Démocratie Participative 卐 Le site le plus censuré d'Europe 卐
Captain Harlock
Démocratie Participative
19 novembre 2018
La mouvement continue.
Gilets jaunes: « la seule chose qu’on réclame ici, c’est le départ de monsieur Macron » pic.twitter.com/gDuI3EUGYe
— BFMTV (@BFMTV) 19 novembre 2018
Evidemment, le gouvernement juif est de plus en plus tenté de cogner dur sur les opposants. C’est une excellente chose. Rien de tel pour nous que des flics tabassant des papys gaulois qui pleurent parce qu’ils vivent avec 800 euros par mois.
??On comprend pourquoi il y a autant de blessés
C’est a ce demander si machiavéliquement le pouvoir a fait exprès de créer des accidents pour discréditer les gilets jaunes
Comment tolérer de voir cette personne aussi mal traitée
Et rien pour les voyous??
pic.twitter.com/5oyqlkuzAA— ??ÇA SUFFIT FICHÉ 9455?? (@lacavapeter) 19 novembre 2018
Castaner a commencé à faire coffrer des Gilets Jaunes.
Le gouvernement pense pouvoir briser le mouvement avec quelques charges de CRS.
Castaner sur les gilets jaunes: « J’ai demandé aux préfets de veiller à dégager les dépôts pétroliers et les sites sensibles pic.twitter.com/dUltsrkYcK
— BFMTV (@BFMTV) 19 novembre 2018
Participez si vous pouvez
Si vous avez du temps, cette semaine, n’hésitez pas à vous rendre sur les points de blocage de votre secteur.
L’idée, comme nous le développons ici depuis un moment, c’est :
-
- de rencontrer des gens IRL sans bannière politique déclarée.
- de le faire dans un périmètre local assez restreint
- de constituer un carnet d’adresse de solidarité
D’une manière plus générale, nous conseillons l’action horizontale et ce mouvement décentralisé offre cette opportunité de rencontrer des gens habitant près de chez vous qui ne sont pas membres de structures contrôlées par le gouvernement d’occupation.
Pour plus tard, repérez des personnes de qualité parmi celles que vous rencontrez. Le profil idéal : des hommes, plutôt jeunes et assez réfléchis.
Ceux qui sont actuellement dehors prêts à défier le gouvernement sont, d’une manière générale, des Français en rupture. Des Français qui acceptent le principe de la confrontation et qui ont le sentiment de perdre davantage en ne faisant rien qu’en se révoltant.
L’idée est de créer une confrontation dure avec le gouvernement judéo-républicain sur deux thèmes :
- L’arrêt du pillage fiscal organisé sur ordre de la finance juive internationale via l’UE
- L’arrêt de l’invasion afro-islamique dont le coût est assumé par les contribuables blancs
Quand vous discutez avec les gens, organisez votre argumentation autour du pillage fiscal. Les gens vous écouteront. Présentez l’immigration comme un facteur extrêmement aggravant au plan financier.
Pour prouver ce que vous dites, soulignez l’indifférence des arabes et des nègres face au mouvement.
Les gens ne comprennent réellement que ce qui touche à leur compte bancaire. Ne perdez pas ça de vue quand vous parlez avec des Français de base.
Regardez l’Italie le 21 novembre
Macron n’est vraiment que le fantoche de la finance juive. Il ne décide de rien, ces arbitrages fiscaux ont été dictés par la banque. Il n’a aucune marge de manoeuvre. C’est ce qui le contraint à ne pas reculer.
Macron s’est posé comme le héros de l’UE mais cela suppose d’être financièrement crédible pour que l’Euro tienne bon. Or, le 21 novembre, l’Italie cédera ou non face à la Banque Centrale Européenne sur son budget. Selon la posture italienne, les intérêts de la dette de ce pays se mettront à flambler avec un fort risque de rupture avec l’UE à moyen terme.
Cela aura un impact d’autant plus fort sur la France que Macron passera pour incapable de mater la révolte antifiscale actuelle.
Macron joue en ce moment même sa crédibilité auprès de ses maîtres. S’il échoue, le coup sera très dur pour le système d’exploitation juif.
Attaque contre la finance juive le 24 novembre à Paris
Mais le gros événement, c’est Paris, samedi prochain.
Pour le 24 novembre à Paris, la réédition du tract serait la bienvenue.
Avec quelques modifications : « Contre le racket fiscal judéo-macroniste sur les prix des carburants, manifestons le 24 novembre à PARIS ».
Il est logique que le mouvement tourne au ralenti en semaine. Beaucoup de gens travaillent. Mais des dizaines de milliers de bloqueurs suffisent à maintenir la braise allumée d’ici au week-end prochain.
