parler. Toute une série de bouquins parlaient déjà de ce genre de sujets depuis des décennies, voire parfois plus d’un siècle, mais étaient inconnus du grand public.

Jones a fait entrer ça dans la culture populaire à échelle industrielle.

Des tas de gosses dans les années 90 ont commencé à vouloir comprendre ce qui se passait en dehors des médias et des écoles en surfant sur le net ils tombaient sur des gens qui imitaient Jones sur leur page HTML.

1998 Wah les Illuminatis contrôlent la finance

2001 Wah les Illuminatis organisent les guerres au Moyen-Orient

2004 Wah les Illuminatis organisent l’immigration

2007 Wah « Illuminatis » est un nom de code pour dire « juifs »

Ceci dit, tout ça n’a plus rien à voir avec ce que fait Jones depuis des années maintenant. Il a professionnalisé son média et a basculé dans ce que l’on peut appeler une sorte de journalisme populiste. Vous trouvez encore le côté sensationnaliste de temps en temps mais, franchement, ce n’est pas plus sensationnaliste que Gala ou Voici.

Ce que lui reprochent les juifs, c’est d’avoir créé une culture de défiance générale vis-à-vis de la machine de guerre médiatique juive en apprenant au grand public, surtout chez les moins de 30 ans, à ne pas prendre pour argent comptant ce que la presse juive affirme péremptoirement.

Le 11 septembre 2001 a été le grand tournant de ce phénomène. Tout le monde a compris que l’on se faisait enculer à un niveau stratosphérique.

Nous sommes tous, à un degré ou à un autre, redevable à Alex Jones pour ça. Après, la défiance s’est généralisée et Jones est devenu la version light de cette lame de fond.

Et c’est vraiment là que les youpins interviennent : Jones devait fatalement se faire déborder en matière de scepticisme de masse et le scepticisme de masse finit toujours par démasquer un gros youtron planqué derrière les rideaux.

C’est pour ça que les juifs veulent sacrifier Jones à Moloch. Parce qu’il a foutu un bordel monstre qui était condamné à se transformer en éveil de masse vis-à-vis de la question juive, indépendamment du fait que Jones soit lui-même antisémite ou non.

Jones s’est fait déborder. Comme ici par le distingué Professeur David Duke au sujet du problème juif.

Si vous comprenez l’anglais, ce débat fait clairement partie d’un des temps forts du net de la décennie 2010-2020.

Jones se fait franchement humilier face aux innombrables faits et questions que présente le Duke.

Bref, Jones n’a jamais cherché à courtiser la droite blanche en tant que telle ou à pousser au pogrom, au contraire.

Mais ça ne suffit plus, pour les raisons que j’ai exposées.

Le réseau social, comme les autres plateformes internet, est très souvent accusé de ne pas expurger assez vite les publications problématiques ou choquantes. La tuerie en mars dans deux mosquées de Christchurch en Nouvelle-Zélande, perpétrée par un suprémaciste blanc, avait de nouveau mis le sujet sur le devant de la scène. Le tireur avait diffusé l’attaque en direct sur Facebook.

« Le processus d’évaluation de possibles infractions (aux règles d’utilisation du réseau social, NDLR) est très poussé et c’est ce qui nous a conduit à décider de supprimer ces comptes aujourd’hui » jeudi, a ajouté une porte-parole.

Lol.

Oui, juif, bien sûr.

Quel rapport, même de loin, entre Alex Jones et sa boutique de vente de compléments alimentaires en ligne ou Farrakhan, qui participe au débat public depuis les années 50, et l’incident de Christchurch ?

Aucun. C’est une excuse bidon.

Ces juifs de la Silicon Valley se substituent au gouvernement fédéral et déterminent désormais qui a le droit de parler, aux USA comme en Europe.

Louis Farrakhan, 85 ans, est à la tête de « Nation of Islam », fondée en 1930. Ses membres sont reconnaissables à leur traditionnel noeud-papillon, et connus pour des prises de position violentes, régulièrement antisémites ou homophobes.

« Hitler était un très grand homme », a dit en 1984 Louis Farrakhan lors d’une interview, selon le Southern Poverty Law Center, spécialisé dans l’étude des groupes extrémistes.

Le SPLC, dirigé par un juif partisan du génocide des Blancs qui dispose d’un demi-milliard de dollars dans des paradis offshore.

Une excellente référence juive.

Mais voici le développement que les juifs n’avaient pas correctement anticipé : les nègres réagissent en tribu au moins aussi violemment que les juifs eux-mêmes.

Le célèbre rappeur Snoop Dogg a diffusé -sur Instagram- deux vidéos de soutien à Louis Farrakhan, insultant abondamment Facebook en des termes orduriers.

Je ne vous présente pas Snoop Dogg.

Ce type a probablement plus d’autorité sur les nègres que n’importe qui. Snoop Dogg déclare, textuellement, que Farrakhan « dit la vérité » et que si Facebook et Instagram veulent chercher la merde, ils la trouveront. Avant de dire qu’il va continuer à diffuser des extraits de discours de Farrakhan.

 

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P. S. A. @louisfarrakhan23

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Ce truc ne va pas marcher longtemps. Exciter les nègres du ghetto va se terminer très mal pour les juifs.

Les nègres ne répondent pas en faisant des vidéos ou en rédigeant des articles quand on les censure.

Les nègres réagissent en prenant un flingue et en allant buter le premier youpin qu’ils croisent à la synagogue de la ville. Il y a une solide tradition établie à ce propos aux USA.

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