Rennes : après avoir été envoyé en métropole par sa famille « pour l’éloigner », le vigoureux mahorais musulman viole une nounou armé d’une machette

Leutnant
Démocratie Participative
11 octobre 2019

Enrichissement culturel en Bretagne.

Ouest-France :

Un homme de 23 ans a été condamné, ce jeudi 10 octobre, par la cour d’assises d’Ille-et-Vilaine, pour le viol d’une nounou, en 2018, à Rennes.

Pendant trois jours, Inssa Halidi, un Mahorais de 23 ans, était jugé devant la cour d’assises d’Ille-et-Vilaine pour viol sous la menace d’une arme, récidive de violence sur un mineur et menace de mort avec ordre de remplir une condition.

Ce jeudi 10 octobre, il a été reconnu coupable de tous ces chefs d’accusation et condamné par la cour à une peine de 17 ans de prison avec une période de sûreté de 16 ans. Il devra aussi effectuer un suivi socio-judiciaire, avec obligation de soin et de travail, de sept ans. Il lui a également été interdit de paraître pendant dix ans dans le département d’Ille-et-Vilaine.

Les faits pour lesquels le colosse de plus de 1,90 mètre était jugé remontent au 7 février 2018. Ce jour-là, après avoir sonné à la porte d’une maison du centre-ville, Inssa Halidi, armé d’une machette, menace la baby-sitter de la famille et la viole. Les enfants, qui ont reçu des coups, sont témoins de la scène.

Interrogé par la cour sur ses motivations, l’accusé a eu des réponses floues et contradictoires. Il a expliqué à l’audience avoir sonné à cette porte « par hasard, pour demander un verre d’eau ». Même s’il a finalement reconnu le viol et s’est excusé plusieurs fois auprès des victimes pour ce qu’il a qualifié de « bêtise ».

Des propos qui ont fait bondir l’avocate générale : « M. Halidi ne perçoit toujours pas qui sont les victimes. Il dit qu’il a fait une bêtise, mais il a détruit cinq vies. Ce n’est pas une bêtise, c’est un crime. »

Elle avait requis 20 ans de réclusion avec une peine de sûreté de 16 ans, ainsi qu’un suivi socio-judiciaire avec obligation de soin et de travail pendant dix ans et une interdiction de paraître dans le département d’Ille-et-Vilaine pendant dix ans.

Me Eric Cesbron, l’avocat de la défense, avait mis en avant « l’enfance difficile du prévenu », qui « avait été victime de maltraitance » et « repoussé par sa famille mahoraise qui l’avait envoyé en métropole pour l’éloigner« .

Les « Français » de Mayotte déversent leurs ordures chez nous, merci Nicolas Sarkozy.