« Slava Jewkraini » : le navet pro-guerre de l’exhibitionniste juif Lévy fait un four !

La rédaction
Démocratie Participative
26 février 2023

 

Parce que Bernard-Henri Lévy est juif, comme ceux qui contrôlent les médias en France, son film de propagande pro-Zelensky a bénéficié d’une outrancière promotion médiatique.

C’était suprêmement sémitique d’obscénité.

D’ailleurs, il présente les choses en ces termes : c’est une guerre juive, totalement.

Mais les goyim se fichent de ce que ce vieux fanatique juif dit ou fait.

Personne ne regarde sa sous-production belliciste parce qu’elle pue le juif.

Le Midi Libre :

Le film de Bernard-Henri Lévy et du photographe de guerre Marc Roussel est un carnet de bord qui consigne les « petits et grands événements » du pays en guerre où le philosophe se met en scène.

Dire que le dernier film de Bernard-Henri Lévy « Slava Ukraini » (« Gloire à l’Ukraine »), sorti en salle mercredi 22 février n’est pas un succès commercial, est un euphémisme. Pour son premier jour d’exploitation, il ne se classe que 11e film sur 14 sorties dans les cinémas français.

Il n’enregistre même que 208 entrées pour le jour de sa sortie, ce qui fait très peu au regard des très nombreux entretiens réalisés dans la presse pour présenter son œuvre, coréalisée avec le photographe de guerre Marc Roussel. Loin, très loin des 64 923 entrées de « The Fabelmans », de Steven Spielberg ou des 38 491 entrées du film d’Eric Besnard « Les Choses simples ».

Le documentaire très engagé suit Bernard-Henri Lévy dans un périple auprès des militaires qui combattent sur les fronts est et sud et de la population ukrainienne. En casque et gilet pare-balles ou en chemise blanche au col ouvert, le philosophe obtient des témoignages poignants ou dresse des portraits plutôt bien ciselés. Mais pas au goût du public manifestement.

Les rares commentaires du film ne sont pas très encourageants. « Trop loin des lieux de combats », « une voix off lente, mal interprétée », « un documentaire ridicule », un « mauvais reportage sans nuance et partisan »…

Quelques juifs ont bien essayé de donner le change en commentaires, sans succès.

La plupart des critiques sont très sévères mais une poignée vient évoquer « un chef-d’œuvre », un « incroyable road-trip » ou encore un « film fort, poignant, qui déroule la tragédie vécue en Ukraine… »

Toute la guerre d’Ukraine peut se résumer à cette boursoufflure hyper médiatisée sans public.

C’est une production faite par des juifs, pour des juifs, avec l’argent des goyim.

Ces juifs n’ont plus de soutien dans les masses.

Ils ont les banques et les médias. Il suffit d’un accident industriel pour emporter leur empire financier global. Personne ne viendra à leur secours, bien au contraire.

Pour eux, la guerre en Ukraine, c’est quitte ou double.

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