« Si je pouvais remonter le temps, je choisirais de représenter… le Sénégal, plutôt que la France »

La rédaction
Démocratie Participative
17 septembre 2022

 

La gratitude est un concept inconnu des noirs.

« Si je pouvais remonter le temps, je choisirais de représenter… le Sénégal, plutôt que la France. Je suis né à Dakar mais j’ai grandi en France… quand on joue bien et qu’on gagne, on est français ; quand l’équipe perd, on est montré du doigt comme sénégalais. »

Ou plutôt, plus vous êtes bon et bienveillant avec un noir, plus il se montrera infect avec vous – si vous êtes blanc.

BFMTV :

« Mon rêve est de changer l’image de l’Afrique. Je veux vraiment, à travers mes réseaux sociaux, que cette génération sache qu’elle peut réussir dans son propre pays ». En visite au Ghana où il a notamment rencontré le président Nana Akufo-Addo, Patrice Evra clame son amour et son soutien pour l’Afrique. Plus encore, il révèle qu’il aurait voulu jouer pour le Sénégal, alors qu’il est né à Dakar.

« Si je pouvais revenir en arrière, je choisirais de représenter mon pays natal, le Sénégal, au lieu de la France« , déclare l’ancien latéral droit de Manchester United, dans des propos rapportés par Sports Brief. Entre 2004 et 2016, il a disputé 81 sélections avec les Bleus, prenant part aux Coupes du monde 2010 et 2014 ainsi qu’à la finale de l’Euro 2016.

« Quand j’étais jeune, mes parents m’ont donné la chance de choisir mon équipe nationale et parce que j’ai grandi en France, j’ai choisi la France, explique-t-il ensuite. Mais j’ai compris plus tard que choisir mon propre pays est devenu politique. L’une des leçons douloureuses que j’ai apprises avec ce choix est que lorsque vous jouez bien et que vous gagnez, vous êtes Français; quand l’équipe perd, vous êtes considéré comme Sénégalais« .

Tout le monde se souvient de sa performance en Afrique du Sud, probablement galvanisé par l’ambiance génocidaire propre à ce pays noir.

L’encadrement colonial français s’est effondré en direct à la télévision face à la rébellion des tirailleurs algériens et sénégalais. C’était du jamais vu en Coupe du Monde et cela restera du jamais vu en Coupe du Monde.

Seule la France pouvait réaliser quelque chose d’aussi lamentablement prévisible avec des cafres et des bicots.

 

Le plus révélateur a été la réaction de la FFF.

Aucun châtiment exemplaire, rien. Cette fédération était tétanisée à l’idée de froisser la négraille qui est devenue la source quasi exclusive de tout ce qui touche un ballon dans ce pays grand-remplacé.

En même temps, il n’y a aucune raison de feindre la surprise.

Les noirs font des trucs de noirs.

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