Si nous arrêtons « d’utiliser des adjectifs », l’invasion marron se passera bien assure Bergoglio

Captain Harlock
Démocratie Participative
10 mai 2019

Parce que oui évidemment bien sûr.

« Quelque chose qui me met en colère, c’est que nous nous sommes habitués à parler des gens avec des adjectifs. Cette personne est comme si, cette personne est comme ça… Nous sommes des gens. Les adjectifs sont une des choses qui divisent les gens. »

Apparemment, si nous arrêtons d’utiliser des adjectifs, tout ira bien sur terre.

C’est ce que dit le chef d’une organisation religieuse comptant, officiellement, 1,3 milliards de croyants. Dont beaucoup de nègres, je vous l’accorde.

Si nous cessons d’utiliser des adjectifs, l’exploitation financière juive ne détruira plus le prolétariat blanc, les musulmans seront heureux à mesure qu’ils nous remplacent, les homosexuels s’enculeront en toute quiétude.

Il suffit juste d’être gentils et de se contenter d’un champ lexical de quelques dizaines de mots, en plus de quelques onomatopées, et la Parousie adviendra.

Les gens feront une grande ronde tout autour du globe. Les Américains et les Chinois seront des frères, Israël et le Hamas seront unis par l’amour, banquiers ashkénazes et ouvriers normands veilleront les uns sur les autres.

Si nous parlons comme des nègres, le monde ressemblera au paradis originel.

Vous pourriez me dire que Bergoglio est devenu sénile.

C’est peut-être en partie vrai mais n’allez pas imaginer qu’il aurait dit quelque chose de différent à 70 ans ou à 60 ans. Ni lui, ni d’ailleurs ses évêques ou ses curés qui passent leur temps à prêcher l’invasion mélanisée.

Jorge Bergoglio vient de résumer en quelques mots le fondement même de l’utopie communiste et c’est cette utopie en elle-même qui est effectivement le produit de cerveaux atteints de sénilité.

Des gens vont me dire que je confonds tout en mêlant le matérialisme dialectique marxiste et l’idéalisme kantien que professe cette buse de Bergoglio.

Quiconque de rationnel prend le temps de considérer les buts finaux portés par le communisme ne peut qu’être effondré devant la naïveté de l’objectif affiché : la fin heureuse de l’histoire après le dépassement pratique et sanglant de toutes les contradictions.

Le matérialisme dialectique prétend dépasser l’idéalisme. En réalité, il est tout entier porté vers une finalité idéale, prédéterminée par Engels et Marx. Le verbiage niaiseux de Bergoglio est certes moins sophistiqué mais il ne dit rien d’autre quant à son objectif : la paix universelle et définitive qu’apporterait l’abolition de toutes les distinctions et hiérarchies entre les hommes.

Jusque dans l’interdiction des adjectifs, donc.

En résumé, il faut détruire tout ce qui pourrait « empêcher » l’unification de l’humanité.

Appliquée, c’est la recette pour le triomphe de la sauvagerie.

C’est la soif de destruction fanatique de tout ce qui peut discipliner la nature humaine afin d’en faire une volonté qui élève et équilibre.

Les ténèbres nous guettent

Vous me direz que les troupes de choc des usines rouges, avant-guerre, n’étaient pas exactement composées de pédés ni de gens particulièrement pacifistes, en dépit de leurs slogans antimilitaristes. C’est vrai mais cela s’explique très bien : les ouvriers acquis aux partis communistes d’Europe n’adhéraient pas pour parler philosophie.

Ils ne lisaient pas. Un tract promettant d’abattre des riches suffisait.

Bref, la logique guerrière animait les communistes.

Il ne serait venu à l’idée d’aucun cadre du PC de recruter en appelant à la paix universelle avant de s’être assuré de désigner à la vindicte des masses toute une série d’exploiteurs à pendre ou faire fusiller sur le champ.

Les unités paramilitaire du front rouge allemand carburaient à la haine et à la violence, exactement comme leurs lointains cousins enfiottés que sont les antifas de nos jours.

La paix arriverait, oui, mais seulement après une débauche de violences expiatrices, d’exécutions par des tribunaux révolutionnaires, de fosses communes remplies d’ennemis de classe.

Les buts lointains du marxisme étaient laissés de côté pour ceux plus prosaïques de la vengeance de classe, de la révolution et de la destruction immédiate de la bourgeoisie. Cette haine de classe, agitée en permanence sous le nez de masses ouvrières miséreuses, était le véritable moteur du marxisme. Pas la paix dans le monde. La rhétorique pacifique ne servait qu’à accuser la bourgeoisie de toutes les guerres pour mieux appeler à sa liquidation.

Ces antifas hurlent à la brutalité fasciste dès que quelqu’un leur rend une droite mais jurent en permanence qu’ils feront assassiner tous ceux qui leur déplaisent.

Les rouges du PC trouvaient normal la moindre invasion soviétique, présentée comme une opération démocratique à caractère humanitaire. La moindre réaction d’autodéfense d’un état était présentée comme un ignoble complot fasciste contre le prolétariat.

Quand en 1940, l’URSS de Staline dut se résoudre à signer la paix avec la petite Finlande agressée par les innombrables divisions de l’ogre bolchevique, L’Humanité, édition clandestine, salue une victoire défensive contre « l’agression fasciste finlandaise ».

Les rouges et les arabes partagent cette mentalité d’attaquer un type à 10 avant de hurler à l’agression s’ils se font dérouiller. Et bien sûr de parader partout en expliquant comment ils ont mis une dégelée à l’ordure criminelle qui a eu l’audace de se défendre.

Les marxistes eux-mêmes n’ont jamais prêté attention aux buts finaux allégués du marxisme. Lénine disait qu’il n’y avait pour les marxistes qu’un processus permanent d’avancées et de reculs, ici ou là, sans qu’aucune victoire définitive ne soit jamais acquise.

Maintenant que la classe ouvrière s’est embourgeoisée en Occident, les idées de lutte de classe, de révolution, de pillages sanglants lui donnent mal à la tête. En revanche, le rêve d’une digestion perpétuelle, patiemment négociée, dans le calme d’une planète intégralement unifiée et pacifiée, c’est-à-dire définitivement embourgoisée, la séduit réellement.

Cet irénisme millénariste séduit surtout les femmes qui ne rêvent que d’une chose : consommer tranquillement et glander devant des séries télévisées ou des concerts.

Cette utopie est essentiellement prisée, chez les mâles blancs, par des sociopathes, attardés nostalgiques de leur enfance, conscients qu’au plus bas de l’échelle anthropologique et sociale, toute hiérarchie signifie, pour eux, la relégation.

On les trouve à recruter du renfort chez les ratés et les déchets raciaux pour se venger.

Et bien sûr l’inévitable appétit de pognon du voisin sur lequel ce type de resquilleurs du guichet social lorgne avec avidité.

Les « milliardaires », pour ce type d’attardés, touchent 3,000 euros par mois et habitent dans leur commune.

Ce concept de pillage légal, avec son démocratisme démagogique, jouit d’un immense prestige auprès des masses mentalement aliénées qui ne demandent jamais rien tant que de renoncer à l’effort au profit de la fainéantise en finançant l’opération par le vol.

« La justice sociale » comme ces gens l’appellent.

Inutile de dire que ces quelques slogans kleptocratiques ont le plus grand effet auprès des nègres que ce système sous clef juive importe par millions en France.

Tandis que la finance importe des métèques pour larbiner aux frais du prolétariat aryen dans ses quartiers réservés, l’extrême-gauche juive gère les possibles convulsions du cheptel allogène selon le principe de la division des tâches.

Mélenchon ne s’y trompe pas qui promet de piller les Blancs pour le compte des gens marron.

Son principe, comme celui de tous les marxistes : démultiplier le nombre de métèques pour grossir les rangs de la guerre raciale qu’il veut alimenter contre la race blanche. C’est ce qui lui permet de rembourser ses prêts pour son joli appartement dans lequel il loge son algérienne parvenue, Chikirou.

Ce Boomer à beurettes ira se dorer la graisse à Marrakech après 2022, satisfait de luire dans son bain de chattes à tajine tout en maudissant ces sales Français qui passeront à la caisse chaque mois pour sa retraite.

Tout ce qui vient de la Méditerranée, cet évier d’huile de friture, communie religieusement en une chose : faire raquer le travailleur du nord pour produire de la cellulite à l’oeil en le remerciant à coup de crachat à la gueule.

Tous ces métèques, comme ce rouge italien qui sert de pape à l’Eglise Catholique, connaissent leur affaire. L’homme nordique, laborieux, généreux et sincère, se truande avec des mots doux et des voeux de partage.

Les juifs ne sont pas en reste, qui maîtrisent comme personne l’art de circonvenir le Bon Samaritain septentrional.

Sous l’influence des crises émotionnelles ovariennes de tous ces gens, nous nous retrouvons effectivement à régresser vertigineusement, tant spirituellement que biologiquement, au point de tomber au niveau des nègres. Parce que ces escrocs ont embrigadé les Boomers, devenus psychologiquement des femelles qui refusent d’assumer leurs responsabilités que sont la domination civilisatrice, l’ordre et le recours à la force, afin de laisser les clefs de la maison aux juifs et leurs acolytes.

Ces enfants gâtés de 70 ans, voyant la mort se rapprocher, entendent bien ruiner l’avenir des jeunes générations coupables de leur survivre, de leur rappeler qu’ils ne sont pas le centre de l’univers.

C’est de cet idéalisme efféminé et de cette sociopathie d’adulte attardé que découle la dénonciation dogmatique des limites et des hiérarchies, porteuses d’après ces démissionnaires de tous les conflits possibles et imaginables.

Mais qui a créé le merdier contemporain si ce n’est cette génération de moralistes glorieux qui nous a refourgué l’enfer en nous le vendant comme un paradis.

Cette génération de juifs de synthèse, imbibée de ce communisme mental de nègres indolents, nous a totalement truandé. Ils nous refilent leurs dettes, leurs bougnoules et leurs nègres en nous accusant de tous les maux si d’aventure on bronche.

Mais oui, en arrêtant d’utiliser des adjectifs, tout ira bien.

Les juifs ne nous enculeront plus, les Blanches se tiendront bien et les nègres cesseront de nous détrousser avec l’aide des parasites professionnels du gauchisme fonctionnarisé.

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