Séquestration du peuple : une grand-mère de 97 ans ignoblement torturée psychologiquement au nom du « confinement »

Captain Harlock
Démocratie Participative
22 Avril 2020

 

Ce sont les images du confinement qui m’ont le plus choqué jusqu’à présent.

Je dis « confinement », mais il s’agit en réalité de séquestration de masse avec les tourments psychologiques que cela implique. Il n’y a pas 36 façons de résumer la situation : ce gouvernement juif organise la torture psychologique des masses, jusqu’aux nonagénaires les plus fragiles, avec pour but de briser la volonté du peuple.

Ces blouses blanches autour de Macron sont des animaux et ils sont menés par le juif Salomon.

De nombreuses personnes me contactent pour me dire être en pleine dépression. Il y a déjà probablement eu des suicides dont la presse juive tait l’existence.

Il n’est pas difficile d’imaginer l’angoisse qui frappe une grand-mère de 97 ans qui ne peut plus bouger, placée devant un mur blanc toute la journée, pendant des mois.

C’est le traitement que l’on inflige aux criminels les plus dangereux du système carcéral américain. On les place devant un mur blanc, pendant des mois, sans aucun contact avec l’extérieur. Les conséquences sont connues : le cerveau est irréversiblement endommagé. Le but est détruire neurologiquement les détenus qui y sont soumis, sans laisser de traces.

Pour les « sauver » d’une grippe improbable, les vieillards sont tués après un long processus de torture psychologique. C’est ce qui se passe en ce moment-même. A 97 ans, cette grand-mère veut pouvoir passer ses derniers temps sur terre avec quelqu’un pour lui tenir compagnie. Pas de survivre à la grippe.

Cette folie atteint de tels sommets que j’ai du mal à croire que je vois ce que je vois.

Le pire, c’est qu’il n’y a pas encore eu de manifestations spontanées pour exiger la fin de cette insanité orchestrée par la clique au pouvoir.

En fait, les seuls qui ont osé s’opposer physiquement à cette séquestration sont les allogènes.

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