« Sale noire, sale négresse ! » : une délicieuse maghrébine rappelle le principe de hiérarchie raciale à une guenon d’Afrique

Captain Harlock
Démocratie Participative
05 juin 2021

 

Si la droite antiraciste a définitivement basculé dans la négrophilie pathologique, tel n’est pas le cas de nos fiers maghrébins qui défendent avec une belle énergie les plus anciennes traditions esclavagistes du monde arabe.

Cela m’émeut. J’en ai la chicote qui démange.

Je me verrais tout à fait m’établir à Alger pour y faire commerce de nègres, mais au 21e siècle le nègre est définitivement obsolète. Mais quelle vision. Fouet en main, scrutant le moindre mouvement d’indiscipline de dizaines de Lilian Thuram, paisiblement assis au pied d’un cocotier en train de siroter un thé à la menthe.

« Sidi, sidi ! Le kaffir est pas content ! » m’avertirait un jeune arabe que j’aurais engagé comme valet à chaque signe d’humeur suspect. Et sur ce, le fouet claquerait dans l’air, rappelant au nègre la sûre domination de l’humanité au dessus de sa tête.

La traite arabo-musulmane était infiniment supérieure à la traite négrière européenne, infectée d’humanitarisme chrétien. Les arabes n’ont pas eu à souffrir de la pollution raciale négroïde durant cette période grâce à la sage castration systématique de ces primates. Sur ce point, les esclavagistes arabes étaient intraitables.

Pour notre part, avec nos bons sentiments évangéliques, nous avons créé les enfers sur terre que sont le Brésil mulâtre, les Antilles ou le ghetto nord-américain. Et la France contemporaine.

Encore de nos jours, l’Algérie reste sur le même mode et fait mourir de soif l’envahisseur nègre dans le Sahara.

 

C’est tout de même autre chose que nos vieilles Blanches ménopausées qui crisent au pied des préfectures pour faire régulariser ces macaques stupides.

La brutalité algérienne me convient mieux que le caractère pacifique de la colonie juive du Maroc, par exemple.

Tout ça pour dire que j’apprécie grandement le racisme arabe quand il s’exprime sans tabou.

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