Rouen : un ignoble nègre déguisé en policier balance ses collègues blancs sceptiques face à l’invasion

Captain Harlock
Démocratie Participative
21 Janvier 2020

 

Des flics héroïques sont l’objet d’une campagne de purge de type bolchevique à Rouen, ville en première ligne du djihad démographique.

La vermine raciale y parade avec l’aide de la canaille anarcho-communiste habituelle, toujours prompte à courtiser les métèques.

AJ+, la chaîne des Frères Musulmans financée par l’émirat du Qatar, appelle à les crouilles à l’insurrection. Sans oublier les juifs, pour donner toute la dimension médiatique nécessaire à l’entreprise.

Le fait est que tout ce que disent ces braves flics est vrai, à 100%. Rien de ce qu’ils disent n’est erroné ou mensonger.

C’est donc pour avoir parlé librement, entre eux, de l’enfer qu’ils vivent au quotidien qu’ils sont traqués et persécutés par les autorités gouvernementales, les médias juifs et bien sûr toute la horde des sous-hommes qui prolifèrent en France.

Vous ne pouvez pas faire confiance à un allogène

C’est un nègre qui a causé leur perte en alertant une hiérarchie intégralement acquise à la victoire de l’invasion islamique en France.

France Bleu :

Selon une source policière, un agent du commissariat de Rouen a porté plainte en décembre 2019 pour injures à caractère racial, incitation à la haine et diffamation.

Ce policier noir a vu sur le téléphone d’un collègue un groupe de conversation Whatsapp entre policiers, tous chargés de l’escorte et de la garde au palais de justice de Rouen. Il y était traité de « nègre » et autres insultes à caractère raciste.

« Nègre » est un descriptif objectif.

« Sale nègre » aussi d’ailleurs.

La dure leçon de cette expérience, surtout dans l’environnement professionnel, c’est qu’on ne doit jamais faire confiance à un allogène. C’est pour ça que partout où s’enkyste un nègre ou un algérien, la confiance au sein du groupe s’effondre instantanément : cette taupe fera tout pour faire vivre l’enfer à ses collègues blancs.

Ici, les flics semblaient savoir à qui ils avaient affaire – un nègre – mais ils n’ont pas pris les plus grandes précautions pour s’assurer que rien ne puisse tomber en les mains de l’ennemi.

Plus la boucle des échanges est grande, plus elle est susceptible de fuir.

Il semble que les policiers utilisaient l’application Whatsapp, ce qui est loin d’être un choix avisé. Surtout, ils n’ont pas configuré leur appli pour que les messages soient détruits automatiquement une fois lu par le destinataire, de telle sorte qu’il ne puisse rester aucune archive des discussions.

Sur SIGNAL, cette option est disponible. Dès le message est lu, il est automatiquement détruit.

Il ne doit pas rester d’archives des discussions dans votre messagerie pour smartphone, jamais.

Si les flics de Rouen avaient utilisé SIGNAL et configurer leur groupe de discussion pour que tous les messages soient détruits automatiquement après lecture, ce singe aurait peut-être vu un message mais un seul message peut facilement être démenti.

L’IGPN n’aurait rien eu à se mettre sous la dent et l’affaire en serait restée là.

Donc, s’il vous plaît, si vous échangez en terrain hostile avec des collègues de travail, optez pour l’application SIGNAL et configurez le groupe pour que les messages soient détruits automatiquement après lecture par le destinataire. Préférez aussi les messages écrits aux messages oraux.

Dégueuler sur ces sales races de boue que sont les nègres et les arabes est un droit fondamental qui nécessite des précautions sécuritaires dans cette république islamo-négrifiée tenue par les juifs.