Rouen : les commerçants macronistes exigent l’interdiction des manifestations contre la tyrannie sanitaire

Captain Harlock
Démocratie Participative
23 septembre 2021

Les boutiquiers macronistes sont les ennemis de la liberté

Le petit commerce, fidèle à lui-même, exige que la résistance anti-sanitaire s’écrase pour remplir ses caisses.

Actu.fr :

Le vase déborde. « On a entre 20 et 30 % de perte de clients chaque week-end », s’agace Damien. Ce commerçant de la rue Gros Horloge à Rouen (Seine-Maritime), se dit profondément irrité par la mobilisation des anti-pass sanitaire. « Le samedi, c’est notre plus grosse journée. On a déjà fermé la moitié de l’année, alors on a besoin de relancer la machine ! », peste-t-il.

Face à l’afflux des manifestants chaque samedi dans le centre-ville depuis l’été, il se retrouve sans solution. « Nous sommes sur le point de lancer une pétition entre commerçants de la rue pour demander l’interdiction de passage sur cette journée«  , note-t-il.

Le gérant a créé un groupe sur la messagerie Whatsapp dans lequel il a rassemblé une trentaine de commerçants de la rue du Gros Horloge. « On a tous nos magasins à tenir, mais il faut lancer une action collective. On en attend un peu plus de la part des Vitrines De Rouen. »

« On a enchaîné des périodes de travaux, les Gilets jaunes, le Covid, et depuis des mois, on est pris en otage le samedi avec les manifestations qui viennent pénaliser notre plus grosse journée de commerce », s’énerve de son côté Fabrice Antoncic, président des Vitrines de Rouen.

En plus d’un frein pour l’activité, il craint de potentielles dérives. « On se sent responsable vis-à-vis de nos clients et de nos équipes. On n’est jamais à l’abri d’un débordement », note-t-il, inquiet.

Soulignant sa « lassitude profonde », il ne comprend pas la démarche des manifestations de prendre possession des rues du centre-ville le samedi. « Moi, je ne viens pas chez eux, devant leur maison, les mettre en danger. On a le sentiment qu’on pénètre dans notre lieu de vie, martèle le président des Vitrines de Rouen. Le droit de manifester est obligatoire dans notre pays, mais on ne doit pas défendre sa liberté au détriment de nos commerces. »

« Leurs commerces » ne tiennent debout que grâce aux centaines de milliards d’euros que Macron a emprunté à l’étranger pour les arroser et que les contribuables devront rembourser.

Ces gens-là n’ont jamais fait de plus gros chiffres d’affaires que depuis qu’ils ne travaillent plus.

Leurs échoppes sont devenues des commerces soviétisés.

En échange de leur collaboration, ils sont devenus des agents de surveillance à la solde du régime bioterroriste.

Malheureusement, il n’y a aucune fin en vue de leur financement gratuit.

Nous sommes entrés dans ce paradigme néo-communiste où l’argent est imprimé en quantités illimitées par la BCE et distribué à tous les acteurs économiques partisans de la tyrannie – ce qui exclut le simple employé.

Le concept d’économie de marché a été aboli et remplacé par l’étatisation de fait. L’Etat n’est pas formellement le propriétaire, mais en pratique c’est la même chose.

Ces boutiquiers n’ont qu’à remplir des formulaires et ils reçoivent le cash.

Après, ils téléphonent aux préfets pour faire taire la plèbe.

À propos de la pétition que souhaite lancer Damien, Fabrice Antoncic assure qu’il « soutiendra toutes les initiatives » qui vont dans le sens des commerçants. « On a toujours été pour la concertation. »

Le président des Vitrines précise par ailleurs être en discussion avec la préfecture de Rouen afin de trouver une solution concernant l’itinéraire des manifestants. Selon lui, il convient de définir « un périmètre qui ne mette pas en péril l’activité des commerçants ». Contactée, la préfecture de Rouen répond que « les services étudient l’hypothèse de la prise d’un arrêté d’interdiction de périmètre […] fondé sur une analyse objective des faits et menaces de troubles à l’ordre public ».

La préfecture avait déjà interdit le passage des cortèges dans le centre-ville de Rouen, notamment au cours d’épisodes des Gilets jaunes, mais aussi plus récemment, en décembre 2020, lors d’une manifestation contre la loi Sécurité globale.

Les épiciers redoutent de ne pas pouvoir recevoir les bobos électeurs de Macron et autres Boomers gavés de fric, là aussi levé par Macron sur les marchés internationaux pour leur payer une retraite dorée.

Tant qu’ils s’engraissent, ils collaborent à la terreur sanitaire.

De toute façon, à Rouen ils ont élu une fiotte gauchiste adepte du culte de la suprématie négroïde, Nicolas Mayer-Rossignol. Il se mettait à genou pour Georges Fentanyl Floyd, l’acteur porno noir cardiaque qui est mort accidentellement aux USA alors qu’il trafiquait de la fausse monnaie.

Cette pute d’attention de Rossignol

A ce stade, je ne rêve que d’un crash économique cataclysmique pour voir tous ces profiteurs mettre la clef sous la porte avant de mourir de faim aux coins des rues.

Le peuple devrait les racketter.

*Merci à Rudolf S.

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