Russie : des milliers de nègres désormais enkystés à Moscou après avoir profité de la Coupe du Monde pour infiltrer le pays

Captain Harlock
Démocratie Participative
08 mars 2019

Le nègre ira jusqu’au cercle polaire pour violer de la Blanche

Je considère que les grandes compétitions sportives internationales appartiennent au passé, à l’exception de quelques disciplines qui ne représentent aucun intérêt commercial pour les grandes multinationales.

Qu’il s’agisse des Jeux Olympiques ou de la Coupe du Monde, ce ne sont plus que des spectacles destinés à promouvoir les marques des grands monopoles du globalisme.

Vous avez cette glorification agressive du nègre. C’est absolument partout. Non seulement durant les épreuves mais surtout en marge des épreuves, par la publicité.

D’ailleurs, d’une manière générale, le spectacle sportif est devenu le principal vecteur de négrification culturelle entre les mains des juifs avec le cinéma et la musique.

Mais il y a une autre raison pour laquelle ces événements sont devenus, au sens propre, des instruments de négrification : les nègres les utilisent pour infiltrer le coeur des nations blanches et, probablement demain, des nations asiatiques.

La Russie est le dernier théâtre de la prédation négroïde :

Apparemment les Russes veulent sarcler ce chancre négroïde. Mais vous aurez en réalité 2,000 ou 3,000 de ces créatures ignobles qui parviendront à rester. Du moins faute de réelle volonté politique.

Cela n’a l’air de rien, mais cette poignée de nègres finira pas s’installer et rapidement trouver quelques traînées locales abandonnées par leurs Yvan accrocs à la vodka. En deux générations, vous aurez 10,000 mulâtres dont les gènes se dissémineront progressivement dans les banlieues de Moscou.

Les Russes verront ces macaques s’activer ici et là, créant de nouvelles filières pour la négraille grouillante d’Afrique qui, à ce moment-là, aura atteint des proportions dantesques.

Une division entière d’incendiaires haïtiens essaimant dans la capitale russe, guettant la moindre opportunité pour répandre la lèpre raciale nègre dans les marges de la société où l’on retrouve généralement un certain nombre d’artistes marginaux.

En quelques décennies fleurissent les horreurs de la jungle : bourgeons d’art dégénéré à base de statues difformes et obscènes, rythme copulatoire de musique tribale, provocations cinématographiques. Cela devient une « mode ». En réalité, une régression radicale, un retour en arrière de 50,000 ans.

Sur les conseils de ces mêmes nègres, nigérians notamment, quelques mafieux juifs locaux commenceront à mettre en place des réseaux de prostitution qui s’étendront ensuite à d’autres villes du pays.

Le nègre fera partie du paysage.

Le gène nègre est hautement destructeur. Le mulâtre, mais plus encore le quarteron ou l’octavon, conspire comme le singe démoniaque qu’il est pour détruire, avec sadisme et férocité, la race blanche qu’il veut souiller.

Une nation infectée par le nègre est une nation dont le sang dégénère rapidement ouvrant la voie à une mulâtrisation irréversible.

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