« Sale nègre, enfant de putain » : une délicieuse Amazone arabe s’en prend avec une rage sacrée à un sale cafre arrogant (vidéo)

Captain Harlock
Démocratie Participative
03 décembre 2020

 

Les beurettes vont-elles sauver le racisme en France ? On peut légitimement se poser la question ou du moins ouvrir un débat après la publication de cette vidéo d’une tigresse nord-africaine prête à égorger un grand cafre mou au cri de « sale nègre, enfant de putain ! ».

Il ne faut jamais trop forcer pour faire ressortir l’âme de marchand d’esclaves de nos amis arabo-musulmans. C’est d’ailleurs une des rares réussites historiques de l’islam : la réduction en esclavage des nègres après avoir hygiéniquement pris soin de castrer ces primates. Ce qui chagrine beaucoup nos chrétiens du reste.

Et dire que si Charles Martel avait perdu à Poitiers, les Amériques ne compteraient pas un seul nègre à ce jour. Voilà qui rend perplexe.

Pour en revenir à cette séquence fabuleuse, l’expression « sale nègre » a des effets magiques sur mon esprit. Bien que n’aimant vraiment pas les bicots (je n’aime pas les bicots), quand l’un d’entre eux se met à hurler avec rage « sale nègre » à la face d’une de ces asperges négroïdes, je deviens plus tolérant et ouvert. Presque un citoyen du monde.

Le violent racisme anti-noir me rend plus ouvert sur le monde, c’est un phénomène que j’ai observé. Je suis sceptique et froid avec un métèque, soudain il vomit sur les nègres et me voilà totalement conquis par la culture de son pays d’origine, posant mille questions sur les us et coutumes de ses contrées qui l’ont porté à devenir un apologète de la sauvage réduction en esclavage des nègres.

Adolf Hitler avait une petite légion arabe. C’est assez peu connu, notamment des arabes.

Le ciment de cette harmonieuse entente était une commune haine pour la race juive, l’antithèse du genre humain.

C’est un format intéressant.

Nous devrions peut-être nous en ménager une, nous aussi, avec les quelques beurs anti-khel et antijuifs de France.  Les plus farouches. On l’appellerait la « Légion Bassem » du nom de cet intellectuel lyonnais dont l’oeuvre sur la question est tout à fait considérable.

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