Russie : un historien condamné à 3 ans et demi de goulag pour avoir découvert un énorme charnier datant de la période judéo-bolchevique

Captain Harlock
Démocratie Participative
24 Juillet 2020

Il se passe de drôles de choses en Russie.

Quelques semaines après l’annonce d’une politique de repeuplement du pays par 10 millions d’asiates musulmans, un historien ayant révélé l’existence d’un des plus grands charniers de l’ère bolchevique a été condamné à 3 ans et demi de prison par un tribunal tchékiste.

News 24 :

L’historien du Goulag, Yuri Dmitriev, a été condamné aujourd’hui à une peine de trois ans et demi de prison, a confirmé son avocat.

La condamnation était pour « violence de nature sexuelle » contre sa fille adoptive.

Mais ses partisans affirment que l’affaire est une tentative de faire taire Dmitriev, qui a passé près de 30 ans à dresser une liste des 40 000 personnes déportées ou exécutées sous Joseph Staline en Carélie, une région russe limitrophe de la Finlande.

Dmitriev, 64 ans, a été arrêté pour la première fois en 2016, accusé d’avoir produit des images «pornographiques» de sa fille adoptive.

Il a été acquitté en 2018 mais la Cour suprême de Carélie a annulé cette décision deux mois plus tard et ordonné un second procès, cette fois pour «violences sexuelles contre un mineur».

« Dmitriev lui-même n’admet aucune des accusations », a déclaré l’ONG de défense des droits humains Memorial avant le verdict. Memorial est sûr de sa totale innocence.

« La raison évidente de la persécution de l’historien est ses nombreuses années de travail pour trouver les lieux de sépulture des personnes tuées pendant la Grande Terreur, pour établir des listes de victimes, pour préserver la mémoire dans les lieux des exécutions de Staline. »

Ces dernières années, Dmitriev a également été à l’origine de la découverte de l’un des plus grands charniers de Carélie, à Sandarmokh, où les restes de 7 000 à 9 000 personnes exécutées à l’époque stalinienne ont été retrouvés.

De nombreuses personnalités russes et internationales ont dénoncé des poursuites injustifiées contre Yuri Dmitriev. Lors d’une conférence de presse début juillet, le réalisateur Alexandre Sokourov a déclaré que la condamnation de l’historien constituerait « un tournant » en Russie.

Pendant ce temps, les lauréats du prix Nobel, les écrivains biélorusses Svetlana Alexievitch et l’allemande Herta Müller ont demandé au Conseil de l’Europe, une organisation paneuropéenne de 47 États, de réagir. Ils estiment que les découvertes de Dmitriev à Sandarmokh étaient un «os dans la gorge des autorités» qui, selon les deux auteurs, cherchent à «réécrire l’histoire».

C’est sinistre.

Il s’agit là, sans aucun doute possible, de la réédition des procès de Moscou de la période judéo-stalinienne. Des magistrats récitent des accusations fantaisistes dictées par la police secrète et condamnent l’accusé à la peine prédéterminée par le Parti.

Ces numéros de cirque faisaient déjà rire le monde entier dans les années 30.

Toute une série de singes déguisés en juges vociférent des slogans et des injures devant les caméras avant de requérir l’exécution de peu importe qui la police politique rouge avait décidé de liquider. Comme ce Vyshinsky qui organisa ensuite sur le même modèle le pseudo procès de Nuremberg pour le compte des juifs.

C’est le prix que nous payons pour n’avoir jamais organisé un vaste procès international du communisme. La totalité des cadres de l’internationale rouge ont été recyclés et continuent de conspirer activement.

Comme Merkel en Allemagne.

Le KGB n’a jamais été démantelé, il a seulement changé de nom et son ex-directeur, Vladimir Poutine, est le président en fonction. Pendant un temps Poutine a semblé reconnaître le bilan effroyable du bolchevisme juif en Russie avec l’élimination de dizaines de millions de Slaves. Il a apparemment changé de politique et décidé de suivre la voie autistique de la nostalgie bolcheviste.

Il semble que le KGB a décidé de baisser le masque et de rétablir une le système soviétique mais cette fois sur le modèle chinois. C’est la raison pour laquelle la chaîne en perdition complète Russia Today en est réduite à nier l’existence même des victimes du communisme.

Pour réaliser ce projet, toute forme d’opposition au marxisme doit être écrasée, tout comme les critiques du système soviétique avec ses immenses fosses communes où gisent des millions et des millions de paysans slaves assassinés par les commissaires politiques juifs.

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