Royaume-Uni : près de 50,000 infections quotidiennes dont 47% sont des personnes déjà vaccinées

Captain Harlock
Démocratie Participative
15 juillet 2021

Quelque chose me dit que les juifs sont en train de régler des comptes par rapport à une histoire abracadabrantesque vieille de 76 ans

Le Royaume-Uni est sur le point de générer la plus gigantesque dissonance cognitive de l’histoire.

C’est fascinant.

The Independent :

Au total, 48 553 cas ont été signalés le 15 juillet, soit le chiffre le plus élevé depuis le 15 janvier. On a également enregistré 63 décès dans les 28 jours suivant un test Covid positif, le plus grand nombre depuis le 26 mars.

Effectivement.

Le nombre d’infections actuel est deux fois plus élevé que lors de la première vague où il n’y avait pas de vaccins. Il approche désormais les niveaux de cet hiver.

Malgré le fait que 69% des personnes adultes ont reçu une dose de vaccin et que 52% en ont reçu deux, le vaccin circule donc à une vitesse identique à celle de janvier.

En janvier, les médias hurlaient à l’Apocalypse virale.

Aujourd’hui, aucun média ne parle pas de ce qui se passe au Royaume-Uni.

Ils s’en foutent car officiellement tout est en ordre parce que tout le monde est vacciné.

Le nombre croissant de cas survient à l’approche du « jour de la liberté » en Angleterre, le 19 juillet, date à laquelle la plupart des coronavirus restants seront éliminés.

Boris Johnson a exhorté le public à continuer à faire preuve de prudence avant le déblocage, mettant en garde contre le fait de « jeter la prudence en l’air » et insistant sur le fait que le gouvernement attend toujours des clients qu’ils portent des masques.

Boris Johnson parle désormais comme nous, avec six mois de décalage. Il veut tout rouvrir, tout de suite, à quelques jours de dépasser le record absolu d’infections jamais enregistrées au Royaume-Uni.

La raison est assez évidente : il doit continuer de raconter aux gogos que la vaccination a réglé la situation, car sinon les goyim finiraient par comprendre que toute l’architecture sanitaire de contrôle des populations n’a aucune espèce d’utilité depuis le premier jour.

Cette option n’est pas sur la table.

Les chiffres sont clairs : 47% des nouvelles infections sont détectées chez des Britanniques déjà vaccinés au moins une fois.

The Daily Mail :

Mais 47 % des cas se situent parmi les personnes ayant reçu au moins une dose du vaccin Covid, ce qui représente une forte augmentation par rapport au quart environ enregistré début juin.

La circulation du virus n’est nullement entravée par la vaccination et plus le temps passe, plus elle est forte parce que le virus s’adapte au vaccin.

C’est pourtant avec cet argument que Véran est encore en train d’empoisonner des gens.

Le fait que des gens aient des symptômes est un non-sujet.

Tout comme le fait que des octogénaires déjà à moitié moribonds meurent du Covid19 est un non sujet. Ils seraient morts dans l’année, ou celle d’après.

Oui, c’est triste, mais non, nous n’y pouvons rien. Les vieux meurent.

Ce qui est bien plus triste parce qu’anormal, ce sont tous ces gens qui meurent des effets secondaires du vaccin.

Le vrai problème, c’est que ce vaccin est un vaccin fuyant qui laisse le virus circuler chez les vaccinés de manière invisible car ils sont asymptomatiques et que le virus est en train de s’auto-sélectionner dans l’organisme des vaccinés pour riposter avec des variants spécialement adaptés pour les contaminer malgré la vaccination.

C’est ce qu’explique depuis des mois le virologue Geert Vanden Bossche.

Le virologue Geert Vanden Bossche alerte sur la façon dont la vaccination transforme les vaccinés en cibles privilégiées pour les variants 

Le virus se retrouve dans une situation où une ou deux mutations supplémentaires lui suffiront à accéder aux cellules de milliards de vaccinés en déjouant le mécanisme du pseudo vaccin basé sur la seule protéine Spike. Le virus détermine sa stratégie en termes de coûts/bénéfices. Du point de vue de la sélection naturelle, c’est la voie la plus courte avec des retombées maximales compte tenu de la taille du « marché » qu’est la masse des vaccinés.

Geert Vanden Bossche explique que depuis le premier jour, il fallait laisser le virus passer pour que l’humanité développe une immunité collective naturelle.

Il a publié hier un rapport détaillé sur la situation. Il mérite une lecture attentive, surtout si vous avez de l’autisme en biologie.

Geert Vanden Bossche :

L’objectif le plus important de la vaccination de masse avec les vaccins Covid-19 était d’atteindre l’immunité de troupeau ! Entre-temps, les autorités sanitaires et les « experts » qui les conseillent ont reconnu que l’immunité de groupe n’est plus à portée de main. Ils ont maintenant tendance à blâmer un certain nombre de facteurs pour ne pas avoir atteint cet objectif. Parmi ceux-ci, ils aiment citer les taux décevants de couverture vaccinale, essentiellement dans les groupes d’âge les plus jeunes, et l’efficacité réduite des vaccins actuels vis-à-vis des variantes virales émergentes. Ils affirment qu’au lieu de cela, nous nous dirigeons heureusement vers une situation où le virus devient endémique et où la vaccination sera essentielle pour assurer une protection individuelle ! À moins qu’il ne s’agisse d’une pandémie ou d’une épidémie, seules les personnes vulnérables (la « population cible ») se font vacciner. Étant donné que les jeunes sont de plus en plus nombreux à contracter la maladie de Covid-19, la nécessité pour chacun d’entre nous de se faire vacciner resterait inchangée et les campagnes de vaccination de masse doivent donc être poursuivies. C’est du moins le discours qui est actuellement utilisé pour convaincre les jeunes et les enfants de se faire vacciner eux aussi.

D’un point de vue scientifique, l’interprétation ci-dessus de la situation actuelle manque de perspicacité et n’est pas étayée par des preuves scientifiques. Tout d’abord, le lien faible entre le nombre de cas (en hausse) et les taux d’hospitalisation et de mortalité (en baisse), tel qu’il est actuellement observé dans un certain nombre de pays ayant des taux de couverture vaccinale élevés, ne reflète pas une transition du virus vers une phase endémique. L’endémicité n’est pas possible sans immunité de groupe et l’immunité de groupe est la dernière chose que les campagnes de vaccination de masse en cours pourront réaliser (voir ci-dessous). Le maillon faible est bien plus susceptible de résulter du fait que, dans de nombreux cas, les vaccins offrent toujours une protection contre les formes graves, alors que le taux d’infection augmente désormais de façon spectaculaire en raison de la circulation accrue de variants plus infectieux qui se développent sur fond de pression immunitaire croissante dirigée contre les protéines Spike (S) exercée par la population (massivement vaccinée).

Comme cela a déjà été mentionné dans de nombreuses contributions précédentes, l’augmentation des taux d’infectivité dans la population rendra plus probable la réexposition des groupes d’âge plus jeunes au virus à un moment où ils sont devenus vulnérables (c’est-à-dire pendant une période temporaire de suppression de leurs anticorps innés par des anticorps spécifiques de type S immatures et de courte durée). Comme la grande majorité des individus des groupes d’âge plus jeunes n’ont pas été vaccinés du tout ou n’ont reçu qu’une seule injection d’un vaccin à deux doses, le niveau de leurs anticorps naturels (Abs) fonctionnels (c’est-à-dire non supprimés) peut encore être suffisamment élevé pour prévenir une forme grave.

Je présume que cette situation va changer pour le pire lorsque :

1) le virus deviendra résistant aux vaccins actuels (ce qui, selon les épidémiologistes génomiques, va inévitablement se produire) et

2) le nombre de jeunes entièrement vaccinés va augmenter considérablement.

Cela signifie que les symptômes cliniques apparemment atténués ne sont probablement pas dus à un déplacement de la pandémie vers l’endémicité ou à une diminution de la virulence des variants viraux en circulation, mais qu’ils reflètent simplement l’impact de la résistance croissante du virus aux anticorps vaccinaux combinée à un niveau plus élevé d’infectiosité virale. Cette résistance croissante permettrait aux groupes plus âgés de conserver une certaine protection vaccinale, tandis que les groupes plus jeunes pourraient encore compter sur une certaine protection immunitaire innée. Comment concilier autrement la diminution des taux d’hospitalisation et de mortalité avec une forte augmentation des cas d’infection ? Ce n’est certainement pas une caractéristique typique d’une pandémie en voie d’extinction !

Il est en effet tout à fait incroyable que certains experts prétendent que même si nous n’atteignons pas l’immunité de groupe, nous pourrons quand même échanger la pandémie contre une situation endémique.

Quand cela se produira-t-il ? La réponse est : jamais.

Ni les taux décevants de couverture vaccinale, ni la baisse des taux de neutralisation du virus ne doivent être attribués à l’incapacité de ces vaccins à conférer une immunité collective.

Dès leur toute première conception, il aurait dû être très clair que ces vaccins Covid-19 « à base de Spike » sont totalement inadaptés pour générer une immunité de groupe dans une population, quelle que soit l’ampleur des anticorps induits ou le taux de couverture vaccinale.

Pourquoi en est-il ainsi ? Examinons d’abord de plus près la définition de l' »immunité collective ». On parle d’immunité collective lorsque la majeure partie d’une population est immunisée contre une maladie infectieuse et fournit ainsi une protection indirecte à ceux qui ne sont pas immunisés contre cette maladie. Sur le plan mécanique, la protection indirecte est due à l’absence ou à la forte réduction de la transmission infectieuse par ceux qui ont été immunisés (c’est-à-dire la majorité de la population). Qui a donc conclu tout d’un coup que l’immunité collective ne dépendrait que des réponses humorales (anticorps) spécifiques de l’antigène (Ag) (dans ce cas, spécifiques de l’épi) et de l’immunité innée non spécifique de l’antigène (c’est-à-dire opérée par plusieurs cytokines et chimiokines stimulatrices et modulatrices sécrétées par les cellules immunocompétentes, y compris les cellules T non cytotoxiques spécifiques de l’Ag) ?

Si tel était le cas, une pandémie naturelle ne pourrait jamais évoluer de manière irréversible vers une situation infectieuse endémique. Voici pourquoi les anticorps S-spécifiques et l’immunité innée non spécifique de l’Antigène ne pourraient jamais forcer la pandémie de Sars-CoV-2 à devenir endémique, et encore moins éradiquer le Sars-CoV-2 :

Au cours d’une pandémie, le virus finira par circuler dans des parties de la population qui ont déjà été infectées mais qui voient leurs anticorps baisser en dessous d’un seuil de protection contre l’infection. Bien que ces personnes ne soient plus en mesure de contrôler l’infection, elles sont encore capables d’abroger rapidement l’infection et la transmission virale à la porte d’entrée grâce à leur effecteur mémoriel de protection que sont leurs cellules T. Ces derniers seront, en effet, facilement rappelés dès que des antigènes dérivés de l’agent pathogène seront exprimés à la surface des cellules infectées. En raison de l’élimination rapide des cellules infectées au niveau de la porte d’entrée, les individus présentant des niveaux inférieurs à un seuil d’anticorps anti-Spike fonctionnels peuvent encore réduire de manière significative la transmission virale dans la population hôte.

En d’autres termes, même en présence d’anticorps spécifiques S sous-optimaux, les cellules T effectrices préalablement amorcées seront rappelées pour éliminer les cellules infectées par le virus Sars-CoV-2 et ainsi réduire la transmission virale à un stade précoce de la réinfection. L’élimination de ces cellules peut avoir lieu quelle que soit la variante du Sars-CoV-2 avec laquelle elles sont infectées, car les épitopes des lymphocytes T dérivés du CoV sont beaucoup plus conservés que les épitopes des lymphocytes B dérivés du S. Cela contraste fortement avec la réponse immunitaire induite par la vaccination d’individus naïfs.

Bien que des anticorps sous-optimaux des anticorps vaccinaux fonctionnels ne puissent pas empêcher l’infection et la transmission virale, elles peuvent néanmoins protéger les vaccinés contre la maladie (forme grave). Cependant, étant donné qu’aucun des vaccins Covid-19 actuels n’induit de cellules T cytolytiques Spike-spécifiques, les vaccins dotés d’anticorps sous-optimaux d’anticorps Spike-spécifiques ne seront pas en mesure d’abroger la transmission virale lors d’une réinfection par le virus Sars-CoV-2. En outre, les campagnes de vaccination de masse menées au cœur de la pandémie permettent simultanément à de grandes cohortes de sujets présentant des anticorps sous-optimaux (par exemple, après la première dose ou entre la première et la deuxième dose d’un vaccin à deux doses) d’être exposés au virus. Cela permet à des variants de fuite immunitaire naturellement sélectionnés d’échapper à l’absorption vaccinale (dirigée contre la protéine Spike).

En conclusion, le potentiel de blocage de la transmission de l’état immunitaire conféré à la population par la vaccination de masse est dépendant de la présence d’anticorps dirigés contre les protéines Spike et est nettement inférieur à celui conféré à une population infectée par le virus Sars-CoV-2 au cours d’une pandémie naturelle. En d’autres termes, au cours des campagnes de vaccination de masse, une grande partie de la population se retrouve avec une immunité sous-optimale/incomplète (par exemple, des anticorps trop faibles, des anticorps pas complètement matures/fonctionnels, pas d’amorçage des cellules T cytolytiques spécifiques de l’Antigène) et ne peut donc pas contrôler la transmission virale lors de l’exposition au virus.

Conclusion générale : Dès le début du programme de vaccination de masse, il aurait dû être clair qu’en raison des limites intrinsèques des vaccins Covid-19 à base de protéine Spike et de leur déploiement dans des campagnes de vaccination de masse au milieu d’une pandémie, l’immunité collective était tout simplement la dernière chose que ce programme de vaccination de masse pouvait atteindre et que la poursuite de ce programme remplirait toutes les conditions pour favoriser l’échappement immunitaire viral S-dirigé pour aboutir finalement à une résistance totale du Sars-CoV-2 aux vaccins Covid-19.

L’augmentation de l’absorption vaccinale avec des vaccins de deuxième génération ne résoudra pas le problème de l’échappement immunitaire, même si l’immunisation avec des vaccins « mis à jour » est répétée tous les six mois. En effet, les vaccins de deuxième génération rappelleront principalement les anticorps Spike-spécifiques obtenus par les vaccins de première génération (en raison du « péché antigénique ») et ne seront pas efficaces contre les recombinaisons de variants de Sars-CoV-2, qui sont très susceptibles de se produire à la suite d’une co-infection, en particulier chez les personnes les plus vulnérables (voir l’article d’opinion critique précédent : Pourquoi l’expérience de vaccination de masse en cours entraîne-t-elle une réponse évolutive rapide du SRAS-CoV-2 ?)

La manière la plus rationnelle de contrôler la transmission virale infectieuse dans une pandémie d’infection virale aiguë et autolimitative et d’obtenir une immunité collective est d’utiliser des vaccins vivants atténués. Une approche encore plus efficace de l’intervention immunitaire dans une pandémie consiste à utiliser des vaccins capables de conférer une immunité stérilisante, car ceux-ci réduiront rapidement et considérablement la transmission virale (asymptomatique !), procurant ainsi une immunité collective à un faible taux de couverture vaccinale et permettant finalement l’éradication du virus.

En résumé :

  • le vaccin actuel désactive le mécanisme de défense naturel au profit d’un mécanisme ciblant uniquement la protéine Spike.
  • comme ce mécanisme produit des anticorps de court terme et que le système immunitaire n’a pas photographié l’identité du virus puisque le vaccin n’est pas prévu pour qu’il le fasse, la réinfection est rendue inévitable par des variants beaucoup plus infectieux du fait de la pression de sélection.
  • le virus peut à présent toucher des populations au départ moins vulnérables, essentiellement les jeunes, car leurs défenses sont débranchées sous l’effet de la vaccination et de son dispositif anti-Spike devenu obsolète.

Pour faire court, les vaccinés sont sans défense face aux variants et aucun « rappel » ne permettra d’affronter les futurs fusions de variants entre eux.

L’apparente accalmie actuelle ne traduit aucune stabilisation. Nous sommes dans une phase transitoire où le vaccin limite pour encore un peu de temps les formes graves en raison de production d’anticorps S-spécifiques. Ensuite viendra le boomerang.

Bref,

Qu’est-ce que c’est que cette juifasserie ?

Le virologue Geert Vanden Bossche se demande QUI a pu jamais raconter au public que ce vaccin empêcherait le virus de circuler et QUI lui a dit qu’il valait mieux recourir à Pfizer plutôt que de laisser l’immunité collective se bâtir naturellement.

Il se demande ensuite pourquoi ce QUI n’a pas vu ce que des virologues ou des épidémiologistes correctement formés voyaient, à savoir que non seulement cela ne fonctionnerait pas, mais que Big Pharma transformerait une grosse grippe en virus mutant hautement létal.

En l’état actuel, la seule chose raisonnable à faire est de ne pas se faire vacciner d’ici 2024 et de s’imposer un moratoire vaccinal de deux ans. Vous devriez pouvoir survivre sans restaurant et sans cinéma durant deux années. Ceux qui le veulent peuvent s’informer sur l’ivermectine.

Pendant ce temps-là, nous allons observer une attitude scientifique et attendre de voir les résultats de cette expérience.

Je ne sais pas combien de gens peuvent mourir parmi les vaccinés. Mais si 2 ou 3% meurent face aux variants qui ne manqueront pas d’apparaître, cela ferait quand même 1 million de morts sur 40 millions de vaccinés au jour d’aujourd’hui.

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